Nietzsche La Méditation

tragédie ............................................................................. 24 ............27 1.3.1 L'idée de la tragédie chez Hegel ................................................................. 3 1 1.3-2 Le monde tragique chez Nietzsche ........................................................... 33 1.4 L e drame de la culture moderne .............................................................................. 1.4.1 L e subjectivisme moderne ..................................

des réalités comme les autres ? Sujet 3 Un texte d'Aristote sur la responsabilit individuelle (la morale, la liberté Série ES Sujet 1 Peut-on en finir avec les préjugés ? Sujet 2 Que gagnons-nous à travailler ? Sujet 3 Un texte de Nietzsche sur la mauvaise action (la morale, la libert Série S Sujet 1 Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? Sujet 2 Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? Sujet 3 Un texte de Hume sur la justice Séries

domine dans l’énoncé : avec le son qui disparaît pour donner le « sens » et la vue qui devient l’intuition de la chose même (idéa) : on aura la raison discurisve (logique) et la raison intuitive qui s’opposent. Mais, n’en déplaise à Bergson, ou Nietzsche, ne sont-elle pas complices ? —> la deuxième consiste à limiter la pensée au concept et à la forme sujet/prédicat, cad la proposition qui attribue à la chose sa vérité et son essence. N’y a -t-il pas d’autres façon de penser que sur le mode logico-grammatical

indispensable pour accéder à soi-même 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance d’autrui (Hegel) 4 2. Autrui me permet de me connaître moi-même (Sartre) 4 3. Autrui est la condition de possibilité de la conscience elle-même (Nietzsche) 5 C. Autrui est la condition de possibilité de toute connaissance 6 1. Autrui structure mon « monde » 6 2. Autrui est la condition de possibilité de la science 6 II. Les rapports concrets aux autres 7 A. La détermination du

veux, j’aime, je perçois (etc.)… Ma réalité de sujet ne me pose aucun problème (je suis et ça ne me pose pas de difficultés). D’autres parts, je suis un esprit dans un corps et cette unité de deux réalités ne me pose pas de problème. Descartes Méditations métaphysiques. Par ailleurs, cet être, ce moi est dans un monde : un monde que je sens (Nous avons sept sens (5 externes : vue, odoras, toucher, goût et ouï / 2 internes) et que je perçois. Dans le monde, je trouve d’autres moi, des alter-ego

créant son propre chemin harmonisé de tous les facteurs qui peuvent contribuer au bonheur. Il ne faut pas redouter que le bonheur obtenu nous contraigne, un jour de désenchantement, à une chute vertigineuse. Il faut voir l’avenir avec sérénité. Nietzsche parle de « l’amour de ce qui est ». Carpe diem disent les latins. Et ce qui est, c’est la ligne de vie que l’on parcourt au temps présent avec l’expérience du temps passé pour aller vers le temps futur. Pas pour nous mais, quelle que soit la

liberté d'association, etc.); cela suppose une marge d'indépendance à l'égard du pouvoir. b) On opposera alors à un régime de liberté politique, un régime de contraintes, un régime tyrannique ou dictatorial. Références possibles: - Descartes, Méditation IV: Parlant de la liberté, Descartes écrit: "elle consiste seulement en ce que nous pouvons faire une même chose ou ne la faire pas, c'est-à-dire affirmer ou nier, poursuivre ou fuir une même chose; ou plutôt elle consiste seulement en ce que, pour

manifestations de ma conscience qui ne sont plus tout-à-fait une évidence : il doit se faire en mon esprit un exercice du doute en vue de la vérité, ce qui renvoie une nouvelle fois au doute hyperbolique énoncé par Descartes dans ses Méditations métaphysiques , méthode radicale sur laquelle se base la certitude du sujet conscient en toutes circonstances (ce modèle visant à remettre en cause toutes nos prétendues certitudes). Au regard des éléments précédemment cités

trop humain, Nietzsche fait écho à la définition traditionnelle du « libre penseur »,autrement dénommé « esprit fort » ou « libertin » : la liberté de la pensée est ici définie comme son affranchissement vis-à-vis de tout contenu imposé de l'extérieur, notamment de tout principe moral ou de tout dogme religieux donné à croire par la seule force d'une tradition. La pensée est dite libre si elle est capable de ne pas se conformer à ce que Marx dénomme « l'idéologie dominante ».Déjà Nietzsche jugeait que

moi-même un être imparfait, et le parfait ne peut provenir de l’imparfait. Donc je n’ai pas pu produire Dieu. Donc il existe, indépendamment de moi. Or si Dieu est l’être parfait, il ne saurait être trompeur comme le malin génie de la première méditation métaphysique. Dieu, étant parfait, n’est pas trompeur : il est vérace. Donc cela confirme l’idée que nous avions déjà trouvée, à savoir que toutes nos idées claires et distinctes sont vraies. Donc cela confirme en retour le cogito et l’ensemble