Nerval Odelettes

poitrine ». L'auteur aurait voulu se suicider mais il ne l'exprimera qu'à travers son double nous révélant ainsi son envie cachée. L'amour est un des thème majeur du romantisme car c'est un sentiment puissant qui, pour Gérard de Nerval dans Fantaisie extrait des Les Odelettes défient la mort et la mémoire humaine « Que, dans une autre existence peut-être, J'ai déjà vue... Et dont je me souviens! » Cet amour est tellement fort qu'il défie le temps « De deux cent ans mon âme rajeunit... » Comme

composé : Une allée de Luxembourg Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, est né à Paris le 22 Mai 1808 et mort le 26 Janvier 1895. Poète français de renom du XIX siècle. La date de première publication correspond à l’époque du mouvement littéraire et artistique romantique. Il s'inscrivit aussi dans de nombreux genres tels que les romans et les contes, mais il écrivit également de nombreux poèmes tels que « Le Peuple » et surtout « Les Odelettes » en 1834 dans lequel se trouvaient de beaux

talentueuse, m’emmène dans le mausolée des remords Morelon Willy Une allée du Luxembourg de Gérard De Nerval Une allée du Luxembourg est un poème de Gérard de Nerval, écrivain français du 19 ème siècle. Le poème est composé de trois quatrains d'octosyllabes, avec des rimes alternées. Ce poème est extrait d’un recueil nommé les Odelettes publié en 1853. Une allée du Luxembourg Elle a passé, la jeune fille, Vive et preste comme un oiseau; A la main

coeur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait ! Mais non, ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m'as lui,  Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, il a fui ! Gérard de Nerval (Odelettes) A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue

Commentaire  : Le Romantisme est un mouvement littéraire du XIXème siècle caractérisé par le lyrisme. Gérard de Nerval est un auteur phare de ce mouvement, notamment avec son recueil Odelettes (1832-1835). Le poème « Fantaisie » émane de ce recueil. Il exprime le lyrisme provenant d’une ode, et l’onirisme qu’elle inspire au poète. Le lyrisme, présent dans « Fantaisie », émane d’un air que le poète chérit. Le lyrisme est caractérisé, dans un premier temps, par l’expression du Moi. Ainsi,

cette personne fallacieuse de la beauté. « renaître » // « tuer » Image maternelle, redonne vie au poète, une vie superlative car elle aurait pu être la médiatrice de l’idéal (« éternité »). Conclusion Une allée du Luxembourg, de Gérard de Nerval (Odelettes)

française en 1852.Il est mort à Paris en mai 1857. Gérard de Nerval Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, est né à Paris le 22 mai 1808. Nerval a été élevé à Mortefontaine (dans le Valois) dans la propriété de son grand-oncle en raison de l’absence de ses parents (son père a obtenu un poste de médecin dans la Grande Armée napoléonienne et sa m ère est morte en 1810). En 1814, son père revient en France et Gérard de Nerval entre au collège Charlemagne à Paris. Lors de ses études

premières fugues, Rimbaud se retrouve dans la campagne, loin des contraintes de la ville. Il trouve dans la nature la liberté auquel il aspire. Pour lui, le voyage est synonyme d’une nature bienveillante et protectrice. On retrouve dans le poème de Nerval, Le relais cette félicité de la nature. Le poète est ennuyé par le voyage en tant que trajet mais la vision de la nature le clame immédiatement et lui fait oublier la dureté de son périple. Dans La feuille au vent d’Arnault, c’est la nature même

le frustre. L'auteur lui fait ses adieux car il au bout d'un moment il s'est fait une raison, leur amour n'existe pas, mais il lui dit quand même qu'il aime à la fin. Enfin, nous finirons par « Une allée du Luxembourg », de Gérard de Nerval, extrait de « Odelettes », 1832. L'auteur rencontre une jeune femme qui l'a séduit mais cette femme était inaccessible car elle était trop jeune pour l'auteur, ce qui rabaissa l'homme devant la beauté et la vitalité de cette femme. La jeune fille est légère,

saisir, L'ennui s'efface Passion folle Aux coeurs attristés Qui n'est qu'un désir, Comme la trace Et qui s'envole Des flots agités. Après le plaisir ! «Choeur D'Amour», Odelettes, Gérard de Nerval, 1832 Commentaire : Ici, l'amour est délibérément présenté comme étant éphémère et qui est symbole de plaisir sexuel. En effet, dans ce cours poème, on voit le personnage d'abord attristé par son sort. Par la suite, il rencontre probablement