Neuropathie

d'AINS à faible dose. Peu fréquents : diarrhée, nausées, vomissements, douleur d'estomac, augmentation des transaminases. Les effets digestifs peuvent être prévenus en prenant les comprimés après les repas. Très rarement : maux de tête, vertiges, neuropathie périphérique, gynécomastie, fièvre, inflammation de la bouche, chute des cheveux, anomalie de numération formule sanguine, hépatite, réaction allergique. Contre-indications du médicament ZYLORIC Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les

atteinte rénale caractérisée par le passage de l’albumine dans les urines, qui, normalement, doit être très faible voire inexistante. Les corps cétoniques. Risques : Anomalie de la paroi des petits vaisseaux sanguins. Rétinopathie. Néphropathie. Neuropathie. Athérosclérose accélérée (formation de plaques d’athérome). A. L’acidocétose diabétique Urgence médicale. Cause de déficience en insuline : Baisse de l’entrée de glucose dans les cellules : hyperglycémie. Hyperglycémie => Glycosurie => Diruèse

Les patient sont invités à suivre un parcours avec des plaques de différentes textures  Ils ont les yeux bandés un pied est nu et l’autre porte une chaussette  Le but de cet atelier est de reproduire la perte de sensibilité occasionnée par la neuropathies  

conséquences se font essentiellement au niveau des fibres optiques. Ces dernières constituent le nerf optique. L'hypertonie oculaire va provoquer une accélération de la dégénérescence de ces fibres. L'hyperpression oculaire est responsable d'une neuropathie optique dégénérative. Traité par : Xalatan (collyre) 1 goutte matin et soir dans chaque œil. * But : réduire la pression intraoculaire élevée * Administration : collyre 1 goutte dans les yeux matin et soir * Surveillance de l’administration :

retarder et parfois même de limiter l'apparition des complications. Après un certain temps, le surplus de glucose dans le sang a des effets néfastes sur : * les reins (néphropathie) * les yeux (rétinopathie) * le système neurologique (neuropathie) * le cœur (infarctus) * les vaisseaux sanguins (hypertension, artériosclérose, etc.) D’autres facteurs contribuent également à l'apparition des complications : * l'âge * l'hérédité * la durée du diabète * les habitudes

urinaires compliquées Pathologies non urologiques Diabéte Chez l’individu normal: – PNA-> ischémie – Lésions réversibles (cicatrice? Pas de IRC) Diabètique: – Etiologie • Klebsielle (25% vs 12% chez les non diabétiques) • Nephropatie, neuropathie (vessie neurologique) – Pathologie • Abcès rénal péri-rénal, abcès du psoas, • Nécrose papillaire – CAT • TRAITER LES BACTERIURIES ASYMPTOMATIQUES ! • Penser à l’antibioprophylaxie Insuffisance rénale chronique Perte des propriétés

le médicament 3. le malade 4. le médecin 5. la relation médecin – malade 6. le système de soin Facteur 1 : la maladie Maladies perçues comme graves : compliance en générale bonne 2. Maladies douloureuses : en générale bonne ex : neuropathies, artérite MI.. 3. Maladies asymptomatiques : en générale mauvaise ex : HTA, diabète, maladies cardio-vasculaires Facteur 2 : le(s) Médicament(s) Contraintes du Médicament pour le malade : comprimés ou injections / j, horaires de prise..

insuffisant cardiaque, passage progressif en position demi assise, monitorage et réglages alarmes ; Oculaire : Ulcération cornéenne Larmes artificielles Occlusion palpébrale Nerveux : Etirement du plexus brachial par chute d’épaules, neuropathie sciatique par étirement Vérification de géloses pour nerf cubital, position pronation des mb supérieurs, flexion bassin inférieure à 90°, mise en place billots et orthèses Cutanéomuqueux : Ischémie et œdème oro facial par gène du retour veineux

sensori-discriminative. b. Composante affectivo-émotionnelle. c. Composante cognitive. d. Composante comportementale. 3. Classification physiopathologique des douleurs. a. Douleur nociceptive. b. Douleur neurogène (douleurs post zostériennes, neuropathie diabétiques…) c. Douleur psychogène. 4. Durée d’évolution de la douleur. a. Douleur aiguë. b. Douleur chronique. 5. Evaluation de la douleur. a. Type de la douleur. b. Mécanisme générateur. c. Intensité de la douleur. Questionnaire douleur :

les personnes âgées aussi ont besoin comme les jeunes enfants. * Rappel de douleurs chroniques liées au vieillissement Arthrose, douleur post-zostérienne, cancer, douleur musculo-squelettique, fibromyalgie, douleur centrale après AVC, neuropathie, diabétique. Le cancer est la seconde cause de décès chez les personnes âgées de plus de 65 ans (67%). La stimulation douloureuse entraine une diminution de la perception. Donc la douleur entraine une diminution de la qualité de vie et peut générer