Ne le dis à personne

Quand ça à commencé, je n'avais rien à dire. Et je me suis perdue dans mon néant intérieur, j'étais confuse. Et j'ai tout laissé sortir pour réaliser que je ne suis pas la seule avec ces pensées en tête, à l'intérieur de moi. Mais tout le vide que les mots ont révélé était la seule chose qu'il me restait à sentir, rien à perdre. Juste prisonnière et seule. Je voulais guérir et penser que ce que je pensais n'avait jamais été réel. Je voulais laisser partir la douleur que j'avais gardé et l'effacer

un mot employé à la place d’un nom (pro-nomen). Par exemple, dans cette phrase : Cette papaye est mure. Elle doit être mangée maintenant. Le pronom « elle » est employé à la place du nom papaye. Cette définition ne convient pas pour tous les emplois des pronoms; supposons ce dialogue : Doudou: je mangerai bien quelque chose. Amy: j’ai deux papayes. Elles sont mûres. Doudou: Merci. je prends celle-la. Dans ce dialogue, il y a plusieurs pronoms. -Le pronom « elles » est mis à place du SN deux

5: En me levant du canapé pour aller faire à manger, je glissai et me tapai la tête sur la table basse. Et la plus rien, je n'entendais plus rien, et ne voyais rien non plus… __________________________ *PDV d'Harry* Ça faisait environ 1 semaine qu'elle était dans cet état. Moi et les boys, on était vraiment mal… Surtout Niall, il ne mange plus trop ces derniers temps et passe la plupart du temps vers Océane. Mais bon, aujourd'hui le médecin nous a dit qu'il devait nous dire quelque chose de très

le dis à personne... Présentation de l'auteur et de l’œuvre : Harlan Coben, né en 1962, vit dans le New Jersey. Il est diplômé en sciences politiques au Amherst College, où il a fait ses études, il a par la suite travaillé dans l'industrie du voyage avant de se consacrer à l'écriture en 1995. La critique n'a cessé de l’acclamer depuis ses début, il est notamment le premier auteur à avoir reçu le Edgar Award, le Shamus Award et le Anthony Award, les trois grands prix de la littérature à suspens

esclaves, dépendantes, sujettes à mille obstacles et à mille inconvénients, et entièrement étrangères. Souviens-toi donc que, si tu crois livres les choses qui de leur nature sont esclaves, et propres à toi celles qui dépendent d’autrui, tu rencontreras à chaque pas des obstacles, tu seras affligé, troublé, et tu te plaindras des dieux et des hommes. Au lieu que si tu crois tien ce qui t’appartient en propre, et étranger ce qui est à autrui, jamais personne ne te forcera à faire ce que tu ne veux point

Agnosticisme Pour ma part, à quelqu’un qui me pose la question de savoir si je crois à quelque chose, je réponds : «  Je suis un agnostique inquiet ». Je suis un agnostique inquiet  En effet, je dis que je ne sais pas si je peux ou dois croire à quelque chose dont j’ignore l’existence. Je dis que ne sachant pas s’il existe une entité suprême – appelons la Dieu, puisque c’est ainsi, dans nos contrées, que certains le dénomment - je ne peux avancer la moindre idée d’une existence au-delà ou en

A chacun sa vérité ! "A chacun sa vérité !" est le credo "post-moderne". Mais est-ce vrai ? Est-il réellement possible de penser ce que l'on veut ? Au risque d'attrister quelques personnes, cet article montre qu'un hippocampe est bien un hippocampe même dans un monde "post-moderne". S'il est une chose qui reste totalement sacrée dans ce 21è siècle, c'est la liberté individuelle. Chacun doit avoir le droit de penser ce qu'il veut, de faire ce qu'il veut. Du moment que ça lui fait du bien il n'y

un procès devant le Roi ? SOCRATE. Non pas un procès, Euthyphron : les Athéniens appellent cela une affaire d'état. EUTHYPHRON. Une affaire d'état ! Quelqu'un t'accuse apparemment ; car pour toi, Socrate, je ne croirai jamais que tu accuses personne. SOCRATE. Certainement non. EUTHYPHRON. Ainsi donc, c'est toi qu'on accuse ? SOCRATE. Justement. EUTHYPHRON. Et quel est ton accusateur ? SOCRATE. Je ne le connais guère personnellement ; il paraît que c'est un jeune homme assez obscur

et douze venues; mais j'ai oublié à lui demander si c'est 4. en long ou en large. 5. TOINETTE 6. Monsieur, voilà un... 7. ARGAN 8. Parle bas, pendarde! tu viens m'ébranler tout le cerveau, et tu ne 9. songes pas qu'il ne faut point parler si haut à des malades. 10. TOINETTE 11. Je voulais vous dire, monsieur... 12. ARGAN 13. Parle bas, te dis-je. 14. TOINETTE 15. Monsieur... 16. (Elle fait semblant de parler.) 17. ARGAN 18. Eh? 19. TOINETTE 20. Je vous dis que... 21. (Elle fait semblant de

condamnerai à mort. LEWIS CARROLL Alice au Pays des Merveilles. Le bourreau J’ai dit d’accord. Je suis facilement d’accord sur les choses. Enfin, je l’étais avec Elle. Une fois, je lui ai donné une gifle et, une fois, je l’ai battue. Et puis, je disais d’accord. Je ne comprends même plus ce que je raconte. Il n’y a qu’à mes frères que je sais parler, surtout le cadet, Michel. On l’appelle Mickey. Il charrie du bois sur un vieux Renault. Il va trop vite, il est con comme un verre à dents. Une