Neuroleptique

TD Paranoïa1. Présenter, selon l’exemple de la cartographie des processus psychosomatiques, de la psychose paranoïaque.Les affects :1. La méfiance2. La psychorigidité3. La surestimation du moi4. Agressivité latenteLe fonctionnement de la pensée :5. Fausseté du jugement6. Absence de doutes et d’auto critique7. Constitution d’un système pseudo logique avec convictionLe délire :8. Tout est interprété dans le sens du patient9. Tout est réellement perçu10. systématisé11. Chronique12. vécu en pleine lucidité2

d'isolement suite à un épisode hétéroagressif. Une injection de 3ampoules de Tercian lui fut administré en intra-musculaire par l'infirmière (neuroleptique: traitement de courte duré des états d'agitation et d'agressivité). Cette injection est du coup venue interferée avec une autre injection prévu depuis plusieurs semaines: une injection de neuroleptique à action prolongé (NAP): Risperdal Consta, qui fut donc repoussé au lendemain. Le lendemain arrive et je me propose pour effectuer l'injection

alternatives Par Elodie GOULAY Diététicienne Mémoire de fin de cursus HIPPOCRATUS Avril 2009 1 SOMMAIRE P3 GLOSSAIRE P4 I-INTRODUCTION P4 II-LES MEDICAMENTS PSYCHOTROPES 1 – LES ANTIDEPRESSEURS 2 – LES ANXIOLYTIQUES 3 – LES SOMNIFERES 4 – LES NEUROLEPTIQUES P5 III–LA FRANCE CONSOMMATRICE N°1 DE PSYCHOTROPES 1 – CHIFFRES 2 – CAUSES 3 – RISQUES 4 – ALTERNATIVES P6 IV-LES PLANTES MEDICINALES 1 – LA PHYTOTHERAPIE A L'ORIGINE DE LA MEDECINE 2 – TRAITEMENT DE LA DEPRESSION a) Le Griffonia b) Le Millepertuis

défaut) o Neuroleptique : Laroxyl® 5 gouttes matin midi et soir (8h–12h–18h30) o Anti inflammatoire stéroïdien / corticoïde : Solumedrol® 80mg IV (8h) ▪ à reconstituer avec set de transfert dans 100ml de Nacl 0,9% et perfuser sur 30 min ( 67gouttes/min par exces) • Antiémétiques : o Neuroleptique : Largactil® 25mg/5ml : 1ampoule /24h au PSE (18h) ▪ 1 ampoule ramenée à 48ml en EPPI  (vitesse : 2ml/h) o Neuroleptique : Primpéran® :

affection associée ; – complication des vomissements. 7Q 37 CDU_Chap37.fm Page 8 Jeudi, 30. avril 2009 5:08 17 CONNAISSANCES – VOMISSEMENTS DE L’ADULTE Médicaments à visée symptomatique antiémétique : – métoclopramine (Primpéran) : neuroleptique de la famille des benzamides. Stimule la motricité gastrique et effet central. A un effet antidopaminergique central et périphérique ; et cholinergique central et périphérique via l’activation d’un récepteur 5-HT4. Bloque les récepteurs 5-HT3

- antiarythmiques - antihypertenseurs - antihypertenseurs sauf alpha-bloquants - bradycardisants - médicaments abaissant la pression artérielle - médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes - torsadogènes (sauf antiparasitaires, neuroleptiques, méthadone) + BÊTA-BLOQUANTS (SAUF ESMOLOL ET SOTALOL) Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculo-ventriculaire et risque majoré de troubles du rythme ventriculaire

contournée par divers textes tournant autour de la question. 3 – Les psychotropes A ) généralités On peut attacher les neuroleptiques à Jean Delay. Les neuroleptiques apparaissent en 1952. Ils sont commercialisés sous le nom de Largactil. Les neuroleptiques inaugurent de nombreuses découvertes en 54 les tranquillisants en 57 les antidépresseurs, 68 neuroleptiques à effet retard. Les médicaments représentent un dénominateur commun à toutes pratiques psychiatriques. Ils sont aussi diffusés

personnelle au sujet, connue de lui seul et incommunicable à autrui). C’est la perturbation profonde de la relation du sujet à la réalité qui va rester le critère essentiel de la psychose. Les seuls traitements qui existent sont les traitements neuroleptiques qui atténuent la composante délirante donc les symptômes et ne viennent pas soigner les causes de la psychose car ces causes demeurent hypothétiques. La relation à l’autre chez une personne psychotique est de l’ordre de la fusion ou du rejet total

recueil d’informations nécessite évidemment de parler au patient. Ce que l’on voit L’aspect physique et l’apparence générale Rapport poids/taille. Cela permet de vérifier les pertes d’appétit (fréquentes) ou la prise de poids (parfois dues aux neuroleptiques => effet secondaire, ou à l’effet des antidépresseurs => retour de l’appétit) Etat de fatigabilité. Les dépressifs sont souvent en état de fatigue excessive et parfois en état de ralentissement psychomoteur. Observation du faciès : pâleur, sueurs

pour vérifier que tout va bien, pour se rassurer. V- Autres aspects. Santé Tous sont en bonne santé. Cependant ils ont tous un traitement médicamenteux assez lourd, tous prennent des neuroleptiques (médicaments qui agissent sur le psychisme) ce qui les fragilises, les neuroleptiques ont de nombreux effets secondaires, notamment ; 3 -la photosensibilisation -problèmes cardiaque (arythmie) -prise de poids -constipation Tous ses effets sont pris en compte dans notre prise en