Nez

|vous pique, cela signifie que vous| | |allez saluer quelqu’un | |[pic] |Quand c’est votre nez qui vous | | |pique, cela veut dire que | | |quelqu’un que vous connaissez va | |

J'entends d'ici ton coeur battre à mon oreille, Je sens encore le grain de ta peau sous mes doigts, Je les vois jouer avec ta toison, Courir sur ta peau À la recherche d'un endroit ou te chatouiller. Je sens encore ton parfum, Comme si mon nez était dans ton cou. Je sens encore ton souffle dans mon cou, Comme si je dormais dans tes bras. Je revois tes yeux, si bleus, si rieurs... Je revois tes lèvres, tes sourires... Tu me manques. J'ai hâte de te retrouver, de te serrer dans mes bras

cet autoportrait en 1976 mais il en peignit de nombreux autres. Cet autoportrait est exposé au musée Cantini à Marseille Autoportrait :Il d’abord peint son portrait puisl’a déformé tout en le laissant reconnaissable, j’ai cherché son vrai portrait (nez, coupe de cheveux) a l’aide de plusieurs techniques tels des coups de pinceaux violents qui accentuentles traits (sourcils), il ajoute des couleurs des hématomes (bleu) du sang(rouge, orange) et aussi gratte et chiffonne des stigmates de blessures (la

temps étourdi. Madame Bouvillon, tout en reprenant son mouchoir pour le replacer, alla ouvrir à Ragotin qui, en même temps poussait la porte de l'autre côté de toutes ses forces. Madame Bouvillon se prit la porte en pleine face ce qui lui écrasa le nez et lui fit une bosse au front grosse comme le poing. Elle cria qu'elle était morte.

persuader, délibérer. I-1- Deux parties qui s’opposent L’extrait comporte deux parties distinctes autour du connecteur d’opposition mais v.999. Elle est structurée avec régularité: 8 quatrains (le système de la rime peut-être comparé à la tirade du nez), ils sont suivis de la négation: "non merci": placé en position de rejet, phrase nominale de trois syllabes qui souligne la brutalité du rejet. étudier la place des non merci. I-2- Une délibération qui tourne court L’utilisation du conditionnel:

nuits, Félicité ne quitta pas la morte. Elle répétait les mêmes prières, jetait de l'eau bénite sur les draps, revenait s'asseoir, et la contemplait. À la fin de la première veille, elle remarqua que la figure avait jauni, les lèvres bleuirent, le nez se pinçait, les yeux s'enfonçaient. Elle les baisa plusieurs fois; et n'eût pas éprouvé un immense étonnement si Virginie les eût rouverts; pour de pareilles âmes, le surnaturel est tout simple. [...](CH3 L 627-637) Encore une fois, la nouvelle fait

fait un quiproquo. Cette réflexion embarrassant notre homme : On ne dort point, dit-il, quand on a tant d’esprit. Sous un chêne aussitôt il va prendre son somme. Un gland tombe ; le nez du dormeur en pâtit. II s’éveille ; et portant la main sur son visage, Il trouve encor le Gland pris au poil du menton. Son nez meurtri le force à changer de langage ; Oh, oh, dit-il, je saigne ! et que serait-ce donc S’il fût tombé de l’arbre une masse plus lourde, Et que ce gland eût été gourde

les voies génitales de sa maman. •Quelques gouttes de VIT K sont données au bébé afin de permettre une bonne coagulation et d'éviter l'apparition de la maladie hémorragique du nouveau né. •La dés-obstruction : un tuyau très fin, installé dans le nez, la bouche et la gorge du bébé permet de désobstruer et d'aspirer les mucosités qui peuvent encombrer les voies respiratoires Tous les orifices sont examinés. Une sonde nasale permet de vérifier la bonne perméabilité des fosses nasales. Une sonde

table sur ses genoux. Elle se tient de façon un peu voûté mais semble assez grande. Homme : L’homme assis à gauche de la femme a des yeux foncés, les sourcils en X et aune barbe foncée qui lui recouvre les joues. Il a également un duvet entre le nez et la bouche. Il est en train de fumer une pipe. Son coude droit est posé sur la table et sa main droite semble tenirson coude gauche également posé sur la table. Il semble plus petit que la femme. Il est légèrement penché vers la table. 3. Les

 du   front  au  menton  en  moins  d’un  coup  de  paume.    Ses  yeux  étaient  noisette,  je  pourrais   m’y  plonger.  Retourne  toi.  Laisse  moi  la  chance  d’admirer  ces  yeux,  ce  nez  en  trompette,   cette  bouche  ferme  et  ronde.  40  minutes.  Le  café  n’est  toujours  pas  la,  je  commence  à  me   demander  si  je  devrais  intervenir.  Je  ne  peux  pas.  Je  ne