Neurotoxicité

bénignes   ­sécrétase clivage séquentiel De l’accumulation des peptides amyloïdes A 1 42 à la formation des plaques séniles Monomère A42 natif en excès A mal conformé Dimères A (feuillet bêta) Trimères A Oligomères A42 Neurotoxicité Fibrilles A Plaques séniles III Les signes cliniques sont liés à l’extension de la DNF dans les régions corticales Extension de la DNF ASYMPTOMATIQUE MCI MCI (mild cognitive impairment) MCI  AD Extension de la DNF DEMENCE ALZHEIMER

ou plusieurs étapes du développement du cancer dans l'organisme. Les polluants peuvent être le déclencheur, c'est-à-dire qu'ils  .Neurotoxicité tremblements musculaires, de convulsions, d'un mauvais fonctionnement des nerfs et des transmissions, de vertiges ou de dépression ou même un mauvais fonctionnement complet de certaines parties du corps. La Neurotoxicité peut être sérieuse au point de bloquer les synapses. Le blocage des synapses entraîne la mort par paralysie du muscle du diaphragme et

depuis 40 à 100 ans. Conditions de diffusion (sélection « darwinienne ») Effet cytopathogène / infections opportunistes pneumocystose, ↓ toxoplasmose Déplétion T4 (silencieuse) mycobactérioses, Oncogenèse (sarcome de Kaposi, CMV, etc lymphome B) Neurotoxicité (leucoencéphalite) → cryptococcose, infections à herpès virus, Appréhender la nouveauté : des outils et un cadre nosographique Les outils - Epidémiologique (CDC : créés en 1946 pour lutter contre le paludisme) - Virologique (identification

inflammations bronchiques, des troubles asthmatiques et des difficultés aux fonctions respiratoires ont été observés chez les fumeurs de cannabis réguliers. Toxicité sur le système nerveux central: L' utilisation du cannabis n’amène apparemment pas de neurotoxicité. Néanmoins, les nouvelles techniques de biologie moléculaire peuvent évaluer précisément les régulations de gènes. Une étude récente prouve qu’il ya des modifications de l'expression (augmentation ou diminution) parmi de nombreux gènes dans la

solvants organiques, de résines, de chlore, de cadmium, de mercure et même d’arsenic. Il a été montré que la toxicité des peintures provient de la présence importante de solvants organiques, qui sont responsables, entre autres, d’une neurotoxicité (centrale et périphérique), de dermatoses, et de toxicité hépato-rénale. Ces derniers sont des liquides organiques qui permettent de dissoudre d’autres substances. L’avantage technique que présentent ces solvants vient de leur capacité à dissoudre

un débalancement métabolique et les vaccins.  De plus en plus de preuves s’accumulent contre le Thimérosal, un agent de conservation qui est utilisé dans les vaccins.  Ce produit est fait en grande partie de mercure, un élément réputé pour sa neurotoxicité.  Les autistes auraient été exposés à des doses de mercure bien au dessus des normales permises pour des enfants de leur âge.  Leur corps ne peut excréter ce mercure, ce qui cause des troubles du développement.  Si l’histoire de l’autisme nous

connections nerveuses, ou en déstabilisant progressivement les populations neuronales. Ceci est particulièrement observé dans la maladie d'Alzheimer ou dans la paralysie supranucléaire progressive. D: Le dysfonctionnement de la protéine APP et/ou la neurotoxicité Aß (E) accélère la DNF, et provoque son extension dans les régions néocorticales. F: Le processus dégénératif l'emporte progressivement sur la plasticité neuronale (réparation, compensation), pour provoquer progressivement les déficits cognitifs

l’émission d’un signal. Modifie l’action des hormones. Action en amont : gêne ou bloque le mécanisme de production ou de régulation des hormones ou des récepteurs. Modifier les concentrations d’hormones naturelles présentes dans l’organisme. - neurotoxicité les substances passent la barrière placentaire puis touchent le système nerveux du fœtus en induisant une hyperactivité du système nerveux et modifiant ainsi le développement normal de son SNC. - induction de cancer Le développement de certains

intervenir tot, dès le premier épisode dépressif pour éviter l’effet « kindling », c’est-à-dire le déclenchement d’un nouvel épisode dépressif par un évènement de vie de plus en plus minime. On sait que chaque nouvel épisode dépressif engendre une neurotoxicité cérébrale qui abîme les réseaux neuronaux au niveau de l’hippocampe, du cortex et de l’amygdale. Or ces réseaux sont indispensables à la gestion du stress et des émotions. 9. La structure de la personnalité humaine. Une personnalité équilibrée

corps est habitué à la drogue et qu’il en a besoin pour pouvoir fonctionner correctement. • La dépendance psychique, se traduit par l’envie qu’a un individu de consommer régulièrement des produits psychoactif pour en ressentir les effets • La neurotoxicité est l’action qu’un produit peut avoir sur le système nerveux aussi bien provisoire que permanent. • La toxicité générale s’applique aux divers dangers que peuvent représenter les drogues pour l’entièreté de l’organisme. • la dangerosité sociale