Nerval Odelettes

thème : L'Éveil … Premier poème sur l'éveil : Français Des troubadours à Apollinaire, petite anthologie poétique. (Annie Colognat-Barrès) Gérard de Nerval Gérard de Nerval est un écrivain français né à Paris en 1808 de son vrai nom, Gérard Labrunie, il est orphelin dès son plus jeune âge, élevé à Mortefontaine au clos de Nerval , qui lui donnera son nom d'artiste et dont les paysages deviendront les inspirations et lieux de ses œuvres. Il se lit d'amitié avec Théophile Gautier au collège

autre existence peut-être, J’ai déjà vue ! - et dont je me souviens . Ce poème est écrit pas Gérard de Nerval, poète français né le 22 mai 1808 à Paris ville ou il également mort le 26 janvier 1855. Gérard de Nerval est le pseudonyme de Gérard Labrunie. Ce poète est essentiellement connu pour son ouvrage Les Filles du feu. Le poème « Les amis d’enfance » est un extrait du recueil Odelette publié en 1853. Ce poème fut illustré par une peinture à la cire de Catherine Reault-Crosnier. Automne

Gérard de NERVAL   (1808-1855) «Les Cydalises» Où sont nos amoureuses ? Elles sont au tombeau . Elles sont plus heureuses, Dans un séjour plus beau ! Elles sont près des anges, Dans le fond du ciel bleu, Et chantent les louanges De la mère de Dieu ! Ô blanche fiancée ! Ô jeune vierge en fleur ! Amante délaissée, Que flétrit la douleur ! L'éternité profonde Souriait dans vos yeux ... Flambeaux éteints du monde, Rallumez-vous aux cieux ! Recueil : Odelettes. Léon DIERX  

mon ennui Et pour te dompter, blanche, en mes étreintes chaudes, Tous les pays sont trop habités aujourd’hui. Charles Cros El Desdichado Gérard de Nerval dans cet extrait des Chimères (1854) intègre une valeur amoureuse dans le voyage. L’amour est un voyage des sens. Un voyage dangereux. Lors de l’écriture de ce texte Gérard de Nerval était déjà fortement atteint par des problèmes mentaux. Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l’Inconsolé, Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie : Ma seule

jeune gouvernante allemande à Sens, Maria Gerhard, née en 1835, et quitte son emploi pour s'installer à Londres avec elle, ayant l'intention de devenir professeur d'anglais. Stéphane Mallarmé se marie à Londres avec Maria le 10 août. NERVAL : Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, né à Paris le 22 mai 1808 et mort à Paris le 26 janvier 1855. Fils d'Étienne Labrunie, médecin militaire, et de Marie-Antoinette Laurent fille d'un marchand linger de la rue Coquillière[]. Baptisé le 23 à

répondrait,
 Qui venant dans ma nuit profonde
 D'un seul regard l'éclaircirait !

 Mais non, - ma jeunesse est finie...
 Adieu, doux rayon qui m'as lui, —
Parfum, jeune fille, harmonie...
 Le bonheur passait, - il a fui !
 Gérard DE NERVAL, Odelettes (1853) La Courbe de tes yeux La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
 Un rond de danse et de douceur,
 Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
 Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
 C'est que tes yeux ne m'ont pas

arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. - Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau. Gérard de Nerval, Odelettes Soleil d’été Soleil d’été Tu viens caresser ma peau c’est la plus douce des sensations que je puisse sentir Soleil d’été Tu illumines les jours les plus beaux et le chemin des passions à venir Soleil d’été Tu te couches à l’horizon

enfance. Son environnement, sa famille, ou encore son Chien lui manquent. Ensuite, vient « Chanson d'exil » de François Coppée. Ce poème exprime sûrement le manque et la nostalgie de son lieu de Naissance. Puis vient « La cousine » de Gérard de Nerval. Cette fois, le poète est nostalgique de son enfance. Il raconte un des beaux dimanche d'hiver passés dans la neige avec sa cousine, ou tout les deux, ils se rappelaient un moment heureux partagé. Le suivant s'intitule « La Vie Antérieure », de

d’articles sur des poètes qu’il a baptisés « poètes maudits ». Il y nommait Tristan Corbière, Arthur Rimbaud, Stéphane Mallarmé, Marceline Desbordes-Valmore, Auguste de Villiers de L’Isle-Adam et lui-même. Par la suite, la tradition littéraire a ajouté Nerval, Baudelaire et Lautréamont. « Pourquoi ces poètes sont-ils maudits ? Parce qu’ils trouvent leur vie tragique : ils ont vécu une enfance malheureuse, ils manquent d’argent dans leur vie d’adulte, et n’ont pas une santé particulièrement florissante

en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Gérard de Nerval, Charles Nodier ou Aloysius Bertrand. Au-delà des thèmes pas toujours novateurs[réf. nécessaire], les poètes romantiques revendiqueront un assouplissement de l'expression versifiée à la recherche d'une plus grande musicalité et de quelques audaces