Négociations sur la limitation des armements stratégiques

Introduction sur la bataille et la guerre, la terreur et l’horreur et la menace de guerre. 1ère partie : Les temps de la guerre * Tactique (de l’antiquité au moyen âge) * Historiques / Stratégique (jusqu’à la guerre atomique) * Guerre des communications (aujourd’hui) 2ème partie : La période stratégique (de 1945 à 1990 : la période atomique) 3ème partie : L’effondrement de la stratégie atomique (chute du mur de Berlin, guerre golfe persique) 4ème partie : L’Amérique mercenaire ?

photocopie terminale S) La participation décisive des États-Unis par le nombre de soldats, (Voir document 1 page 178) la fourniture de produits miniers, énergétiques, industriels et agricoles donna un poids considérable au Président Wilson lors des négociations de paix. (Biographie Terminale L page 184, Terminale S page 76) Dès janvier 1918, avant la fin du conflit, il envoie au Congrès des États-Unis, un programme en 14 points qui définit un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre libéral américain tant

la « renaissance » des Nations unies et ne doutait plus de son « effectivité ». En dix ans, la rivalité bipolaire avait cédé la place à un nouvel esprit de concertation. Grâce notamment au nouveau cours de la politique soviétique, de véritables négociations diplomatiques pouvaient s'engager dans les instances onusiennes, à commencer par le Conseil de sécurité. Après des années d'inaction, le Conseil de sécurité adopta une résolution vigoureuse (juillet 1987) appelant l'Irak et l'Iran à mettre fin

craindre le déclenchement d’une Troisième Guerre mondiale. La politique extérieure américaine à propos de Cuba ne se réduit pas à la crise des missiles : ce paroxysme masque trop souvent que la question cubaine l’excède largement, pour des raisons stratégiques. Plusieurs politiques américaines se succèdent sur la question : dans sa campagne présidentielle, KENNEDY a critiqué vigoureusement la politique d’EISENHOWER, jugée insuffisamment ferme vis-à-vis de CASTRO. Mais le plan d’invasion de l’île de Cuba

Yalta (février 1945) et de Potsdam (juillet-août 1945) permettent aux alliés de régler le sort de l'Allemagne (dénazification, démilitarisation et occupation) et de délimiter les nouvelles zones d'influence en Europe centrale et orientale. Les négociations de Yalta et de Potsdam ont réveillé d'importantes divergences opposant les puissances occidentales et l'URSS en ce qui concerne l'avenir de l'Europe. Pour Staline, l'URSS qui a payé le plus lourd tribut dans la guerre contre l'Allemagne nazi a

seule force du droit dans la mesure où il n’existe pas comme en droit interne d’entités supérieures. Dans le droit interne, l’organisation est verticale tandis qu’en droit international, il y a des rapports qui sont uniquement horizontaux et la limitation se fait entre deux confrontations de souveraineté qui ont exactement le même pouvoir. En droit international, il n’y a pas d’entités supérieures. Ce droit va être appelé droit volontaire puisqu’il va être le produit de la volonté des Etats qui

l’adhésion des pays de l’Est avec les anciennes organisations de l’Europe occidentale, ils essaient d’entrer dans l’OTAN, dans l’UE… Les plus affectées sont les organisations conçues dans un contexte de bipolarité comme l’OTAN qui voit son contexte stratégique complètement modifié. La CSCE (gestion entre les blocs) va devenir un nouvel instrument d’ordre commun, uniforme, articulé autour des valeurs occidentales. Au-delà, toutes les organisations européennes ex-occidentales sont confrontées à trois défis

« socialiste »au niveau économique (collectivisation des usines et des terres agricoles : aucunes propriétés privées, planification autoritaire de l’économie, nationalisation). On peut donc comprendre pourquoi ces deux puissances pour des raisons stratégiques et idéologiques se combattent. Jusqu’en 1945, ces deux grands, ont évité le conflit en raison du surgissement d’un ennemi commun : les fascismes. Entre 1941 et 1945, une Grande Alliance américano soviétique provoque la naissance des circonstances

(le Dodécanèse, alors ottoman) de la mer Egée: au tour de la Grande-Bretagne de s'inquiéter de cette menace potentielle pour "sa" route des Indes. À plus petite échelle, ce sont déjà les enchaînements fatals de l'été 1914 qui s'annoncent. Chaque négociation est emplie d'arrière-pensées, et mieux vaut faire attention à ce que l'on signe. Par exemple, à partir de 1903, les Allemands tentent de manière répétée d'obtenir l'accord britannique (puissance européenne dominante au Proche-Orient

sont les iles de la Micronésie en 1994. 6) Le secrétariat général. C’est le plus haut représentant de l’ONU sans avoir, cependant, d’énormes pouvoirs. La compétence : Il effectue des missions d’enquête, de médiation, de négociation pour le compte de l’ONU. Son rôle est quand même capital car il peut freiner un processus. Le secrétaire général: Est élu par l’AG sur recommandation du conseil de sécurité. Il doit être approuvé par une majorité qualifiée des Etats membres et