Ne le dis à personne

résidente Liliane D. a 65 ans, elle a intégré l’EHPAD en janvier 2010, elle avait alors 61 ans, ce qui est très rare dans ce type d’Etablissement spécialisé dans l’accueil des personnes âgées. Elle est mariée, elle a deux fils et deux petits enfants ainsi que deux sœurs avec lesquelles elle entretient de bonnes relations. Elle était infirmière et est à la retraite depuis février 2009. Depuis une vingtaine d’années, au moment où les enfants ont quitté le domicile parental, le couple a mené une vie très

des lycéen et collégien parisien. Brotherhood est une web série posté sur la plate forme de vidéo you tube. L'histoire parle d'un jeune personnage se réveillant au milieux d'un combat à mort entre deux groupes. Il apprend au fur et à mesure que plusieurs clan existe réunissant 50 enfants. Regardant son tatouage a l'épaule, il remarque qu'il est le numero 50. Il décide alors de formé sont propre groupe et de contourner la voix qui donne les ordres pour enfin sortir de cet enfer. Chapitre 1

Cher Jean-Michel De Cloison Le 17 mars 1876 A Paris Mon cher ami, je vous plein pas que a Paris c’est très bizarre je vous ne raconte pas. Vous ne me croyiez jamais je vous dis pour ce déplacer les personnes doit utiliser sur une sorte de machine extraordinaire qui a 4 roues, on peut aller partout avec sa ils s’appellent sa «  une voiture », une chose électronique qui prend un liquide qui s’appelle  « le pétrole ». Je suis allé dans la maison d’un jeune garçon que j avais rencontré il

PARIS NUMBER !!!! Tout a commencé un jour comme les autres, je revenais d’une promenade à vélo avec quelques amis et j’étais dans ma chambre. La journée m’était parue si longue que j’avais du mal à garder mes yeux ouverts… Malgré les appels de maman, je n’arrivai pas à bouger, j’avais l’impression d’avoir un gros poids sur mes jambes ; Je pleurai mais personne ne m’entendait, je criai (du moins j’essayais) mais aucun son ne sortait de ma gorge ! La panique me prenait peu à peu… Que m’arrivait-il 

qu’un poète médiocre, qui n’était pas médiocrement dur, nommé Iro, fit de mauvais vers à ma louange, dans lesquels il me faisait descendre de Minos en droite ligne ; mais mon père ayant été disgracié, il fit d’autres vers où je ne descendais plus que de Pasiphaé et de son amant. C’était un bien méchant homme que cet Iro, et le plus ennuyeux coquin qui fût dans l’île. Mon père m’envoya, à l’âge de quinze ans, étudier à Rome. J’arrivai dans l’espérance d’apprendre toutes les vérités ; car jusque-là on

La situation que j’ai choisi se déroule le mercredi 17 octobre 2012 à 8h dans un service de gérontopsychiatrie. Il s’agit d’une douche réalisée à une personne démente. Mme G est âgée de 75 ans, elle présente une désorientation temporo-spatiale et une confusion chronique. Chaque jour nous devons donc l’aider pour les actes de la vie quotidienne. C’est une personne qui ne présente pas de troubles moteurs, elle est donc capable de réaliser les gestes pour se laver. Il faut lui rappeler ce qu’elle doit

prologue, de deux grandes partis avec deux monologues entre les deux et d’un épilogue. Cette œuvre parle de tragédie, des personnes diviser en deux clans, un cadre spatial précis mais une temporalité floue, l’échec de la communication et son manque, des répétitions... Nous allons voir en quoi la crise familiale est plus théâtrale que la crise individuelle. Afin de répondre à cette question, nous allons montrer dans deux grandes partis, la crise individuelle de Louis, et dans un second parti, la

vainqueurs a échappé à l’incinération. J’ignore pourquoi exactement. Peutêtre pour offrir un point de chute agréable à ceux qui seraient contraints de revenir en mission pour le Capitole. Une équipe de journalistes. Un comité chargé d’estimer l’état des mines de charbon. Une escouade de Pacificateurs envoyée ramasser d’éventuels réfugiés. Mais personne n’est revenu pour l’instant sauf moi. Et encore, uniquement pour une brève visite. Les autorités du district Treize étaient opposées à cette idée

goûters. J’arrive à la chambre 11, c’est une dame de 81 ans qui faut faire manger, car elle a le bras droit plâtré, du a une chute à son domicile, et elle ne sait pas manger avec son bras gauche. Je l’aide donc à s’installer correctement dans son fauteuil, tous en lui expliquant. Je sais que cette dame ne parle que très peu voir même pas du tout. Mais n’envisageant pas faire mon soin sans parler, je commence donc à parler un peu de tout et de n’importe quoi. Par exemple je lui dis qu’il fait très

d'intrigue. MAITRE SIMON, courtier. MAITRE JACQUES, cuisinier et cocher d'Harpagon. LA FLECHE, valet de Cléante. DAME CLAUDE, servante d'Harpagon. BRINDAVOINE, laquais d'Harpagon. LA MERLUCHE, laquais d'Harpagon. LE COMMISSAIRE et son clerc. La scène est à Paris. 5 L’Avare ACTE PREMIER 6 L’Avare - Acte 1 - Scène 1 Scène première VALERE, ELISE. VALERE. - Hé quoi ? charmante Elise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de