Nationalisme Et Les Tensions Internationales

La première guerre mondiale et les bouleversements de l’Europe Les causes de la première guerre mondiale 1. Les causes anciennes 1 1.1) Le système d'alliance et la course à l'armement 1 2. Les tensions politiques 2 2.1) Les questions anciennes 2 2.2) Les questions coloniales 2 2.3) Les questions balkaniques 2 2.4) Les rivalités économiques 2 2.5) Le comportement des gouvernements et des opinions publiques 2 3. Quels sont les mouvements qui auraient pu être des forces de paix ? 3 3.1)

La guerre du Golfe marque-t-elle le premier acte du multilatéralisme ? 1) Un nouveau contexte favorable au multilatéralisme La disparition de l’URSS en décembre 1991 a permis à l’ONU de retrouver une place de premier plan sur la scène internationale. La fin de la Guerre froide permet la résolution d’un certain nombre de conflits, en Amérique centrale comme en Afrique (Namibie, Mozambique, Angola). A la suite du traité START (1991), portant sur la réduction des missiles à longue portée

Berceau des trois monothéismes de la planète ; le proche et moyen orient est aujourd’hui le théâtre de multiples conflits dans une zone qui regorge de pétrole. Cette région représente donc une menace permanente pour la sécurité internationale. [pic] Soldat iranien devant des puits de pétrole en feu à Abadan durant la guerre entre l’Irak et l’Iran (1978-1988) I. La géopolitique du Moyen Orient en quatre cartes a) Une diversité des peuples et des religions b)

Tout d’abord le pays a tout fait pour maintenir la paix et la sécurité internationale, et pour soutenir le développement mondial. Suite à des nombreuses crises et l’effondrement du bloc soviétique, le Japon a modifié sa politique militaire et est devenu l’une des plus grandes puissances militaires du monde. De* plus le pays dispose d’un fort capital physique et humain et la population japonaise a subi « un réveil du nationalisme ». Le Japon n’a pas seulement l’envie de devenir une superpuissance

jusqu’en 1939. II) Une société bloquée ? Au-delà de la prospérité et de la modernité affichées, des archaïsmes perdurent dans une France majoritairement rurale et dominée par les petites entreprises. La Belle Epoque ne profite pas à tous et des tensions sociales se font jour. A) Stagnation et routine. Sur le plan social, l’inégalité des sexes reste consacrée par le code civil et les valeurs défendues par la bourgeoisie. Les comportements malthusiens[6] et le conformisme des milieux dirigeants

Master 2 européen de développement culturel Géopolitique : La construction de l’identité catalane (1876-1979) De la construction d’une identité vers un débat entre nationalisme catalan et catalanisme : histoire, acteurs, enjeux… Sophie Duchanoy Année universitaire 2010-2011 Sommaire Chronologie……………………………………………………………………………………………… Page 3-7 La restauration (1876-1930)……………………………………………………………………. Page 3 à 5 La 2ème République (1931-1936) et la guerre (1936-1939)……………………… Page 5 Le franquisme

région concentre actuellement 2/3 des ressources mondiales de pétrole, ce qui en fait une région convoitée (enjeu international). Depuis la création de l’OPEP en 1960, les pays producteurs contrôlent ce marché, mais les tensions dans cette région jouent un rôle essentiel dans l’approvisionnement et les prix. En revanche, l’eau est rare et disputée (enjeu régional). Par exemple, les tensions sont vives entre les Turcs et les autres pays riverains du Tigre et de l’Euphrate. La question de l’eau participe

puissance militaire lui impose de lourdes charges financières. La fragilité des nouvelles frontières, la présence vigilante de l’Allemagne victorieuse, l’absence d’alliance contraignent ses gouvernements à la plus grande circonspection sur le plan international. Douloureusement marquée par le souvenir tout proche de l’invasion et des semaines sanglantes de la Commune, très profondément touchée par l’amputation du territoire, l’opinion ne semble guère disposée, par ailleurs à céder à l’attrait de nouvelles

HUIHGGSP 2-3 LA PUISSANCE DES ÉTATS-UNIS AUJOURD’HUI Introduction : Lorsque dans les années 90 Hubert Védrine, ministre des affaires étrangères de la France, qualifiait les États-Unis « d’hyperpuissance », il mettait en évidence la domination internationale étatsunienne sur l’ensemble des éléments traditionnels et indirects de la puissance mondiale. Si aujourd’hui le terme d’hyperpuissance n’est plus approprié, il n’en reste pas moins que les États-Unis occupent une place à part dans le concert

de gaz à effets de serre qu’implique l’utilisation de ressources fossiles. Ce coût social mondial du réchauffement climatique est, et sera, de mieux en mieux pris en compte grâce aux interventions des puissances publiques et à leur coordination internationale. Il peut prendre la forme d’une taxe carbone, de l’achat d’un permis d’émission ou simplement refléter le poids de restrictions pesant sur l’usage du pétrole. Mais il correspond, dans son principe, au coût du carbone émis dans l’atmosphère lors