Nations Et Nationalisme Autriche Hongrie

fait est que le XIXe siècle était le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie, ceci ne signifie pas que le XXe siècle doit aussi être le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie. Les doctrines politiques passent ; les nations restent. Nous sommes libres de croire que ceci est le siècle de l'autorité, un siècle tendant vers la “droite”, un siècle fasciste. Si le XIXe siècle était le siècle de l'individualisme (le libéralisme implique l'individualisme) nous sommes libres

aux Pays-Bas (naissance de la Belgique), en Allemagne, en Italie, en Autriche-Hongrie. Il s'agit pour ces peuples de revendiquer des libertés nationales. Les philosophes des Lumières mettent au point la théorie du Droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. On retrouve ainsi ce thème chez Michelet. Il s'agit avant tout de soutenir un nationalisme patriotique. On le met en parallèle avec le libéralisme. Lien libéralisme-Nation; B. La confrontation de la pensée libérale au mouvement démocratique

un principe de liberté religieuse, l’Etat est séparé de toutes les confessions mais une religion civile existe, les discours sont des sermons. De plus, le président prête serment sur la Bible et sur le dollar. Les Etats-Unis se pensent comme une nation « under God ». Genève est une cité calviniste. En Allemagne, l’unité de 1870 grâce à la défaite française est traduite par un combat religieux. L’Allemagne est composée d’une multitude de petits Etats de confession différente. C’est un véritable

infrastructures pour faire fructifier leur économie. Ex : Développement des transports. Il se forme par la suite un capitalisme indigène : Capitalisme industriel et financier. On constate l’émergence d’une classe bourgeoise à l’origine de la montée du nationalisme puisque les élites ont accès aux études. 1. Maitrise de l’espace économique internationale On constate la maitrise des outils technologiques. Ex : Les Européens contrôlent 83% du réseau de transport maritime dans le monde. On constate

I. Chapitre 1 : 1815-1848, l’Europe de Metternich Metternich : chancelier d’Autriche de 1809-1848. Congrès de Vienne. La France c’est Napo et Robespierre. A. La France au ban des Nation 1. La fin d’une ambition démesurée. Fin de l’immense empire français. Napo, par ses victoires successives, voulant vaincre l’Angleterre, avait créé le blocus continental pour ruiner commercialement l’Angleterre, ce qu’il l’a conduit à une succession de conquêtes qui ne tenaient pas compte des réalités politiques

trois millions d'entre eux habitent en Roumanie, soit plus de dix pour cent de la population. Les changements géopolitiques survenus dans les pays de l'Est à la fin des années quatre-vingt ont accentué la crise économique, engendré la montée des nationalismes et fragilisé la situation des roms.Les Roms le plus souvent artisans, commerçants ou musiciens, travaillaient à l'époque et pour la plus part d'entre eux dans des fermes de l'état.A la chute du régime, ils furent les premiers touchés par le chômage

révolution (notamment chez la bourgeoisie et les artisans). Cependant, le taux d'analphabétisme est encore très important. Un pays empêche l'unification : l'Autriche. Cette opposition va augmenter le processus d'unification. Le concept de Nation italienne précède la Nation italienne même. Il existe 2 possibilités à l'unification : • Le peuple se soulève (Mazzini) : insurrection qui donne naissance à l'Italie. • Voie diplomatique et militaire, autour d'un Etat qui voudrait prendre la tête du

parents car jamais parents de Blache ne lui avaient demandé quoi que ce soit comme loyer. Après les vacances de Pâques, Christa quitta l’école et Blanche et ses parents continuèrent leur vie comme s’ils ne c’était jamais rien passé.L'impérialisme des nations européennes est rendu visible à travers la question coloniale. La conférence de Berlin de 1885 avait permis le partage de l'Afrique entre les puissances européennes. Une notable partie de l'Afrique centrale, le Congo était octroyé au roi des Belges

les barbares sont plus serviles dans leur nature que les grecs et les asiatiques plus que les européens ». Pour autant, il ne confond pas tous ces peuples et tente d’affirmer la différenciation entre les premiers et les autres. Aristote a dit « les nations habitant les endroits froids et celles de l’Europe sont pleines de courage mais parfois déficientes en intelligence et en habilité de sorte qu’elles restent comparativement libres mais manquent d’organisation politique et de capacité à organiser leurs

avec la Révolution française que se développe l’idée d’état-nation, qui veut que les frontières d’un état correspondent au territoire d’un peuple. Les frontières sacralisent dès lors un territoire dans lequel s’inscrit un peuple qui revendique son identité culturelle, et se bat pour conserver, protéger ce qu’il considère comme faisant partie intégrante et inaliénable de la nation. De là découle les notions de patriotisme et de nationalisme, l’attachement des français à récupérer l’Alsace-Lorraine durant