Néologisme

qu'on fait semblant de connaître. Vanité + mensonge. Allusions historiques aux conflits d'intérêt et aux guerres entre Rome, alliée des Français, d'une part, et Florence et Naples d'autre part. Idem pour le 1er tercet qui commence par un joli néologisme, "seigneuriser" attaquant la flagornerie, la servilité que l'on réserve aux puissants. ..." d'un baisement de mains : geste d'une solennité pompeuse ridiculisé ici par l'auteur. Vers suivant, cible clairement attaquée sous la forme de la comparaison

Un sentiment trouble est créé… Dans la suite du vers, le néologisme « râle mourir » accentue l’ivresse du poète.Dans le 4ième vers  : A la fin de la strophe, on assiste au retour des fées que le poète avait voulu écarter dans la strophe précédente. On note le passage de « femmes » (vers 3) à « fées », confirmant la dimension merveilleuse et magique de ces figures féminines. Une nouvelle fois, on observe un néologisme avec le mot « incante » qui le plonge d’autant plus dans l’ivresse

initial entre Père Ubu et Mère Ubu : personnages grossiers, violents, arrivistes, vantards, peureux. Père Ubu est désigné comme « fort grand voyou » (l. 3), « pauvre malheureux » (l. 28), « gueux » (l. 48) par Mère Ubu. - Grossièreté : « merdre » (néologisme) (l. 1), « de par ma chandelle verte » (l. 7) (connotation phallique), « cul » (l. 30), « bougre de merdre, merdre de bougre » (l. 40-41), « vrout, merdre » (l. 54) - Violence : « Que ne vous assom'je » (l. 4), « Tu es si bête ! » (l. 20), « Qui

Vian crée souvent de nouveaux mots, c’est pourquoi les néologismes sont très nombreux dans L’Écume des jours. Dans l’extrait choisi par exemple, à la page 115, Vian intègre deux néologismes : «nutritionner[4]» et «zonzonnaient[5]». Deux verbes, le premier est dérivé de son mot d’origine «nourrir» tandis que le deuxième provient d’une onomatopée «zonzon» (le bruit du bourdonnement d’un insecte volant). Nous retrouvons souvent des néologismes dans le langage parlé populaire, et c’est sûrement l’une

(ouverture chapitre 7) Comparaison « plus de raison que d’année » -> le contraste entre sa jeunesse et ses connaissances Docteur en gaie science = référence à l’humanisme : « je te ferai passer docteur en gaie science » L3&4 Torcheculatif -> néologisme -> effet de comique pour désigner de la scatologie -> notion de parodie « Je t’en prie » L5 montre l’intéressement de Grandgousier « Soixante tonneaux » L6 -> gigantisme, hyperbole, dimension comique « Vin breton pas de bretagne » L6 ->

Le terme utopia est un néologisme grec forgé par Thomas More en 1516 pour désigner la société idéale qu'il décrit dans son œuvre (en latin) Utopia. Il est traduit en français par « utopie ». Ce terme est composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos qui signifie « lieu ». Le sens d'« utopie » est donc, approximativement, « sans lieu », « qui ne se trouve nulle part ». Dans l'en-tête de l'édition de Bâle de 1518 d'Utopia, Thomas More utilise, exceptionnellement, le terme d' Eutopia

inadéquate des moines. De plus, Rabelais les tourne en ridicule à travers un jeu de mots associant deux termes opposés, les diables et les saints : « Les pauvres diables de moines ne savaient à quel saint se vouer. » Mais également à travers l’emploi du néologisme à consonances amusantes formés à partir du terme moine « … s’il y en eût jamais depuis que le monde moinant moina de moinerie, emmoiné jusqu'aux dents » L 18,19,20. L'auteur met également en avant l’attitude ridicule des moines à travers le symbole

parlent telles des précieuses, elles cherchent à se faire valoir en inventant des mots ,elles privilégient la forme au détriment du fond , cherchant le compliqué et évitant le simple. Elles emploient des néologismes :   « féliciter ,s’enthousiasmer,incontestable… » (à cette époque ce sont des néologismes cependant ces mots sont devenus courants de nos jours ) Elles multiplient dans leur langage,des mots vagues ou superflus comme « ma chère »… 4) Bilan critique:

milieu ascensionnel que Baudelaire, mais lui essayera de décrire avec des mots le monde atteint, s’en faire traducteur. Il décrira souvent comme lumineux. Il va utiliser différents moyens pour décrire quelque chose de non rationnel, tel que des néologismes (nouveaux noms ou mots, comme Parmende), les couleurs, la correspondance des sexes (repris de Baudelaire, en faisant correspondre les cinq sens afin de les comprendre au mieux). Petit à petit, Rimbaud passe à la poésie en prose, quittant la poésie

BONNABaptiste603Commentaire composé : Le 19ème siècle est un siècle de renouveau au théâtre, de nombreux auteurs rejouent parodiquement des pièces culte. Une pièce a particulièrement marqué la comédie et la farce, il s’agit bien sûr de « Ubu roi » écrite par Alfred JARRY en 1888. Cette pièce est une parodie de drame sur le pouvoir absolu, cette pièce est évidemment une parodie de « Œdipe roi » de Sophocle. L’étude sera entièrement portée sur la scène 2 de l’acte 1, nous avons donc une scène exposition