Nivernais

difficulté provient des mariages mixtes entre serfs et non serfs : le droit canon, par une décrétale d’Urbain III de 1187, accorde aux enfants la liberté, mais les coutumes laïques n’acceptent pas cette mansuétude. Dans certaines régions, comme en Nivernais ou Bourbonnais, on conserve jusqu’au 16ème siècle le principe franc selon lequel « le pire emporte le bon » et, en l’occurrence l’enfant se voit appliquer la condition servile. En Bourgogne, on se réfère à la condition du père. Le plus souvent, c’est

Cela n’était pas possible, mon pauvre garçon, on ne fait pas ce qu’on veut en ce monde ; je suis sûr que tu aurais bien travaillé pour gagner ta vie ; mais Suriot, mon beau-frère, n’aurait pas pu te donner du travail ; il est éclusier au canal du Nivernais, et les éclusiers, tu le sais, n’embauchent pas des ouvriers jardiniers. Les enfants m’ont dit que tu voulais reprendre ton métier de chanteur. Tu as donc oublié que tu as failli mourir de froid et de faim à notre porte ? – Non, je ne l’ai pas oublié

difficulté provient des mariages mixtes entre serfs et non serfs : le droit canon, par une décrétale d’Urbain III de 1187, accorde aux enfants la liberté, mais les coutumes laïques n’acceptent pas cette mansuétude. Dans certaines régions, comme en Nivernais ou Bourbonnais, on conserve jusqu’au 16ème siècle le principe franc selon lequel « le pire emporte le bon » et, en l’occurrence l’enfant se voit appliquer la condition servile. En Bourgogne, on se réfère à la condition du père. Le plus

de celui du grain. En France, on voit une baisse de 10 % entre 1810 et 1850, mais les crises peuvent entraîner des chutes de 50 % (1837-41, 1846-49). Les écarts régionaux sont énor­mes : en 1848 un mineur gagne 600 F, un maçon 800, mais dans le Nivernais, un ouvrier semi-rural peut ne gagner que 60 F. La misère, la malnutrition touchent non les chômeurs mais les salariés, im­possible de survivre sans l'appoint du travail de la femme et des enfants. Villermé note que même dans les familles où le budget

coutume de paris accède au rang d'abrégé du droit français. Quelques années plus tard, un autre juriste issu de cette école de droit coutumier, Guy Coquille reprend des théories semblables dans 2 de ses ouvrages : Le commentaire de la coutume du Nivernais (1590) et dans son institution au droit des français (1607). Le titre de ses ouvrages à lui seul est évocateur. Il y a une véritable prétention d'égaler le droit romain en le présentant sous forme d'institute comme Gaïus ou Justinien. Ce développement

droit à Padou et s’installe comme avocat à Nevers. Il est élu trois fois comme député aux Etats généraux. Il est un fervent défenseur du gallicanisme. Sur le plan coutumier, son œuvre est importante : il a écrit un commentaire sur la coutume du Nivernais, Questions, réponses et méditations sur les articles des coutumes dans lequel il traite des problèmes posés par les coutumes. Il a publié un petit traité : Institutions aux droits des français. c) Antoine Loysel (1536-1617) Il est originaire de

droit à Padou et s’installe comme avocat à Nevers. Il est élu trois fois comme député aux Etats généraux. Il est un fervent défenseur du gallicanisme. Sur le plan coutumier, son œuvre est importante : il a écrit un commentaire sur la coutume du Nivernais, Questions, réponses et méditations sur les articles des coutumes dans lequel il traite des problèmes posés par les coutumes. Il a publié un petit traité : Institutions aux droits des français. c) Antoine Loysel (1536-1617) Il

roman, asotie et asotement signifient folie, sottise et même débauche. L. ASSOTER: ennuyer profondément. L. ASSOTIR: même sens; et, dans le sens neutre: devenir sot. L. ASSOUIR: assommer; étourdir. On dit assabouir dans les patois du Berri et du Nivernais. B. ASTHEURE: maintenant. Par contraction, pour à cette heure. ASTICHER; ASTIQUER: taquiner. ASTICOTER: tracasser, tourmenter, piquer sans relâche. D'astic, os creux rempli de suif, dans lequel les cordonniers enfoncent fréquemment leur alène

http://ecotourisme.lespages.fr/bourgogne/ http://www.voyagespourlaplanete.com/category/destinations/france/bourgogne/ Ils proposent notamment de faire une randonnée itinérante de plusieurs jours en roulotte ou même de partir en croisière sur le canal du Nivernais sur une péniche alimentée en électricité par des panneaux solaires et accompagné d’un guide naturaliste qui présente l’écosystème de la région. Concernant le transport, il est possible de prendre le train de Paris Gare de Lyon jusqu’à Avallon.

incliné, hier (0­3) Thiers n’a pas fait le travail à moitié À la faveur de cette victoire, Thiers poursuit sa remontée vers le haut du classement. Du côté de Nevers, il faudra se battre pour le maintien. L’entame de match pro­ posée par les Nivernais mettait les locaux en diffi­ culté, à l’image de Seck, qui obligeait le portier Charmetton à s’employer à deux reprises (10e et 24e), ou de Greco, qui manquait de peu la cible (24e). Mais, contre le cours du jeu, Thiers ouvrait le score sur sa première