Nicolas de Cues

ciel et les cieux Nicolas de Cues et Marcellus Palingenius Dès l'antiquité grec, des conceptions de l'infinité de l'univers et de la multiplicité des mondes (cf les atomistes grecs) mais leur pensée est rejetée par les courants principaux de la pensée grec. Nature de l'influence : un effet qui est cause de la causalité de la cause. (en gros selon Koyré, on choisit ses influences). Le premier Giodarno Bruno choisit pour influence Lucrèce et le prend au sérieux. Nicolas de Cues lui ne semble pas

à tous les penseurs qui avancent que le véritable savoir est avant tout une forme très particulière de l’ignorance : l’ignorance que l’on n’ignore pas, le fait de savoir précisément que l’on ignore des choses et quelles choses on ignore. Nicolas de Cues, philosophe qui vécut à la charnière du Moyen-Age et de la Renaissance (1401- 1464), donne à son œuvre principale le titre suivant : La Docte Ignorance (De docta ignorantia,1440). L’expression semble paradoxale : comment une ignorance pourrait-elle

s’oppose au baroque avec la recherche de la perfection et de la mesure, l’harmonie sous toutes ses formes (art linéaire avec des formes fermées, retour à la simplicité). Développé par Colbert avec Le Brun, Mansart Poussin et le Lorrain… 2 Les sciences Nicolas Copernic 1473-1543 astronome et mathématicien polonais développe la thèse de l’héliocentrisme, reprise par l’italien Galilée 1564-1642. Convoqué à Rome par le pape il doit signer une rétractation en 1632, l’Eglise refusant la thèse de l’héliocentrisme

contradictoire. Il cite le pythagoricien Niketas de Syracuse, Philolaos, Héraclide du Pont, Ekphantès le pythagoricien, Platon dans le Timée — Bruno est nourri d'auteurs grecs. Pour lui, "Platon est moins un objet de science que de foi" Il cite Nicolas de Cues... qui, tous, avant lui, ont "enseigné et confirmé le mouvement de la Terre Bruno base ses affirmations sur le témoignage des sens et de la raison. Il les tient donc "aussi certaines qu'on peut être certain de quelque chose" (p. 125 - Jean Rocchi)

Faut-il être prêt à mourir pour la vérité ? Giordano Bruno est un philosophe italien du XVI ème siècle. Sur les traces de Nicolas Copernic et Nicolas de Cues il défendait la thèse de l'héliocentrisme. Accusé et jugé pour hérétisme, le pape Clément VIII demande une dernière fois à Giordano Bruno de se soumettre, mais Bruno répond : « Je ne crains rien et je ne rétracte rien, il n'y a rien à rétracter et je ne sais pas ce que j'aurais à rétracter. ». Peu de temps après, le 17 février 1600, Giordano

souverain jusqu'au XIIe siècle, le thomisme prendra bientôt corps dans le monde catholique comme une réplique de la logique d'Aristote aux dialogues de Platon. Le Moyen Age philosophique se clôt sur la publication de la Docta Ignorantia de Nicolas de Cues (1401-1464), de la Theologia platonica de Marsile Ficin (1433-1499), et sur la montée au bûcher (en 1415) de Jan Hus, qui avait traduit l'Evangile en tchèque et prêché la réforme de l'Eglise catholique. Désormais vont apparaître les grands humanistes

decouverte du nouveau monde eut un très grand retentissement en Europe, mais le choc de la rencontre d’un monde different mettra longtemps à se faire ressentir. L’astronomie et le nouveau cosmos Dès le XVème siècle, le philosophe allemand Nicolas De Cues avait eu l’intuition d’un monde infini dépourvu de centre. Au contraire, dans l'Antiquité grecque, on pensait que le monde était fini et que la Terre était au centre (système de Ptolémée), mais cette idée n’est pas encore diffusée et connue du

de la Renaissance 1400 : Première balle de golf Premier piano 1411 : Invention du déclencheur par pression (détente) 1420 : Invention de la peinture à l'huile 1421 : Première grue à déplacement horizontale inventée à Florence 1450 : Nicolas de Cues fait la première démonstration de lentilles concaves sur des personnes myopes 1455 : Johannes Gutenberg invente l'imprimerie par presses 1465 : En Allemagne, la première gravure à pointe sèche est réalisée 1475 : Invention de la première arme

comparaison de goût.Ici on évoque Dieu, le lieu commun pour évoquer Dieu :sphère dont la circonférence par Alain de L’Isle, on le retrouve chez Pascal dans les Pensées (sphère infine dont le centre est partout et la circonférence nulle part) et chez Nicolas Cues .Différentes expériences de mystique, Alain de L’Isle, un perse.Le mystisime religieux, retrouve dans les monothéismes, une expérience très intense. Ces expériences donne des textes très poétiques : St Jean de La Croix et St Thèrese d’Avilla qui

discours extérieurs - De s’étonner de tout, méthode philosophique de Socrate, et donc de chercher la vérité C’est un principe à la fois libérateur (pas la quête de la vérité) et préservant la liberté/ L’ignorance en ce sens correspond à ce que Nicolas de Cues a appelé «la docte ignorance » Admettre son ignorance, savoir que l’on ne sait rien d’essentiel et donc se détourner des choses inutiles est une étape vers la liberté et permet de se détacher des illusions de ceux qui croient déjà connaitre