Noblesse de robe

artistiques élaborent des modes nouvelles. I la mode feminine Le costume féminin se simplifie, suite à la restriction des divers édits, en devenant plus confortable. Nous retrouvons la cotte ou la jupe, le corps de cotte ou corsage et la robe, sorte de manteau ouvert et porté par-dessus le tout. Les corsages à baleines sont pour la plupart mis en forme par de fines baguettes d'osier pour souligner les " crevés " des tissus qui les doublent. Les satins, velours, taffetas et damas sont

Louis XIV s'attache à écarter les grands du royaume de l'exercice réel du pouvoir. Texte 10 sur les intendants Dans le royaume, en province, Louis XIV est représenté par les intendants « de police, justice, finances ». Ils sont issus de la noblesse de robe ou de la haute-bourgeoisie. Ils sont choisis par le contrôleur général des finances. Ils sont à la tête d'une généralité (circonscription financière). Leur mission : - intendant de police : il prend en main l'ordre public, dispose des garnisons

encore accentuée. Versailles devient, à partir de 1682, la résidence permanente du roi, de la cour, des ministres et des administrations. Le palais symbolise la grandeur et l’autorité du souverain. C’est aussi un instrument de gouvernement. La haute noblesse y entoure le monarque dans l’attente des emplois et des pensions qu’il distribue. Ainsi, elle ne peut plus se révolter comme aux premiers temps du règne (la Fronde). Les successeurs de Louis 14, Louis 15 et Louis 16, continuent à gouverner de cette

SOCIO-ECONOMIQUE Au 17ème siècle, il y’a un contraste entre les classes dominantes et les classes dominées. Le Clergé Dans la hiérarchie des dignités il s’agit du premier ordre ; il ne présente pas d’unité, car ses membres sont issus à la fois de la noblesse, de la bourgeoisie, voir parfois de plus basses classes. Il y a ainsi déjà une opposition entre le haut clergé (la hiérarchie épiscopale (évêque), d’une abbaye (abbé), le chanoine) et le bas clergé. Le clergé est composé d’environ 140 000 membres

décisionnel et sont de simples techniciens. Le pouvoir est tiraillé entre deux logiques : la centralisation monarchique, et l'octroi de libertés provinciales matérialisées par les Parlements. La monarchie absolue est contestée : la bourgeoisie et la noblesse veulent une monarchie parlementaire où elles puissent partager le pouvoir du roi. Les parlements, en vertu de leurs droits de remontrance, peuvent refuser d’enregistrer les édits royaux ; car Louis XVI, à son avènement avait annulé la réforme

Germinie. C’était à quelques mois de là. Elle avait demandé à sa maîtresse la permission d’aller ce soir-là au bal de noce de la sœur de son épicier qui l’avait prise pour demoiselle d’honneur, et elle venait se faire voir en grande toilette dans sa robe de mousseline décolletée. Mademoiselle leva la tête du vieux volume, imprimé gros, où elle lisait, ôta ses lunettes, les mit dans le livre pour marquer la page, et fit : —Toi, ma bigote, toi, au bal ! Sais-tu, ma fille… ça me paraît tout farce !

officiers de la Chambre et de la Garde-robe entrent à leur tour pour le Grand Lever durant lequel le Roi est habillé et déjeune d’un bouillon. Seuls les personnages les plus importants du royaume qui sont admis à observer ce cérémonial. On estime à une centaine le nombre habituel des assistants, tous masculins. Et commençait le grand levée Entrée alors le médecin et le chirurgien ordinaire, l’intendant et le contrôleur de l’argenterie, le premier valet de la garde-robe, les gentilshommes titulaires de

laine tissée. LE COSTUME FEMININ On s’inspire plus du costume des romaines. On retrouve la stola // robe longue ceinturée à la taille. On retrouve le motif des bandes brodées qui partent de l’encolure jusqu’à l’ourlet. Les étoles liturgiques des prêtres seraient issues de ces bandes brodées. Utilisation des fibules soit pour ajuster un pan de robe soit pour maintenir un foulard ou remonter la robe. Les femmes continuent à se couvrir la tête. Les robes sont avec ou sans manche. Les lois sont rigides

vers le haut de la bourgeoisie. * Edit accélère noblesse de robe. * Conséquence pô très lourde. Donne lieu à débats important sur la création édit. *Edit dangereux parce que = hérédité dans la fct publique (indépendante du pouvoir, non révocable); enferme monarchie française dans système de recrutement fondé sur la fortune, riches servent l'état et deviennent officiers; - Fidélité noblesse française *Allégence de la noblesse d'Henri IV * Maximillien de Bétune née en 1559

d’une chemise, d’un corset, de plusieurs jupons, sous la robe on porte deux jupes, celle du dessus s'appelait la modeste, celle de dessous la secrète et celle qui se plaçait entre les deux la friponne. Le premier vêtement appelé également jupe, est composé de deux parties séparées : le corsage et la jupe, et enfin d’un second vêtement, la robe, qui, comme le précédent, se composait de deux parties : le corsage et le bas-de-robe. Le corps-de-robe était ouvert pour laisser apparaitre le corps-de-jupe