Neurotoxicité

inflammations bronchiques, des troubles asthmatiques et des altérations des fonctions respiratoires ont été observés chez les gros fumeurs de cannabis. 2) Toxicité sur le système nerveux central :L' utilisation du cannabis n'entraîne apparemment pas de neurotoxicité, telle qu'on peut le définir par des critères neuroanatomiques, neurochimiques et comportementaux. Néanmoins, l'apport des nouvelles techniques de biologie moléculaire permet d'évaluer de façon fine les régulations de gènes. Une étude récente rapporte

Avantages Bonne pénétration Forme oral efficace Couvre un grand nombre de germes Bonne pénétration Forme orale Peu coûteux Peu coûteux Forme orale Activité anti-chlamydiae et mycoplasme BG + Chlamydia Bonne pénétration Désavantages Phototoxicité Neurotoxicité Tendinite Résistance Pas d’activité contre pseudomonas Activité peu fiable Toxicité cutanée Recommendation Recommandé Trimethoprim Recommandé dans certains cas Indications spéciales Tetracyclines Macrolides Activité peu fiable

d'appétit, une irritabilité, une angoisse... En 1998 , un rapport gouvernemental français commissionné par le secrétaire d'État à la santé, Bernard Kouchner, et dirigé par le Dr. Pierre-Bernard Roques, classa les drogues d'après leur addictivité et neurotoxicité. Il plaça l'héroïne, la cocaïne et l'alcool dans les catégories les plus addictives et les plus mortelles ; la benzodiazépine, les hallucinogènes et le tabac dans la catégorie intermédiaire, et le cannabis dans la dernière. Effets sur la reproduction

inflammations bronchiques, des troubles asthmatiques et des altérations des fonctions respiratoires ont été observés chez les gros fumeurs de cannabis. 2) Toxicité sur le système nerveux central : L' utilisation du cannabis n'entraîne apparemment pas de neurotoxicité, telle qu'on peut le définir par des critères neuroanatomiques, neurochimiques et comportementaux. Néanmoins, l'apport des nouvelles techniques de biologie moléculaire permet d'évaluer de façon fine les régulations de gènes. Une étude récente rapporte

| Cocaïne | Cannabinoïdes(dérivés du Chanvre) | Dépendance physique | Très forte | Très forte | Forte | Faible | Moyenne | Faible | Faible | Dépendance psychique | Très forte | Très forte | Très forte | Moyenne | Forte | Forte | Faible | Neurotoxicité | Faible | Forte | Nulle | Forte | Nulle | Forte | Nulle | Toxicité générale | Forte | Forte | Très forte | Forte | Très faible | Forte | Très faible | Dangerositité sociale | Très forte | Forte | Nulle | Faible | Faible | Très forte | Très

subdivisés en récepteurs AMPA, kaïnate, L-AP4 et métabotropique. Les récepteurs NMDA sont présents sur de nombreuses structures cérébrales. Ils sont essentiels dans les mécanismes de mémorisation et seraient responsables de certains phénomènes de neurotoxicité (en excès, le glutamate est toxique pour les neurones). Certains agents anesthésiques bloqueraient le récepteur NMDA : occupant la place normalement réservée au glutamate qui favorise l'émission des potentiels d'action, il réduisent notablement

passer un moment agréable entre copains. Beaucoup de messages contradictoires circulent au sujet du cannabis. Tantôt substance banalisée, tantôt substance diabolisée, il est difficile de s'y retrouver... Le cannabis est une substance à faible neurotoxicité; toutefois une consommation chronique n'est pas sans dommages et plus particulièrement chez les enfants et adolescents pour qui une telle consommation peut poser des problèmes psychosociaux importants. Que savons-nous actuellement ? Une consommation

cutanées, fièvre ; troubles digestifs : diarrhées, nausées, vomissements (risque de colites pseudomembraneuses pour Augmentin) ; Pénicilline G: fièvre, sueurs, frissons, palpitations, myalgies ; Pénicilline A : cristalluries en cas de fortes doses ; Neurotoxicité à fortes doses : convulsions, confusion. Contre-indications : Hypersensibilité Rôle infirmier : Surveiller l'efficacité du traitement en objectivant une disparition des signes cliniques et biologiques de

un débalancement métabolique et les vaccins. De plus en plus de preuves s’accumulent contre le Thimérosal, un agent de conservation qui est utilisé dans les vaccins. Ce produit est fait en grande partie de mercure, un élément réputé pour sa neurotoxicité. Les autistes auraient été exposés à des doses de mercure bien au dessus des normales permises pour des enfants de leur âge. Leur corps ne peut excréter ce mercure, ce qui cause des troubles du développement. Si l’histoire de l’autisme nous

cerveau et franchir la barrière placentaire. Sa demi-vie d’élimination très variable selon les études, peut atteindre plusieurs années lorsqu’il est administré de façon chronique. Son élimination est principalement rénale. Les effets chez l’Homme (neurotoxicité, atteinte osseuse, anémie) sont connus chez les insuffisants rénaux exposés de façon chronique à l’aluminium, ainsi que chez les prématurés alimentés par voie parentérale. La dose systémique de 5 μg d’aluminium par kilogramme de masse corporelle