Nietzsche La Méditation

subjectivite II. La construction de soi a. par rapport a autrui par rapport au monde exterieure III. Descarte et l'emmergence du sujet transcendant conscient de lui meme. IV. Les illusion de la conscience. a. les illusion du je. b. nietzsche c. marx V. Freud et la psychanalysme   I.  La conscience psy. Est definie comme la faculte d'etre present de moi meme,la capacite de connaitre mes etats interieures. Elle s'opere par une forme de dedoublement qui instore un distence entre

Heidegger, ce geste a aussi été celui de Nietzsche et de Freud; qui l’un et l’autre, comme on sait, et parfois de façon si ressemblante, ont mis en question la conscience en sa certitude assurée de soi. Or n’est-il pas remarquable qu’ils l’aient fait l’un et l’autre à partir du motif de la différance? Celui-ci apparaît presque nommément dans leurs textes et en ces lieux où tout se joue. Je ne pourrai m’y étendre ici; je rappellerai seulement que pour Nietzsche «la grande activité principale est inconsciente»

peuvent lui être attribué : la recherche de la vérité ; la méditation sur le bien, le beau, le juste ; la quête du sens de la vie et du bonheur. En vérité, la philosophie n’est pas un savoir, ni ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs disponibles. Ancrée(11) dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, elle peut se concevoir comme une activité d'analyse, de définition, de création ou de méditation sur des concepts(12). 2) Le Mythe

l'intuition dans la phénoménologie de Husserl (1930). Levinas a été profondément influencé par Edmund Husserl et Martin Heidegger, qu'il a rencontrés à l'université de Fribourg-en-Brisgau et dont il a introduit l'œuvre en France, notamment les Méditations cartésiennes de Husserl, dont il a assuré la traduction.[3 ] 000 Verstiegen : rester perché Pour François de Gandt, professeur de philosophie et d’histoire des sciences à l’université de Lille 3, Ludwig Binswanger a une très belle définition

accordent donc à la conscience une place centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent » (Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de

en pratique, car comme le souligne Pierre HADOT, dans Qu’est-ce que la philosophie antique ?, la philosophie n’est pas une théorie, l’affaire d’intellectuels et de professionnels, mais une pratique quotidienne faite d’exercices spirituels et de méditations, un travail sur soi. II. LA CRAINTE DES DIEUX ( §3 & 11, 12) C’est la grande crainte des anciens, la raison d’être de la divination ( interprétation des phénomènes naturels – météo, viscères des animaux – comme signes et présages que les dieux

projets). C’est pourquoi, avant qu’il soit pour moi un objet à connaitre, ou un spectacle à contempler, le monde est d’abord et avant tout un sens à effectuer ou à réaliser. (texte de Merleau-Ponty) Le doute à l’intérieur de la conscience Marx, Nietzsche ou Freud ont porté le doute à l’intérieur de la conscience elle-même. Si la conscience est d’abord et avant tout donatrice de sens, elle ne peut plus être pensée simplement comme le modèle de toute vérité en quoi se trouverait réalisée l’adéquation

Hume, le savoir n'est qu'une espèce de croyance. Enfin, toute connaissance ne repose-t-elle pas sur au moins une croyance: la croyance en la valeur de la connaissance elle-même? C'est ce que soutient Nietzsche (texte 1 ci-dessous). Exemples La science peut-elle se passer de croyance ? Nietzsche, science, doute et conviction Définitions En acte | Etymologiquement, l'acte désigne ce qui est fait. Pour Aristote, l'acte désigne soit ce qui est en train de s'accomplir, soit ce qui est réalisé, achevé

: Le cours 1 : Introduction. Le cours 2 : Les présocratiques Le cours 3 : Socrate et Platon Le cours 7 : Descartes Les cours 8 et 9 : Les Lumières Philosophiques Le cours 10 : Hegel Non revu cette année mais ok : Le cours 11 : Marx Le cours 12 : Nietzsche. Attention donc : imprécisions, explications insuffisantes ou changement dans l’exposé cette année pour le cours 4 (Aristote+ la réaction sceptique… qui a son importance par rapport aux enjeux du cours), le cours 5 (le dogmatisme du moyen-âge), le

notre liberté si la liberté consiste à non pas choisir, mais avoir le choix. Néanmoins, quel sens y a-t-il à avoir le choix si on ne choisit pas ? Sur ces divers points, vous pouvez vous reporter aux analyses de Descartes sur la liberté dans les méditations métaphysiques. Vous trouverez des extraits en vous reportant à notre rubrique " Textes ". Vous pouvez également vous reporter aux analyses de Sartre sur les rapports entre l'engagement et la liberté. En dernière instance, vous pourrez vous demander