Néoplasie

la chronicité : F Antibiothérapie F Cholélithiase F Néphrolithiase • Conditions prédisposant à la salmonellose : F Maladies inflammatoires intestinales F Anémie hémolytique : Anémie falciforme peut entraîner une ostéomyélite F Immunosuppression F Néoplasie à Lymphome et leucémie peut entraîner une bactériémie Manifestations cliniques • Spectre clinique de l’infection F Gastro-entérite : 75% F Bactériémie : 10% F Fièvre typ hoïde : 8% F Infections locales (Os, articulations, méninges) : 5% F Porteurs

myélome, la CMF permet d’identifier les plasmocytes pathologiques (leur proportion est un élément du diagnostic différentiel entre myélome et MGUS) et d’établir leur clonalité. Il est à noter que la cytométrie en flux n’est pas utile au diagnostic des néoplasies myéloprolifératives. Applications diagnostiques Syndromes lymphoprolifératifs B : La clonalité des cellules B est mise en évidence par un déséquilibre du ratio d’expression des chaînes légères d’immunoglobulines kappa et lambda (normalement

LE SEVRAGE ALCOOLO-TABAGIQUE Il doit être recherché, en s’aidant si besoin d’équipes spécialisées (consultations antitabac, Centre de lutte ambulatoire contre l’alcoolisme…) 3- LES PROBLEMES NUTRITIONNELS Les malades atteints de néoplasie ORL sont fréquemment dénutris. Les causes de cette dénutrition sont multiples : * le cancer ORL : par la gêne mécanique à la déglutition, la douleur, l’hypercatabolisme lié à la tumeur * le terrain : l’intoxication alcoolo-tabagique

hospitalisée le 14/03/2013 pour une pose prothèse totale de hanche gauche sur coxarthrose. Elle est entrée au service des Tilleuls 3 le 21/03/2013, soit à J7 de l'intervention, elle à l'appuie autorisé à 100%. Madame M a pour antécédents : * Néoplasie du sein gauche * Hypertension (elle se caractérise par une pression systolique supérieure à 140 mmHg et une pression diastolique supérieure à 80 mmHg) * Prothèse totale de hanche droite en 2012 * Zona en 2011 * Cholecystectomie en

Réduction de l’hypercortisolisme 11.7.1.2 Traitement étiologique 11.7.2 Indications 11.7.2.1 Maladie de Cushing 11.7.2.2 Adénome surrénal 11.7.2.3 Corticosurrénalome 11.7.2.4 Cushing paranéoplasique Chapitre 12 : Néoplasies endocriniennes multiples (240, 318, 129, 205) 12.1 La néoplasie endocrinienne multiple de type I 12.1.1 Les tumeurs endocrines et lésions associées 12.1.2 Particularités cliniques des localisations principales 12.1.2.1 Atteinte parathyroïdienne et hyperparathyroïdie 12.1.2.2 Tumeurs

post-vagotomie Postsympathectomy la diarrhée Neuropathie diabétique autonome Hyperthyroïdie Le syndrome du côlon irritable Les tumeurs neuroendocrines Gastrinome VIPome Somatostatinome Mastocytose Syndrome carcinoïde Carcinome médullaire de la thyroïde Néoplasie carcinome du côlon Lymphome Adénome villeux La maladie d'Addison Épidémie de diarrhée sécrétoire Diarrhée sécrétoire idiopathique diarrhée gras syndromes de malabsorption Maladies muqueuses Le syndrome de l'intestin court Postresection la diarrhée

Évaluation appropriée des complications et conditions associées Traitement diététique, kinésiologique, pharmacologique et chirurgical 5) Maladies thyroïdiennes Diagnostic et traitement des dysfonctions thyroïdiennes, des goitres, des nodules et des néoplasies de la thyroïde Compréhension des phénomènes d’auto-immunité en ce qui a trait au système endocrinien Utilisation appropriée et interprétation des tests biologiques Utilisation appropriée et interprétation des scintigraphies thyroïdiennes Utilisation

pulsée et PAS. Modification du système respiratoire Diminution de la capacité ventilatoire Restrictive : déformation de la cage thoracique, cypho-scoliose liées à la dégénérescence des disques intervertébraux Obstructive : PBCO, asthme ancien, néoplasie Diminution de la performance des muscles intercostaux Diminution des échanges gazeux au niveau de la barrière alvéolo-capillaire : Diminution de la pression partielle en 02 Pression CO2 inchangée Diminution de la clairance mucociliaire (sur

|Neuroblastomes | Siègent dans la gouttière costovertébale. Signes cliniques : asymptomatique le plus souvent (50% des cas), parfois névralgies intercostales ou cervicobrachiale, rarement signe de néoplasie Radiologie : opacité médiastin postérieur + signes osseux (élargissement des espaces intercostaux et des trous de conjugaison) Traitement chirurgical consiste en l'exérèse de la tumeur. Chimiothérapie en cas de neuroblastome -----------------------

germinales non-séminomateuses (TGNS) qui restent les plus fréquentes (95 % des cas). . . . . Syndrome de Klinefelter. Antécédent familial de cancer du testicule de premier degré (frère, père). Présence controlatérale d’une tumeur testiculaire ou de Néoplasie Germinale Intra-Testiculaire (NGIT). Infertilité. Diagnostic initial Clinique Classiquement, il s’agit d’une masse scrotale indolore découverte par palpation ou découverte fortuite échographique (Niveau de preuve 3). Vingt à 27 % des patients