Nimby

(culture, modes de consommation), accélérée avec la mondialisation, s’oppose une recherche de l’entre soi des individus, basée sur le facteur identitaire ou communautaire et même un rejet de la collectivité et un mépris de l’intérêt général (phénomène nimby : not in my back yard). On voit ainsi se développer dans les métropoles, en particulier aux Etats-Unis, des phénomènes de sécessions. Les gated communities (que l’on peut définir comme des quartiers résidentiels clos), qui se multiplient très rapidement

doléances. Il arrive assez régulièrement, pour des grandes opérations (autoroute, de LGV) que les débats soient vifs : certains mêmes refusent les opérations d’aménagement au nom des nuisances qu’ils subissent (on parle dans ce cas de phénomène NIMBY pour « Not in my back yard »). • Les entreprises prennent, elles aussi, part aux politiques d’aménagement : en effet, après avoir répondu à des appels d’offre lancés par les pouvoirs publics, elles sont souvent chargées de la réalisation des infrastructures

mouvement social c’est une action collective concertée (« agir ensemble intentionnellement ») en faveur d’une cause face à un adversaire identifié et visant soit à réaliser une revendication localisée, soit globale. Soit les acteurs sont intéressés (NIMBY) soit désintéressés et alors ils militent pour des causes universelles. 2) En quoi sont-ils nouveaux ? Il y a de nouveaux mouvements sociaux caractérisés par de nouveaux acteurs, des moyens d’actions nouveaux (ex : opérations coup de poing

l’expansion du Westside. Le développement du foncier sécrète un réseau de pouvoir au niveau régional, voire national. Sur le plan local, on voit s’accroître le phénomène des « nimbies ». C’est de ce mouvement que traite le troisième chapitre. Le nimby (Not In My Back Yards, en substance : « pas chez moi ! »), c’est la volonté de chaque individu de ne pas voir son cadre de vie troublé par certains groupes ethniques, ou par des aménagements qui le dérangent. Ainsi, l’espace public devient un espace

de la population déclare refuser toute implantation qui la concernerait directement dans son voisinage. Pour désigner cette situation paradoxale d’une acceptabilité de principe et d’un refus de fait, les chercheurs utilisent le terme de « syndrome NIMBY », Not In My Back Yard, traduit en français comme signifiant « pas dans mon jardin ». La communication de crise. Ce domaine s’est fortement élargi en l’espace de quelques années puisqu’il ne concerne plus seulement la communication autour du risque

biodiversité. Plus de conséquences pour les paysages agricoles, + de pollution sonore→ espace moins attractif, perte de sa valeur, prix chute.Lignes ferroviaires : Les habitants subissent les inconvénients sans béneficier des avantages→ effet tunnel → NIMBY→ not in my backyard.Très fortes inégalités à Londres : hétérogénéité→ Nord-est précaire, Sud-ouest plus prospère.Thalassocratie→ l’économie s’est tertiarisée.Rénovation→ embourgeoisement ou gentrification → les habitants sont amenés à partir des bâtiments

l’arrivée des nouveaux arrivants donne parfois lieu à un rite agrégatif au cours duquel ils sont invités à signer à une charte » L’éco quartier fonde un entre soi qui procède parfois d’une logique insulaire reproduisant, à l’échelle de la ville, l’effet NIMBY, par lequel les « externalités négatives », sont rejetées loin de ceux qui les produisent. Un éco quartier n’est pas une œuvre d’art. Les architectes et les urbanistes ont tendance à trop se soucier du beau et du sensible, au détriment de l’ingénierie

: celui de la région MidiPyrénées qui milite pour le désenclavement de Toulouse et son raccord TGV et certains habitants de Pompignan qui rejettent son tracé au nom des nuisances (bruit, baisse de la valeur des logements) : il s’agit du phénomène Nimby, où des individus refusent qu’un aménagement soit mis en place près de chez eux au nom des nuisances. • Longtemps, l’aménagement n’a été piloté que par l’Etat mais à partir des années 1970, sous l’effet des difficultés financières, de l’affirmation

mondialisation. Réforme agraire : réforme visant à redistribuer les terres aux petits paysans et à lutter contre la pauvreté rurale. Sociologie : étude des faits sociaux, des groupes sociaux. Syndrome NIMBY : acronyme de « Not in my back yard » (« pas dans mon jardin »). Attitude qui consiste à approuver un projet pourvu qu’il se fasse ailleurs, ou à refuser tout projet à proximité de son

des représentants de la classe défavorisé, ils ont du mal à se faire entendre. Défis de l'échelle Echelle : interroge la notion de proximité et de ce qu'elle recouvre. Débat centré sur des réels enjeux, des enjeux de terrain. - Limites - NIMBY (Pas dans mon jardin) ; repliement des individus très individualisés. Il va avoir des réalisations pour le bien commun incontestable (chemin de fer), Les gens qui vont être exproprié ne seront pas du tout d'accord. Impossibilité ; il faudrait résoudre