Nobilitas

droit. Cicéron fait un début remarqué comme avocat en 81 av. J.-C. avec le Pro Quinctio (problème de succession). En 79 av. J.-C., il prononce le Pro Roscio Amerino ; il s’attaque à un affranchi du dictateur romain Sylla, se sentant soutenu par la nobilitas. Il gagne le procès mais juge plus prudent de s'éloigner quelque temps de Rome. C'est pourquoi il s'en va parfaire sa formation en Grèce, de 79 à 77 av. J.-C. : il y suit notamment l’enseignement d’Antiochos d'Ascalon (académicien éclectique, successeur

la situation des paysans mais pas fin de l’endettement. Réussite des lois car au cours du 4e s, ouverture des magistratures aux plébéiens. Et de plus, les plébéiens accèdent à une évolution sociale. Emergence d’un nouveau groupe social : la nobilitas : grandes familles patriciennes et plébéiennes. C’est elle qui va occuper les magistratures à Rome. Familles très riches. Ont des clientèles abondantes=groupe dévoué à leur cause. Gens célèbres grâce à l’exercice de magistrature et du commandement

d’obéissance aux autorités : s’appuie sur crainte du jugement dernier. b) structures sociales 1. monde rural Les classes dirigeantes : Une hiérarchie sociale plus différenciée caractérise de plus en plus les campagnes. * La noblesse : (nobilitas major) représente que qqs dizaines de familles (en 1603, 55 pairs laïcs). Plupart des pairies éteintes pdt la guerre des Deux-Roses pas été remplacées par Tudor. Les nobles sont ceux qui possèdent un titre : ducs, marquis, comptes, barons. Sont inscrit

Plèbe (Léa) [][] II) les crises : A) Frères Gracques et crises institutionnelles : FRERES GRACQUES : Après les guerres Puniques, le luxe fait son apparition a Rome. De grandes familles Romaines deviennent énormément riches, ce sont les nobilitas. Le chômage s'accroit, la main-d’œuvre salariée est concurrencée par la masse des esclaves apportées par les conquêtes. À partir de133 av. J.-C., les tensions se multiplient entre les riches et les pauvres, et une tentative de réforme se dessine

s’enrichir, de même pour des collecteurs d’impôts : les publicains (protégés par les gouverneurs). Cette guerre va etre confiée à Coneluis Sylla (Consul en 88 av JC, camp des conservateurs, famille des Cornelii, patricien mais ne fait pas partis de la nobilitas car il n’a pas d’ancêtres magistrats supérieurs, mais il vient d’une famille ruinée). Le commandement de cette guerre intéresse Marius qui espère refaire son prestige, et il va inciter son ami le tribun Supisius à faire voter une loi lui attribuant

d'indépendance juridique et économique par rapport à son mari car dans le cas d'un mariage sine manu, elle garde ses biens et sa dot revient à son mari si leur mariage est dissolus. L'évolution vers l'indépendance est plus flagrante chez les femmes de la nobilitas vers la fin de la République. Cependant, on ne peut parler que d'une évolution d'usage, de mœurs. Elle devient une matrone respectée dont l'influence s'étant au-delà de sa demeure. Elle accède à un statut social. Citons par exemple Cornelia, mère

-300 droit d'accès à la plupart des sacerdoces, et enfin les portes du sénat s'ouvrirent enfin aux plébéiens vers le milieu du 4éme siècle . Dès lors , l'opposition entre les deux ordres s'estompent et il se forme une nouvelle aristocratie, la nobilitas: composée de grands propriètaires terriens issus de la noblesse patricienne et des plus riches familles de la Plèbe . Et c'est cette nouvelle aristocratie qui domina la vie politique de la République romaine à partir du IIIéme siècle av J-C. Et à

mais aussi la plus rare est l’acquisition par naissance exclusivement si l’on est l’enfant (masculin) d’un citoyen romain. Mais, même à la naissance, il existe deux types de citoyens : les patriciens dont le statut évolue en -287 en devenant la nobilitas et les plébéiens. Tous deux jouissent de droits propre au citoyen romain , mais ne votent pas pour les mêmes assemblées et n’ont pas le même rôle dans la vie de la cité. Plusieurs autres solution s’offrent à ceux dont la chance n’a pas été de leur

par Caius Cassius et Marcus Junius Brutus. Les grands hommes de la république romaine Les Gracques Tiberius Sempronius Gracchus et son frère Caius Sempronius Gracchus surnommés les Gracques sont deux hommes d'État romains. Issus de la nobilitas plébéienne, fils du consul , petits-fils de Scipion l'Africain, ils sont renommés pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain. Caius Marius Caius Marius dit le sage, né en 157 av. J.-C. à Cereatae, près d’Arpinum et

cens ". On vote les lois, on décide de la guerre et surtout on élit les magistrats supérieur. -les "comices tributes" : les magistrats inférieur sont élus, on élit les tribains de la plebe. les plébiscites n'ont pas valeurs de lois. la "nobilitas", qui donnera noblesse; qui est formé par les mariages des anciennes famille patricienne de la citée et des plébéiens. le sénat est l'assemblée majeur, a Rome.Même si celui perd très vite le droit d'élire les consuls, il n'en conserve pas moins