Nimby

riverains. Leurs actions (manifestations, recours en justice) peuvent retarder voire bloquer les travaux, parfois au nom de motifs légitimes, parfois par refus de prendre en compte l’intérêt général au profit de son confort personnel (attitude appelée NIMBY, not in my backyard). c) L’Union européenne, acteur indirect de l’aménagement L’UE ne cherche pas à imposer aux Etats une politique d’aménagement de leur territoire mais elle veille à ce que leurs subventions n’aient pas pour effet de favoriser certaines

|santé publique mais aussi de plus en plus difficiles à respecter car nécessitant des équipements de plus en plus coûteux | | |( que la création d'un équipement d'élimination des déchets ménagers se heurte inévitablement à une réaction de NIMBY lors de| | |sa création, mêlant une crainte justifiée d'équipement incontrôlable et craintes irraisonnées, | | |

a pour but de lutter contre l'étalement urbain et d'inciter à la mixité urbaine et sociale. Migrations pendulaires : déplacements quotidiens des personnes, souvent aux mêmes heures de la journée, entre leur domicile et leur lieu de travail. NIMBY : vient de l'anglais Not In My Back Yard qui signifie « pas dans mon arrière-cour ». Individu ou groupe qui refuse les nuisances d’un équipement d'intérêt général dans son environnement proche. Pays : délimitation administrative et territoriale

solidarité et renouvellement urbain. 20% de logements sociaux minimum. Problème quantitatif : mauvaise image du logement social. 90% reconnaissent l’urgence. Le prix de l’immobilier a augmenté de 100% / salaire a augmenté seulement de 20%. L’effet NIMBY « je suis d’accord, mais pas chez nous » Séquence 4 : Aménagement Urbain 4.1 La valorisation des espaces publiques Depuis plus de 20 ans une logique d’embellissement se met en place. La voiture s’efface. Les espaces publiques se développent

(2000), ses moyens limités (dépendent à 80% de subventions) et si elle dessine les grands axes d'aménagement à l'échelle de la ville, elle doit collaborer avec 32 boroughs, la City, la Greater London Authority et doit faire face à des réactions de type NIMBY. Enfin à l’échelle nationale, l'enjeu est d'éviter une vampirisation du pays par Londres, dans un contexte de désengagement de l'État depuis les années 1980. Tour à tour ont été menées des politiques de décentralisation (devolution) au profit de grandes

d’y séjourner, se révèle particulièrement problématique. Nous consacrerons donc la première partie de notre analyse sous ce point au contrôle qu’exercent les services de sécurité sur l’espace public. Nous aborderons ensuite les réactions de type “nimby”2 observées dans certains quartiers, l’adaptation du mobilier urbain au contrôle de la présence des personnes sans domicile dans l’espace public, le contrôle psychologique qui s’exerce sur l’espace public et enfin le contrôle de l’espace public par

remise en cause de la hiérarchie instituée et égalité pour tous. 4. Le projet individuels → lié au projet collectif dans la société traditionnelle → non lié dans la société moderne >> centre du projet de vie autodétermination (= not in my backyard : « nimby ») 5. La gestion de la collectivité et le rôle de l'Etat prise en charge de l'état (éducation, santé ...) 4. Le système de personnalité : Les capitaux et atouts au service de l'individuation l'individuation ≠ individualisme ≠ égoïsme = revendiquer

entre elles. L’équilibre social de certains territoires ne peut s’établir que sur le renoncement à satisfaire les exigences de certaines demandes ce qui se manifeste par des confrontations sociales au sein des territoires urbains (voir le réflexe NIMBY), mais aussi au sein des coalitions socio-politiques nécessitant des arbitrages délicats au sein des arènes locales. C’est la dimension vivable du développement soutenable. Les pouvoirs urbains doivent répondre à ces trois grandes exigences en ayant

renouveler ses réserves). Dans certaines régions, surtout en été, l’arrosage des jardins est interdit. Autre exemple de conflit d’usage opposant dans l’Aude les éoliennes aux associations de riverains, voir p 99, témoigne d’une banalisation du phénomène NIMBY (« not in my back yard»). De plus en plus concentrés sur une infime partie du territoire, de nombreux Français ont le sentiment d’une rupture entre les hommes et leurs territoires. L’expansion, souvent anarchique, des banlieues, le bétonnage de

les activités, les produits, les services et les employés ont le plus faible impact agrégé sur la chaîne de valeur; Avantages: réduction des coûts (du marketing jusqu’à la distribution) + avantages sur les marchés La société fait face au syndrome NIMBY (Not In My Back Yard) dans la gestion responsable des supply chain: Les avancées technologiques peuvent être une solution pour le traitement des déchets (par ex) MAIS, les déchets peuvent très bien devenir un objet à délocaliser dans d’autres pays