Ne le dis à personne

.....................................35 3...................................................................................................35 4...................................................................................................35 À propos de cette édition électronique...................................36 –6– I 1. Parmi les choses qui existent, certaines dépendent de nous, d’autres non. De nous, dépendent la pensée, l’impulsion, le désir, l’aversion, bref, tout ce en

XXXIV. avec PRIVILÈGE et APPROBATION - 3 -ACTEURS. LE COMTE, père d'Hortense. LA MARQUISE. HORTENSE, fille du Comte. ROSIMOND, fils de la Marquise. DORIMÈNE. DORANTE, ami de Rosimond. MARTON, suivante d'Hortense. FRONTIN, valet de Rosimond. La scène est à la campagne dans la maison du comte. - 4 -ACTE I SCÈNE PREMIÈRE. Hortense, Marton. MARTON. Eh bien, Madame, quand sortirez-vous de la rêverie où vous êtes ? Vous m'avez appelé, me voilà, et vous ne me dites mot. HORTENSE. J'ai l'esprit inquiet. MARTON

...................................35 3...................................................................................................35 4...................................................................................................35 À propos de cette édition électronique...................................36 –6– I 1. Parmi les choses qui existent, certaines dépendent de nous, d’autres non. De nous, dépendent la pensée, l’impulsion, le désir, l’aversion, bref, tout ce en

j'arrive plus à aller de l'avant. J'me force à sourire aux gens pour leur faire croire que tout va bien. Mais en vérité, je sais plus du tout où j'en suis, je n'arrive pas à savoir ce que je ressens. Sérieusement, j'me reconnais même plus.. Je ne m'étais jamais mis dans un état pareil à cause d’une personne. Je savais que c'était un sentiment unique. Mais, je n'avais jamais encore vraiment ressenti ce que ça faisait. Je ne pensais pas que ça pouvait faire à la fois autant de bonheur et à la fois autant

nécessairement rester soi-même ? A priori oui. Généralement, c’est un devoir envers les individus de rester soi-même, on nous oblige à l’être afin de garder cette authenticité chez la personne qui est selon moi la personnalité. Cette dernière nous reflète et c’est ce qui nous différencie d’autrui. Rester soi-même est fondamental pour beaucoup de situations par exemple, un entretien d’embauche où l’on doit clairement décrire notre personnalité en énonçant nos qualités et défauts. C’est à partir de la que l’on

Elle raconte : - Il y a trop de vieillards ! Partout, trop de vieillards. Ça coûte cher, ça bouffe l’espace, la planète va suffoquer. On n’ose pas trop le dire, mais lorsqu’on aligne les statistiques, ça fait peur… L’autre jour, je prends l’autobus et me voilà assise en face d’un de ces vieillards, édenté, voûté, tête branlante ; ses deux mains tachetées de roux s’appuient sur une canne. Puis un deuxième, tout aussi décrépit, vient s’asseoir à son côté. Arrive ensuite un troisième

prêts le matin même, je n’ai plus qu’a un prendre et préparer mon chariot. « Est ce que j’ai tout le matériel nécessaire pour réussir mon soin ? » J’ai les gants stériles à la bonne taille, j’ai des compresses, du savon antiseptique, des flacons d’eau, et de l’eau antiseptique. «  Pourquoi pas de la Bétadine ?  Certaines personnes peuvent faire une réaction allergique » J’ai aussi un champ stérile, un collecteur d’aiguille, un sac jaune et un sac noir, un garrot, des tégaderms, et des cathéters de

vie et le cahier de liaison. J'observe la personne dans son cadre de vie et j'échange avec les autres intervenants pour connaître son histoire, son état de santé, sa vie antérieure, ses habitudes et ses goûts. Je me donne le temps d'établir un contact puis une relation avec elle. Madame L a 60 ans. Elle est de taille moyenne et de forte corpulence. D'origine rurale, elle est née à Homps (Aude) où elle a vécu toute sa vie. Handicapée mentale légère, elle a vécu toute sa vie avec ses parents, viticulteurs

d'intrigue. MAITRE SIMON, courtier. MAITRE JACQUES, cuisinier et cocher d'Harpagon. LA FLECHE, valet de Cléante. DAME CLAUDE, servante d'Harpagon. BRINDAVOINE, laquais d'Harpagon. LA MERLUCHE, laquais d'Harpagon. LE COMMISSAIRE et son clerc. La scène est à Paris. ACTE PREMIER SCENE PREMIEREVALERE, ELISE. VALERE Hé quoi ? charmante Elise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? Je vous vois soupirer, hélas ! au milieu de ma joie

I. La défense des passions A. Un texte argumentatif - Discours structuré : « il faut commencer par » ; « ce serait donc » ; « Mais » ; « on connaît donc » ; « or » ; « il est donc à désirer ». - Antithèses pour accentuer l’opposition des deux thèses : « bien et le mal » ; « malheureux » / « heureux » ; « cherchent » / « cherchent rien » ; « intéressants » / « inconnus » + oxymore : « bonheur obscur ». - Procédés oratoires : question rhétorique = « les passions ne font-elles pas plus de malheureux