Néstor Kirchner

Menem, le péroniste imposteur ? 3 L’Argentine en récession, conséquence des politiques menées pendant 30 ans C Eclatement de la crise et arrivée de Kirchner 1 La révolte populaire et la crise 19 et 20 décembre 2001 2 La lutte entre les divers courants du péronisme et la victoire de Kirchner 3 Le péronisme actuel est il le même que celui de Perón Conclusion Introduction Pour tracer un portrait du péronisme, il est nécessaire de remonter aux origines de la

.................................................................... 5 La sortie d’un système en faillite : «Le modèle K» garant de l’actuel cycle de croissance………………………………………. 5 Une croissance « à la chinoise»…………………………………………… 5 La politique Kirchner……………………………………………………… 7 L’insertion internationale…………………………………………………. 9 Le cercle vertueux de la croissance en danger?............................ 11 La réindustrialisation et le protectionnisme…………………………….... 11 Menace de l’inflation……………………………………………………

à la candidature, Menem est d’abord assuré du soutien du parti justicialiste mais d’autres concurrents font leur apparition: Nestor Kirchner et Adolfo Rodriguez Saa. Contrairement à Menem, partisan du néolibéralisme, Saa, gouverneur de San Luis, reprend le discours nationaliste du péronisme classique et préconise une politique de redistribution des revenus. Kirchner apparaît lui comme l’outsider de la course à la présidence même s’il dispose du soutien de Duhalde. Des trois, il a toujours été

retour à la démocratie avec l’organisation en 1983 de nouvelles élections remportées par Raul Alfonsin. Son arrivée à la présidence signe donc l’entrée dans une ère démocratique qui se perpétue aujourd’hui encore avec à la tête de l’Argentine Cristina Kirchner élue en 2007. 2. Enjeux politiques actuels : Tout au long du XXe siècle se sont affrontés trois grands courants politiques : le libéralisme conservateur, le socialisme égalitariste et le nationalisme autoritaire. Bien qu’opposées, ces différentes

Le modèle ménémiste (du nom du président au pouvoir dans les années 1990) était à bout de souffle, et le Parti justicialiste entama une importante rénovation idéologique avec la formation du Front pour la victoire, conduisant à l'élection de Néstor Kirchner à la présidence en 2003. Ainsi l'intérêt de ce travail sera donc d'analyser d’une part la situation de l’argentine avant la crise et de l’autre nous expliquerons ses origines et manifestions pour aboutir sur les conséquences et solutions de

de Lula = réforme agraire car répartition inégalitaire des richesses + lobbys des grands propriétaires garicoles toujours très puissants. Cristina Fernandes de Kirchner (Argentine) : élue en 2007 (élections en octobre), grâce à l’excellent bilan de son mari, Nestor Kirchner. Veuve depuis peu => montée dans les sondages. Nestor Kirchner (2003) = président apprécié car symbolise la sortie de crise de l’Argentine (2001 : pays endetté + +, parité dollar/peso => emprunts massifs des Argentins, FMI exige

grande variété de climats selon l'altitude. Plus on va vers le sud et plus il fait froid; l'été commence en décembre. http://www.abc-latina.com/argentine/geo.htm Les données politiques : Présidente de la Nation argentine, Mme Cristina FERNANDEZ de KIRCHNER. L’Argentine est une République fédérale. Son régime politique est un régime présidentiel. La Constitution date de 1853 et a été révisée en 1860, 1866, 1898, 1957 et 1994. http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/argentine/presentation-de-l-argentine/#sommaire_4

réformé ? Une crise économique et sociale se double d’une crise politique auquel la nouvelle garde du Parti justicialiste profite. Victoire de Néstor Kirchner leader du parti péroniste (gauche) aux présidentielles en 2002. Rupture avec un péronisme traditionnel incarné par le précédent président. Cristina Kirchner femme du président sortant élue à la présidence de la République en 2007. Le péronisme a été possible vers la moitié du siècle grâce à une mutation

comme une «Mafiocracia » Ere Kirchner Deux ans après la crise de 2001, Nestor Kirchner, candidat péroniste de centre gauche, arrive au pouvoir et met en place des reformes de récupération de l’économie. De nature protectionniste, elles se traduisent par un gel des tarifs énergétiques et du transport, ainsi qu’une taxation des importations. Il renégocie la dette et durant son mandat le chômage diminue et la croissance est relancée. Sa femme Cristina Kirchner lui succède et poursuit la même

1ère diapo revue de presse Pour être élue au premier tour, Kirchner devait obtenir soit plus de 45% des voix, soit plus de 40% avec une avance de plus de 10 points sur son principal rival. «Cette différence est historique», a dit l'analyste Rosendo Fraga, de l'institut Nueva Mayoria. De son côté, Mariel Fornoni, de Management & Fit, a dit qu'à l'exception de la province de San Luis (centre), Mme Kirchner «gagne partout dans le pays». 2ème diapo Quand la crise économique, politique et sociale