Nationalisme France 19ème

Manuels : * Les démocraties occidentales, Hans Peter Kriesi, Economica 1993 (insiste sur les structures sociales plutôt que sur les acteurs) * Politique comparée, Yves Meny et Yves Surel, Montchrestien 2010 (sur la France, l’Allemagne, l’Italie, la Grande Bretagne, les Etats-Unis) * La politique comparée, Bertrand Badie et Guy Hermet, Armand Colin, 2005 A noter: cours un peu différent de celui des années précédentes. Au partiel il met

concepts et pratiques politiques. Autrement dit, pour les développementalistes lorsque l’on parle de politique, par exemple lorsque l’on envisage la question de la légitimité du pouvoir, on évoque la même chose que l’on se place en Indonésie ou en France, ce qui est faux en pratique. Pour le comparatisme classique il ne peut pas y avoir une science du politique sans des concepts applicables à l’ensemble des situations politiques des Etats occidentaux et extra occidentaux. De ce point de vue, ce

sort de la France. Il y a une certaine sévérité lors du traité de Paris du 30 mai 1814, traité modéré où les états imposent à la France un retour à la carte de 1792, mais elle n'a pas a payé de réparations. Les 100 jours compliquent la situation. Les 4 grands, à savoir la Russie, la Prusse, l'empire Austro-Hongrois et le Royaume Uni renouvelle leur alliance contre Napoléon (pas contre la France en elle-même). Le 2nd traité de Paris du 20 novembre 1815 est autrement sévère : la France perd des territoires

d’intégrer une dimension historique et traditionnelle pour expliquer certains phénomènes avec leur évolution au cours du temps, et l’évolution de l’Etat. Pour limiter l’exposé on se cantonnera à étudier l’Europe de l’Ouest, et principalement le cas de la France, sans toutefois pouvoir négliger l’influence des relations internationales. Enfin on se bornera à limiter la période historique afin de pouvoir s’intéresser aux phénomènes actuels et ne pas remonter trop loin dans le temps. Ainsi, il conviendra, sans

l'égalité, la solidarité, l'humanisme, la laïcité. Différentes tendances pouvant être distinguées au sein de la droite : * le libéralisme (dans certains pays, les libéraux sont considérés comme étant de gauche) * le gaullisme * le nationalisme * le souverainisme * la démocratie chrétienne * le populisme (qui peut aussi parfois être de gauche) * Concernant l’extrême droite, ce terme à une connotation péjorative, désigne des mouvements "réactionnaires" qui se considèrent

droit. - L’école germano-hollandaise, droit naturel. - Jansénisme et histoire du droit. - La révolution de 1688. - La physiocratie dans les lumières. - L’unification des nations à l’époque moderne. - L’hydre de la révolution. - Nationalisme et patriotisme. - Le congès de Laye. - Les pères fondateurs (Shuman, Adenauer, De Gaspari.) - La déclaration du 9 mai 1950. Introduction : Deux textes : Edgard Morin. Jean Patoca. « L’Europe est un concept qui repose sur des

l’Empire Ottoman. -Conflits coloniaux : Guerre en Afrique du Sud entre les paysans néerlandais soutenus par les allemands et les anglais. -Les nationalismes: panslavisme, pangermanisme, esprit de revanche (qu’ont les français) -Ambitions allemandes : Ils veulent le Congo. Si on ne leur donne pas, ils utiliseront les armes.  Fin du 19ème siècle : Europe est en paix mais armée ! (1914) Caractérisée par : -Une course aux armements. -Mise en place de deux systèmes d’alliance antagonistes

philhellène est un mouvement qui a émergé autour du conflit d’indépendance grec qui se déroula entre 1821 et 1830. (carte de la Grèce) A l’époque la Grèce est sous occupation ottomane et il se construit à l’intérieur de cette région turque une sorte de nationalisme reposant sur une histoire, une langue et une culture commune, qui déterminent la volonté grec de s’extirper de l’empire ottoman. Le mouvement philhellène n’est pas directement lié à ce conflit interne, en vérité il regroupe l’ensemble des sympathisants

la contestation jusqu’à la rupture. Par ailleurs, au sein de l’Empire, l’empereur n’a guère que des pouvoir honorifiques. Les Habsbourg qui se succèdent sur le trône à partir de 1438, essayent de centraliser l’Empire…mais en vain. La volonté du nationalisme « germanique » naissant de se partager le monde latin ruine définitivement ces efforts : l’Europe restera déchirée selon « la vieille blessure mal cicatrisée du Limes antique » (F. Braudel). En posant le principe du « Cujus regio, ejus religio »

gouvernement civil provisoire (empereur a abdiqué le 9 novembre 1918). Une révolution marxiste éclate en Allemagne (spartakistes) qui est noyée dans le sang par le nouvel Etat de la république de Weimar dominée par les socialistes (SPD) avec l’aide des cors francs. Ce sont d’anciens soldats hostile au « bolchevisme ». Parmi eux on trouve Himmler. De plus, le pays est ruiné et soufre des crises économique qui mettent au chômage des millions d’Allemands. 3. L’Italie La guerre (700 00 morts et plus de 950 000