Noblesse d'extraction

d’ordre, c'est à dire qu'elle est composé de trois Ordres, le Clergé, la noblesse et le Tiers État. Le clergé est l’ordre le plus privilégié : on distingue le haut clergé (évêques et abbés) issus de la noblesse du bas clergé (curés de campagne) qui vit très modestement. Puis, La noblesse est le deuxième ordre. Il y a une noblesse très riche qui vit à la cours du Roi et possède de vastes domaines et il y a la petite noblesse provinciales modestes peuplé de noble comme Mirabeau qui s'allieront au Tiers

recrutement social. Très tourné vers noblesse. Gdes familles aristo touchées. Dans la famille Bourbon il y a Louis de Condé oncle du futur Henri IV ; se convertit en 1558. On a aussi de gds dignitaires : ex amiral de Coligny adhère en 1559 au Protestantisme. Adhésion de Gds personnages favorise chaîne de conversion : chaîne de vassaux . → conversion Grands entraîne celle de leur vassaux ==>diffusion protestantisme par réseau de capillarité : de petite noblesse jusqu'à villageois. Conversion du haut

Dorimène, pour lui-même! Finalement, Covielle, le valet de Cléonte, va prendre monsieur Jourdain à son propre piège en faisant passer son maître pour un noble Turc; il organise une cérémonie où Monsieur Jourdain devient mamamouchi (faux titre de noblesse turc). Lucile et Cléonte se marieront, Nicole (servante de Lucile) et Covielle aussi et Dorante épousera Dorimène. PERSONNAGES : M. Jourdain est un personnage créé et joué par Molière lui-même. C'est le personnage principal du récit, il est

lors des soirées de jeu, il garde la porte de la maîtresse de maison lorsque la dame se lève ou se couche afin d'éviter les importuns. Le nombre des domestiques varie en fonction de la fortune et de la condition des maîtres. Les membres de la haute noblesse d'épée et de robe, les magistrats comptent de quinze à vingt serviteurs. Les élites de la Province se contentent d'une dizaine de serviteurs en moyenne. Les membres des professions libérales, les intellectuels, la bourgeoisie d'affaire et les marchands

technologies de la Révolution industrielle. Déjà avant le XVIIe siècle, ces forces avaient changé la face de l'Europe, surtout dans sa partie nord-occidentale, même si la relégation des acteurs sociaux traditionnels du Moyen Âge (le clergé et la noblesse) au profit des nouveaux protagonistes (l'État moderne et la bourgeoisie) était encore loin. Dans une perspective matérialiste, le processus de transformation commence avec le développement des forces productives, dans un contexte d'augmentation

Alphonse de Lamartine est né à Mâcon le 21 octobre 1790 dans une famille de petite noblesse provinciale. Pierre, son père, est royaliste convaincu et sa mère, Alix des Roys, issue de la bourgeoisie cultivée.En 1803, Alphonse entre au collège des Jésuites des Pères de la Foi de Belley, dans l’Ain. Brillant élève, il commence à s’enthousiasmer pour des études littéraires et écrit ses premiers essais nourris de Fénelon et de Racine.En 1808, il découvre Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle. Après

exemple, dans le Bourgeois Gentilhomme, de Molière, la scène qui se déroule entre Mr Jourdain et le maitre de philosophie est des plus ridicules. Quand on voit que Monsieur Jourdain est capable de tout pour enrichir ses connaissances et imiter la noblesse, l’effet comique est assuré, en particulier lorsqu’il s’esclaffe de la beauté de cet apprentissage : «  cela est vrai. Ah ! que n’ai-je étudié plus tôt , pour savoir tout cela » ( l.29) , ou encore «  cela est vrai. Vive la science ! » ( l.18 )

qu'elle a souhaité, sûre enfin de l'amour de Rodrigue qui a demandé d'elle une mort qu'elle lui a refusé.  Étude des personnages Un couple brillant : Chimène et Rodrigue alias le Cid Ils ont environ vingt ans , et même moins. Les coutumes de la noblesse, au Moyen Age, époque où se situe l'action, nous obligent à le penser : Chimène n'est pas encore mariée, et « on n'a jamais vu » Rodrigue « les armes à la main ». Nous pouvons donc les imaginer ainsi, avant le lever du rideau. Chimène, fille d'un

conviée à ce conseil. Par la suite, le conseil ne dépassa jamais plus de 7 membres. Autre originalité qui se retrouvera souvent par la suite, le roi ne voulait que des gens compétents aux postes élevés, et non pas seulement des gens issus de la haute noblesse, ou de la cour : « j’aurais pu, rédigea Louis XIV dans ses Mémoires, jeter les yeux sur des gens de plus haute considération ; mais non pas qui eussent eu plus de capacité que ces trois ». Autre conseil, Le conseil des Dépêches. Ce conseil réunissait

l’auteur fait la satire des mœurs de son époque en s’en prenant aux travers des différentes classes sociales du 17ème siècle. Pour ce faire, dans les scènes 3, 4, 15 et 16 de l’acte III, Molière dénonce le snobisme des bourgeois et le prêt à tout de la noblesse. D’abord, tout au long de la comédie-ballet Le Bourgeois gentilhomme, Molière dénonce le snobisme des bourgeois avec le mépris et la maladresse de Monsieur Jourdain ; un bourgeois de l’époque. Les bourgeois étaient des habitants fortunés qui vivaient