Nénuphar

générale de la somme des nombres de 1 à n, avec n entier naturel. Somme = (1+ n) x n/2 . 5°/ Enigme : Les nénuphars. Dans un lac, on plante un nénuphar qui a la capacité de donner naissance chaque jour à un autre nénuphar, qui lui même a la même capacité. Au bout de 30 jours le lac est totalement recouvert et la colonie de nénuphar meurt asphyxiée. [pic] Question : Au bout de combien de jours, la moitié du lac serait recouverte ? Réponse : 29 jours et

certains cas, à des propriétés dites de super-hydrophobie, c’est-à-dire à des angles de contact apparents supérieurs à 160°, qui donnent à une goutte posée l’aspect d’une perle [2]. Ceci s’observe sur certains matériaux naturels, comme les feuilles de nénuphar ou les plumes de canard, où les photos au microscope électronique révèlent l’existence de textures microniques à la surface solide, couvertes d’une mince pellicule de cire qui assure leur hydrophobie [3]. Une première question est donc de comprendre

sa romance à la brise du soir… Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses longs voiles bercés mollement par les eaux : Les saules frissonnants pleurent sur son épaule, Sur son grand front rêveur s’inclinent les roseaux[.] Les nénuphars froissés soupirent autour d’elle : Elle éveille parfois, dans un aune qui dort, Quelque nid d’où s’échappe un léger frisson d’aile - Un chant mystérieux tombe des astres d’or… II Ô pâle Ophélia ! belle comme la neige ! Oui tu mourus,

mystère ou la mystification, puisque l’on ne saura jamais, non plus, jusqu’à quel point le poete fut lucide ou possédé (6). » Si l’on se rapporte à ,,L’écume,, on verra en effet que tous les événements de ce roman présentent cette ambiguité : le nénuphar qui ronge les poumons de Chloé peut symboliser deux ou trois maladies que nous connaissons bien, et singulièrement la tuberculose. Mais il s’inscrit, également, dans l’expression logique d’un monde où les fleurs poussent sur les trottoirs. L’anéantissement

bébé ... ». Les bébés ont une caractéristique principale, ils ne savent pas se retenir quand ils ont envie de pleurer, car c’est le seul moyen qu’ils ont pour exprimer tous leurs besoins. Cependant Chloé vient d’apprendre chez le docteur qu’elle a nénuphar au poumon droit et qu’elle sera à coup sûr opérée. Cette nouvelle l’a anéantie d’où cette description réaliste faite d’elle par Vian. Par son ambition, l’hypotypose est une figure de la mimesis, car l’auteur l’utilise pour dépasser, ou en tout cas

 aujourd’hui,  à  39  ans  comme  Carmen  à   l’époque,  comprend  mieux  !     fin  142,  la  détente  de  Carmen,  avec  cette  belle  image  d’une  odeur  de   menthe  ou  feuilles  de  nénuphar  qui  remonterait  doucement  à  la  surface   des  eaux  tranquilles  d’un  étang  :  Là,  on  aurait  juste  un  instant  où  le  passé   qui  remonte  est  heureux  !  Ici,  image  proche

lycéens. WILDE O., Le Portrait de Dorian Gray. YOURCENAR M., Nouvelles orientales, « Comment Wang-Fu fut sauvé ». Essai, dialogue BADINTER R., L’Abolition. JACQUARD A., Trois milliards d’hommes dans un vaisseau, Eloge de la différence, L’Equation du Nénuphar. PENNAC D., Comme un roman. Cet essai lors de sa sortie a beaucoup plu aux élèves. L’intérêt du texte s’est émoussé au fil des années sans que l’on puisse en donner la cause. Il semble que ce qui « faisait mouche » il y a dix ans ait du mal à faire

(1888) En peinture, le tableau qui a donné son nom au mouvement est ce tableau de Claude Monet de 1872 : Impression, soleil levant : Monet a beaucoup médité sur la lumière et les réflexions dans l'eau. C'est le peintre des nymphéas et autres nénuphars à Giverny. Il a également peint de multiples versions de la cathédrale de Rouen, et ici la Gare Saint-Lazare : Monet était très intéressé par certaines couleurs, notamment les variations autour du violet et du jaune. Monet est sans doute l'impressionniste

que cela paraisse, nous allons déguster pendant quelques jours ... 15 Novembre : Nous prenons le bus en fin de matinée pour le jardin botanique de Pamplemousse.(Site incontournable de Maurice.Entre autres dizaines d'essences, il recèle des nénuphars géants, des bambousdorés, du talipot, duraphia, un bananian vieux de deux cent ans et des épices en grand nombre.) A l'entrée, nous rencontrons un guide fort sympatique, qui nous propose de nous faire visiter le jardin pour 50 roupies par personne

plusieurs centaines de kilomètres parfois. On doit se les représenter comme le Tchad actuel, des nappes très vastes, mais toujours peu profondes, à sol vaseux aux bords plantés d’épées fourrées de roseaux et de papyrus, aux eaux tièdes couvertes de nénuphars bleus ou roses et de gentianes blanches. Crocodiles et poissons y grouillaient, en particulier des silures «poissons chats » et d’énormes perches ; l’hippopotame n’y était pas rare, tandis que sous le couvert de la rive boisée, dans les clairières