Nations Et Nationalisme Autriche Hongrie

l’apparition de la 2.     Triple-Alliance : Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie Les pays « souhaitent » la guerre et la craignent en même temps. La France veut récupérer l’Alsace et la Lorraine qui appartiennent à l’Allemagne depuis la guerre de 1870 => une obsession Il y a beaucoup de contentions dues au nationalisme (excès de patriotisme qui entraîne la xénophobie => peur de l’étranger) qui anime tous les pays d’Europe en 1914. L’Autriche-Hongrie accuse les Serbes d’être à l’origine de l’attentat à

GM : - Eclatement des empires austro-hongrois, ottoman, russe (= Etats multinationaux : regroupant différentes nationalités, une nation dominante et des minorités nationales dominées / Etatsnations : un Etat correspondant à une et une seule Nation) Naissance de nouveaux Etats-nations indépendants : la Pologne est reconstituée (n’existait pas en 1914), Autriche et Hongrie sont séparées, naissance des pays baltes et de la Finlande, naissance de deux Etats qui n’avaient jamais existé auparavant : la

nouvelle donne géopolitique laissée par la chute du communisme ? 1- Les élargissement de l'Union Européenne depuis 1989 carte I p. 198 A) La réunification allemande= absorption de la RDA par la RFA (dessin p. 210). Printemps 1989 : Nagy en Hongrie ; Multipartisme ; ouverture de la frontière austro hongroise qui permet la fuite d’Est allemand vers l’Ouest. Octobre 1989 : Anniversaire 40 ans RDA ; Démission d’Erich Honecker face aux évolutions 9 novembre 1989 : chute du Mur de Berlin ; (Pas

extrême —> génocide Améniens, juifs, tziganes. Les deux guerres mondiales donnent naissance à l’espoir d’un nouvel ordre mondial donné sur la paix et la résolution à l’amiable des conflit entre nations. Cet espoir est à la base de la SDN (société des nationalistes) puis de l’ONU (organisation des nations unies) C’est espoir déçu —> montée des totalitarismes de l’entre deux guerres. - Guerre froide (1947-1991) = État unis / URSS Chute du communisme en URSS + Europe centrale et orientale. Problématique:

fondateurs du congrès de Vienne Le congrès de Vienne est voulu pour remettre une stabilité au sein de l’Europe et garder un équilibre pour les grandes puissances, qui se concertent pour contenir leurs rivalités et ainsi maintenir une entente. Le nationalisme, l’impérialisme rentre en tensions avec l’équilibre mis en place. Au 19e les grandes puissances secondaires sont l’Espagne, le Portugal, la Chine ; le Japon et l’Afrique subissent différentes pressions qu’elles soient européennes ou coloniales

III/ La démocratie à la veille de la 1ère guerre mondiale A) une démocratisation européenne à nuancer 1. Les régimes démocratiques au début XXe siècle 2. Les dissensions internes B) Le nationalisme, un obstacle à la démocratique I/ Les différentes principes démocratiques Les idées démocratiques prennent leurs sources dans différents principes fondamentaux. Ainsi, le principe de souveraineté, le principe d'égalité et le mode de suffrage

Exposé Langues, nations et nationalités (1814-1914). Introduction : Au 19ème siècle en Europe la variété des langues reflète souvent l’affirmation, sans cesse renouvelée des identités nationales. La langue est un ensemble de signes oraux et écrit qui permettent à un groupe donné de communiquer . On l’identifie souvent à un peuple, qui dans le temps s’en est servi comme objet de lutte pour une indépendance, dans le cas par exemple des minorités nationales au XIXe siècle. On rapporte souvent

bloc de l’Est et de l’URSS A- Un système en crise B- L’effondrement du bloc de l’Est, des démocraties populaires C- L’éclatement de l’URSS IV- L’Europe après 1989 A- La réunification allemande B- Le réveil des nationalismes C- L’éclatement de la Yougoslavie D- Elargissement de la communauté européenne V- Les puissances américaine et chinoise A- L’hyperpuissance américaine B- Les limites de la puissance américaine C- La montée en

Ainsi, les classes sont transformées par des corporations professionnelles. Le dogme marxiste de la lutte des classes est remplacé par la solidarité sociale. Mussolini est antisocialiste puisqu'il pense que le succès de l’industrie est le succès de la nation. Economie est autarcique, Mussolini prétend pouvoir tous gérer. Pour régler les problèmes économiques ci-dessus, il essaye de réduire les importations. Il mène une politique de grands travaux pour pouvoir lutter contre le chômage mais plutôt pour

pendant des années de la vision politique de Metternich son mentor. Pour ce dernier la tourmente révolutionnaire issue de la révolution bourgeoise française et véhiculée à travers toute l’Europe par les armées napoléoniennes, a propagé l’idée de « nation » et, pire, de « souveraineté nationale »  qui entrent en opposition absolue avec les principes de « légitimité » et « d’ordre établi » sur lesquels s’étaient jusqu’alors fondées l’organisation politique de l’Europe. Il s’agit donc pour l’élève de