Neo Lyrisme

comédie héroïque en vers : Cyrano de Bergerac en 1897. Dans cette pièce étudié le personnage principal s’inspire de fais réel en illustrant un écrivain qu’il transforme en héros romantique. Rostand confirme sa vocation de dramaturge et la dimension néo-romantique de son théâtre, tant par les thèmes choisis que par son style d’écriture. Il est élu à l’âge de 35 ans à l’Académie française et décèdera en 1918 à 50 ans. Dans l’extrait analysé du vers 1440 à 1477 de la scène 7 de l'acte 3, il est question

: la description naturaliste ou les métamorphoses de Paris, chap.IV. Texte 3 : extrait, Une page d’amour, E. Zola : la description finale de Paris : une vision impressionniste. Texte 4 : extrait, Voyage au bout de la nuit, L.F. Céline, 1932 : le néo-réalisme : description de la zone. Lectures complémentaires : Texte 1 : extrait, Sortie d’usine, F. Bon, 1982. Textes 2, 3, 4, 5 : analyse d’un corpus : rôle et caractéristique du roman : Balzac, Goncourt, Zola, Maupassant. Texte 6 : extrait

pétillant, l'ambiance faite à la fois de panache et d'émotion, le lyrisme des tirades. Cette œuvre n'a pas pris une ride depuis sa création. Le héros, Cyrano, spadassin au cœur tendre et enlaidi par un nez protubérant, devient un mythe du théâtre et un personnage qui tente les plus grands acteurs. Créé par Coquelin l'aîné, il est incarné magistralement en 1960 par Daniel Sorano à la télévision. En 1900, Rostand publie un second drame néo-romantique, L'Aiglon, qui transforme la vie du duc de Reichstadt

véritable ascèse morale, le poésie telle que la conçoit la Pléiade trouve sa plus grande originalité dans une alliance mesurée du legs de l’Antiquité (avec lequel le poète doit procéder par innutrition), des influences italiennes de l’époque (Pétrarque, néo-platoniciens de l’école florentine) et de la langue nationale, qui devient le moyen d’expression littéraire par excellence. Ainsi, dès 1545, Jacques Peletier du Mans se fait-il l’ardent apologiste du français, dont l’humanisme avait parfois usé (Dolet

pour exalter la figure de l'artiste libre contre le bourgeois vulgaire et matérialiste, en créant le mythe de l'artiste bohème et rejeté qu'illustre notamment la figure du peintre ou du poète maudit. Dans le domaine des arts, en France, à côté d'un néo-classicisme officiel et académique (allant parfois jusqu'à l'art pompier), on retrouve les grands courants esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix ou Berlioz et, plus tard, le réalisme avec Courbet et, à la même période, en musique

L’auteur traverse alors une phase de doute. Il écrit une pièce symboliste, Chantecler, en 1910, qui est un échec. Après la guerre, il meurt de l’épidémie de grippe espagnole qui sévit alors en France. Edmond Rostand est ce qu’on pourrait appeler un néo-romantique. Après l’échec des Burgraves de Victor Hugo en 1843, le romantisme au théâtre semblait condamné. Mais il connut un dernier moment d’éclat avec le Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, qui fut une des dernières réussites du théâtre en vers

amoureuse, à la manière de Jodelle ou de Jamyn. Il développe cette souffrance de manière lyrique recourant au mythe antique, s’investissant personnellement dans le sonnet ce qui le rend si poignant, tout en restant fidèle au Baroque. 1. Le Lyrisme de la souffrance amoureuse. Si ce sonnet est des plus touchant, c’est que le « je » est impliqué au plus profond du sentiment de souffrance amoureuse qu’il exprime. Ainsi le narrateur est-il on ne peut plus interne au sujet, mieux il vit pleinement

Le poète romantique doit guider le peuple et remplir une mission à la fois politique, religieuse. Le lyrisme romantique débute vers 1820, lors de la parution des « Méditations poétiques » de Lamartine, recueil de 24 poèmes exprimant le fardeau qu’est l’amour. et exprime d’une façon passionnée et poétique les tourments de l'amour et de l'âme. C’était une façon de se démarquer de la poésie néo-classique. C'est dans la nature que le poète trouve un réconfort ainsi que le moyen de s‘évader, ils préfèrent

siècle comme Victor Hugo, Emile Zola, Maupassant, Jules Verne, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire ils se son distingués dans des genres comme la poésie, le théâtre et le roman. I La richesse artistique du XIXe s Dans le domaine des arts, à coté du néo-classicisme officiel et académique (appelé art pompier) on retrouve les grands courants comme le romantisme avec le peintre Delacroix et le musicien Berlioz, le réalisme avec Courbet et des musiciens comme Gounod et Bizet. Durant les dernières années

aussi retravailler épigrammes, épîtres et satires sur le modèle des Anciens. Amour, célébration de la nature, carpe diem (figures de style : hyperbole et antithèse), sont les thèmes dominants. La poésie (et même la poésie galante) est empreinte de néo-platonisme, mais elle s'inscrit aussi dans le temps des guerres et plus spécialement des guerres de religion : quelques poètes (Ronsard, Agrippa d'Aubigné) s'engagent et manient leur poésie comme une arme. Le XVIIe siècle Le XVIIe siècle