Robert Faurisson

2006, dans une interview accordée à Le Choc du mois, une revue d'extrême-droite qui fut interdite pour cause de négationnisme à la suite d'une interview de Faurisson, il affirme représenter « la vraie gauche »9 et en 2009, il se décrit comme un républicain antisioniste anticommunautariste10. Outre ses sympathies affichées il promeut Robert Faurisson, l'auteur négationniste, dont il croise le chemin à la suite de la participation de ce dernier à la conférence négationniste de Téhéran en 200711, ce pour

apprécié, il se rapproche du Front national qu'il avait auparavant combattu et, plus largement, de l'extrême droite. Il multiplie les provocations publiques et va jusqu'à fréquenter les milieux négationnistes, faisant notamment monter sur scène Robert Faurisson lors de l'un de ses spectacles. Il connaît de nombreux procès, dont plusieurs se soldent par des condamnations pour incitation à la haine raciale. Fin 2013-début 2014, l'un de ses one-man-shows est l'occasion d'un bras de fer particulièrement

défendues par la plupart des négationnistes et ils ont une foule d’arguments pour démontrer cela. Dans le monde du négationnisme et de ses chefs de file tels que Ernst Zündel, négationniste canadien qui a eu affaire à la justice, ou encore Robert Faurisson, enseignant en lettres français à l’université qui a écrit plusieurs ouvrages négationnistes, qui lui aussi a été face à la justice et ce plusieurs fois et a fait la une de plusieurs journaux à partir de la fin des années 1970 pour cause de scandales

élément déterminant de l’identité juive. En 1979, le professeur Robert Faurisson prétend que le génocide n’est qu’un « mensonge historique ». Des historiens se mobilisent contre ce courant négationniste. B… entraîne la fin du mythe « résistancialiste » En 1969, Marcel Ophuls réalise un film, Le Chagrin et la Pitié, afin de montrer le caractère ambigu de la population française pendant l’occupation. En 1973, l’historien américain Robert Paxton démontre que l’État français a livré des Juifs sans la

associations juives souhaitent avant tout participer la reconstruction de lunit nationaleet veulent viter de se singulariser dans une France qui soigne encore les plaies de lpuration. Ce nest qu la fin des annes 1970 que lathse ngationnistede Robert Faurisson est publie et dans les annes 1980 que souvrent les procs Barbie et Papon. Cest donc bien le procs dAdolf Eichmann, en 1961, et lappel la barre de nombreux rescaps, qui ouvrelre du tmoin la mmoire de la Shoah est ravive une premire fois. Lors

incompétents, Robert Faurisson résume ce qui n’est qu’une insulte, il dit que le Zyklon est un insecticide qui existe encore aujourd’hui et que par conséquence au bagne d’Auschwitz on n’a gazé que des poux. Le 26 décembre 2006 le président iranien échange une poigner de main avec un ancien chef du ku klux klan le vieux mouvement raciste américain, il organise des conférences sur l’holocauste pour offrir tribune à tous les négationnistes de la shoah, le 26 décembre 2008 Faurisson est invité par

est le contraire de la déportation juive. Ces notions de se mélangent pas. (cf : 5p59) La théorie du « Glaive et du Bouclier » par Robert Aron (qui a écrit Histoire de Vichy) • Pétain = Bouclier = collaboration etait le « meilleur » moyen pour proteger la France de « pire » •De Gaulle = Glaive = essaye de sauver le territoire français Selon Robert Aron, Pétain ne peut être condamné car il complète De Gaulle.(réhabilitation de Pétain) II-/ La remise en question des mémoires officielles

cinématographique et historique remet en cause le mythe résistancialiste gaulliste. En effet, la majorité des 42 millions de Français a surtout cherché à survivre à la guerre. En 1973, paraît, en France, La France de Vichy de l’historien américain Robert Paxton qui, insiste sur la politique de collaboration volontaire du régime de Vichy dès le début de 1940 et sur sa politique antisémite propre. Cet ouvrage provoque l’accélération de la recherche historique. Rapidement, sont établis les liens

Ce livre permet aux historiens d’ouvrir véritablement le débat et de faire progresser l’historiographie : cf texte de Robert Frank doc. 3 p. 73. 2. Le travail de la justice et les procès pour écrire l’histoire (Touvier, Barbie, Papon). 3. Le danger du négationnisme (En 1978, Darquier de Pellepoix affirme qu’à Auschwitz « on n’a gazé que les poux », voir aussi Faurisson ou encore Jean-Marie Le Pen qui parle du « détail » de la Seconde Guerre mondiale). Les historiens combattent contre

qu'une loi amnistiait 30 000 collaborateurs. En 1961, le procès d'Eichmann, responsable nazi, relance la mémoire de la Shoah (ligne 3 « transmettre la mémoire de la Shoah »), l'évolution des mémoires se met donc en marche. En 1979, un certain Robert Faurisson, professeur, prétend que le génocide n'est qu'un mensonge historique. Des historiens se mobilisent donc contre ce négationnisme, ce qui montre, encore une fois, que c'est là un véritable travail que de perpétuer la mémoire, encore aujourd'hui