Nivernais

Première moitié du XVI° : les juristes commentent les compilations de coutumes, à la manière humaniste, bartoliste. On fait des raisonnements logiques synthétiques. Guy COQUILLE 1523-1603, auteur coutumier, auteur d’un commentaire de coutume de Nivernais, mais aussi « Institution aux droits des français » 1607, expose le droit coutumier l’ensemble du droit coutumier à tout le royaume, veut rapprocher les différentes coutumes des différentes régions, pour voir ce qu’il se rapproche ou pas pour faire

arrête le texte définitif de la coutume et lui donne ainsi, au nom du roi, un caractère officiel. Ont alors été promulguées les coutumes d’Anjou et du Maine en 1508, d’Orléans en 1509, de Paris en 1510, du Poitou en 1514, de Bordeaux en 1521, de Nivernais en 1534, de Bretagne en 1539… Ces premières rédactions sont vite apparues comme imparfaites et ont été critiquées par les juristes. La critique se fonde sur une approche à la fois systématique et comparative des textes, désormais facilitée par l’imprimerie

qui s’exprime en français. Il était originaire du Nivernais, avait fait ses études de droit à Padoue et s’était installé comme avocat à Nevers. Il avait été élu trois fois aux états-généraux et c’est à cette occasion qu’il avait prit gout au droit public se montrant un défenseur acharné des libertés de l’Eglise gallicane contre toute entreprise du Saint Siège. Son œuvre coutumière est importante, avec un commentaire sur la coutume du Nivernais, puis un ouvrage intitulé « questions-réponses et méditations

consommations, la plupart des femmes sont fidèles aux marques de leurs produits de beauté, parfois depuis très longtemps. Et plus les femmes sont âgées, plus elles élisent des marques anciennes (ex : du « rouge baiser » d’Alice (85 ans, village nivernais). Sans surprise, le niveau économique joue un rôle essentiel dans l’achat de ces produits, Yves Rocher pour les plus modestes ou marques de luxe (Dior, Guerlain) pour les plus favorisées. Le souci de soi est aussi plus marqué chez les dernières et

alliance contrainte A les ambitions du roi de Prusse. Bernice critique ses prédécesseurs qui ont accordés trop de droits à l’électeur de Brandbourg. Critique à l’encontre de monsieur le maréchal de Belle-Isle, de monsieur d’Argension et de Nivernais B Le souverain isolé, la France aurait été exposée à la menace d’une ligue contre elle sauf le roi de suède, qui est payé par la Suède, même l’Espagne car le roi de France a froissé l’Espagne lors du traité d’Aix la chapelle. Ferdinand XI aimait

chrétienne (4). Parmi ces derniers, si tous ne furent pas Cathares, certains professaient déjà les grands principes qui font l'originalité de cette hérésie. Les PATARINS (Italie), les Frères prêcheurs (non hérétiques), les PUBLICAINS (Champagne, Nivernais), les POPULICANI (Angleterre), les partisans de VALDES à Lyon (Vaudois) surgissent çà et là. Après les excommunications et les bûchers sporadiques du XIème s. (Orléans, 1022), les condamnations à mort par le feu (Soissons dès 1115, Liège en 1135

Nord-Est (Franche-Comté et Lorraine) et aussi, mais en groupes moins compacts, dans Edition réalisée pour le site d’Histoire herodote.net Henri Sée La France économique et sociale au XVIIIe siècle 19 quelques pays du centre (Berry, Nivernais, Marche, Auvergne). Le nombre total des serfs, semble-t-il, ne dépasse par un million. D’ailleurs, ce sont moins des serfs, au sens du moyen âge, que des mainmortables. On distingue la mainmorte personnelle et la mainmorte réelle, prédominante dans

huche des morceaux de la grand-mère et il invite la fillette à les goûter. Enfin, quand le Petit Chaperon Rouge se déshabille avant de se mettre au lit, il demande au loup où il peut poser chacun de ses vêtements et une version recueillie dans le Nivernais fait dire au fauve : « Jette-le au feu, mon enfant, tu n'en as plus besoin. » 4.3.5.3 L'adaptation de Perrault Autre élément important des versions folkloriques éliminé par Perrault, la question que pose le loup à la petite fille sur le chemin qu'elle

par Diderot et d’Alembert : L’Encyclopédie (publiée de 1722 à 1750). Le combat littéraire est aussi favorisé par des salons littéraires, des cafés ou des académies savantes. Ils dénoncent par exemple les vestiges du servage (notamment dans le Nivernais ou en Franche Conté), le système juridique des droits familiaux, toutes les pratiques communautaires qui perdurent dans les campagnes qui entravent la liberté des paysans, les corporations qui enserrent l’artisanat et le commerce urbain ( refus des

s’il est serf l’enfant sera serf. Champagne = c la condition de la mère. 3° système, l’enfant est serf si l’un de ses parents est serf : « en formariage, le pire emporte le bon ». Ce système dur se pratique dans quelques régions du centre, comme le Nivernais. 4° système, mis en place par le droit canonique, d’après le Pape Urbain III de 1187 l’enfant doit être libre dès qu’un de ses parents est de franche condition. Si on devient serf par la naissance on peut aussi le devenir après la naissance par des