Noblesse d'extraction

lecteur. « L’or éclate » qui ouvre le portrait de même que le verbe « briller » sont une évocation évidente du soleil, symbole de l’absolutisme royal. Traumatisé dans l’enfance par la Fronde, Louis XIV a centralisé la France afin de maîtriser la noblesse et de diminuer considérablement son pouvoir. Alors que les nobles se trouvent confinés à la Cour, réduits au rôle de courtisans, les bourgeois qui ont beaucoup d’argent puisqu’ils travaillent sont mieux considérés et peuvent pour certains, comme

imprudences mêmes ; il frôle à chaque instant la catastrophe. Mais l'intrigue où il se complaît est celle d'un homme d'esprit. Esprit et action sont unis chez Beaumarchais avec une franche et robuste gaieté. L'esprit s'attaque à la justice, à la noblesse, aux courtisans. Le Barbier de Séville devint opéra-comique, refusé par les Italiens, puis enfin ce qu'elle est aujourd'hui, c'est-à-dire une pièce de théâtre dont on connaît au moins trois états. Quant au mécanisme, au mouvement d'horlogerie

les commandes * Convoque par apostrophes persos absents => deviennent interlocuteurs. Cela lui permet de présenter les autres persos, rappeler leur rôle et exprime désir vengeance. * 1ere cible : Le Comte. L’interpelle par son titre de noblesse « Monseigneur » => ironie. Termes utilisés seraient proscrits en présence du Comte * Même chose pour Bazile => tutoiement+insultes (« fripon », « Du Bazile ») * Occasion de déverser reproches et lancer défi=> exprimé par menaces

séparation de l'auxiliaire et du participe rejeté au vers suivant « nous avons » / « perdu » dans les vers 12/13 et 32/33 : procédé proprement scandaleux pour les partisans de la tradition classique) c) une tirade qui dévoile un héros romantique – Noblesse de coeur : exaltation de valeurs positives ( « vertu », « loyauté », ...), intégrité, courage de la dénonciation – Après la violente imprécation de l'exorde, la tirade se fait appel à la prise de conscience, ce qu'illustrent les nombreux impératifs

INTRODUCTION Parler de l’auteur : Beaumarchais Parler de l’Œuvre : Le mariage de Figaro, III, 16 DEVELOPPEMENT Situer l’extrait : Reprendre la problématique : Lecture de l’extrait : Annoncer le plan de la réponse à la question Exposer les différentes parties de la réponse I – II ou I – II et III EN CONCLUSION Si c’est une extrait d’une œuvre intégrale : Suggérer la suite Si ce n’est pas une œuvre intégrale : - soit faire un rapprochement avec l’objet

la mise en abyme. Le récit de la vieille est enchâssé dans le conte, et en reproduit les principaux thèmes en les aggravant. La Vieille (qui n'a même pas de nom), est l'image la fois idéalisée et aggravée de Cungonde : celle-ci, fille de petite noblesse, était surtout fraîche et agréable, la vieille était fille de pape et d'une beauté exceptionnelle. Elle est la prémonition de ce que sera Cungonde dans les derniers chapitres. Elle a connu l'amour absolu, mais une chute bien plus rude que celle de

fourni aucun indice de dignité du père. =>Cunégonde semble marcher sur les traces de sa mère, elle est discrètement comparée à une volaille et son prénom a une sonorité vulgaire et ridicule.  Une critique sous-jacente de la noblesse. 2. Satire de la petite noblesse : * Baron de Thunder-ten-tronckh patronyme certe imposant mais surtout ridicule * n'admet pas sa pauvreté - Voltaire oppose la prétention de richesse (- grande salle -, - meute -, - piqueurs, - grand aumônier) et la

bal où sont réunis des gens de tous les milieux, elle ne dispose que de ses observations personnelles et de ses préjugés (présentation p.15). Elle s’appuie sur l’apparence et le comportement de Maximilien pour le considérer comme appartenant à la noblesse. Elle apprendra par la suite qu’un bourgeois peut avoir des manières dignes de l’éducation donnée aux nobles, puisque c’est le cas de Maximilien. Son erreur de jugement est donc issue de ses préjugés, qui causeront ainsi son malheur et l’échec de

ses obligations, ses engagements et ses privilèges par apport aux autres ordres. IV. L’économie est rurale et se base a la terre et son exploitation. Les relations de soumission et l’hiérarchie féodale. Au moyen âge on a des ordres. LA NOBLESSE : ils possèdent de leur naissance de la richesse, du pouvoir et d΄une valeur guerrière incontestée. Ils administrent, ils combattent et ils sont obliges de protéger la vie des autres ordres. LE CLERGE: ils protègent les autres ordres spirituellement

transformer en assemblée nationale constituante. Voilà le véritable acte révolutionnaire juridique. A) La convocation des états généraux 1) Définition des états G Assemblée de représentant des 3 états, ordres du royaume donc le Clergé , la noblesse et le Tiers Etat → subdivision fondamentale de la société d'ancien régime. Très ancienne remonte au milieu du Moyen age , divise la société entre ceux qui prient et ceux qui combattent. Assemblée pas permanente elle est convoquée et réunie de manière