Noces de Cana

attend. En effet, nous sommes, mes très chers frères, ceux qui prennent part aux noces du Verbe. Nous qui avons déjà foi en l'Eglise, qui nous nourrissons de la Sainte Ecriture, qui nous réjouissons parce que l'Eglise est unie à Dieu. Demandez-vous maintenant, je vous prie, si vous êtes venus à ces noces avec l'habit nuptial: examinez avec soin vos pensées. Je vous assure et m'assure à moi-même, que cet habit de noces sera tissé de l'amour de Dieu que nous aurons su recueillir jusque dans les plus

vie éternelle, et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment un breuvage » (Jean, 6, 54-55). DOSSIER - La vie de Jésus racontée aux chrétiens (p. 46-47) Doc. 1 : Les noces de Cana Le récit des noces de Cana n’apparaît que dans l’Évangile de Jean, celui qui insiste le plus sur l’enfance et les débuts de la vie publique de Jésus. Le miracle raconté à cette occasion est le premier miracle de Jésus, accompli lors d’une noce. Doc. 2 : La

lumière. Soldat qui dort : effet de raccourci. Laisse penser qu’Antonio da Messina a vu les œuvres de Mantegna. Vittore Carpaccio, Histoire de sainte Ursule : départ de sainte Ursule, 1495, huile sur toile, 280*611, Venise, Accademia, Véronèse, (Noces de Cana, Louvre) Apparaissent à la fin du XVème siècle des cycles de peintures narratives, qui ne sont pas des fresques, commandées par les scuole. Vittore Carpaccio, Histoire de Sainte Ursule : Songe de sainte Ursule, 1495, huile sur toile, 274*267,

l’espace. Mélanges d’éléments antiques et contemporains. _Moïse sauvé des eaux : ses thèmes antiques comme bibliques lui permettent de décrire le luxe et la richesse de la société vénitienne (élégance des personnages et de leurs costumes). _Les noces de Cana (Louvre) : taille exceptionnelle 10mx7m. Commande pour la décoration d’un réfectoire d’une abbaye. Le thème est la représentation du 1er miracle du Christ et Véronèse choisit le moment crucial où il change l’eau en vin. Celui-ci coule des jarres

celle de Dieu et celle de l'Esprit. Ce sénaire avait souffert dans les prévarications diverses qui ont fait descendre ici bas le Régénérateur. Il fallait qu'il en réparât la virtualité. C'est pour cela qu'il changea en vin l'eau des six urnes, aux noces de Cana. (J. II-6.) [91] On doit se rappeler aussi les douze pain de propositions rangées six par six, les quarante deux campements, les six jours de travail, les six degré du trône de Salomon, les six cent soixante-six talents que sa flotte lui apportait

l'univers de la photographie publicitaire. L'origine de la lumière est difficile à percevoir. "Ce que je comprends" : les éléments hétéroclites renvoient à des univers très différents. On peut penser tour à tour à la peinture de Véronèse (Noces de Cana), à un univers de clones, de superhéros, à l'orient, à l'antiquité, à la Renaissance, aux mondes futuristes… • Les mouvements sont figés, dans des poses théâtrales ; tout se joue sur l'avant-scène, comme souvent dans la peinture néo-classique

chrétienne, héritage de la culture antique et tributaire de la métaphore des nourritures spirituelles. Cette métaphore alimentaire apparaît à plusieurs reprises et lors d'épisodes cruciaux de la vie de Jésus, dans les Évangiles : par exemple lors des noces de Cana, où « (Son) heure n'est pas encore venue » mais il est plus important que les convives aient du vin ; lors de la multiplication des pains et des poissons, afin de retenir son auditoire ; au moment de la Cène (« la nuit même où Il fut livré, il

les citoyens étant enregistrés à des fins fiscales et militaires, le lieu de leur recensement a un rapport avec Mars, dieu de la guerre. Le bas-relief ici représenté est un détail d’une frise sculptée sur la base d’une statue qui représente les noces de Neptune et Amphitrite sur trois côtés et l’opération de recensement sur le quatrième. Le citoyen (à droite) tient des tablettes contre sa poitrine, déclare ses trois noms, sa tribu d’origine et le montant de sa fortune à un scribe qui note cela

47,49.]. Dans le pays avant qu’il fît aucun miracle il se mit à prêcher aux peuples le royaume des cieux [Matth. IV, 17.], et il avait déjà rassemblé plusieurs disciples sans s’être autorisé près d’eux d’aucun signe, puisqu’il est dit que ce fut à Cana qu’il fit le premier [Jean II, 11. Je ne puis penser que personne veuille mettre au nombre des signes publics de sa mission la tentation du Diable et le jeûne de quarante jours.]. Quand il fit ensuite des miracles, c’était le plus souvent dans des

pour sûr chez sa blonde, à frictionner sa goutte ; peut-être bien aussi qu’il avait avalé son écharpe. Mais, quand le magistrat parut, ils se levèrent respectueusement. On les fit rasseoir. Alors, ils assistèrent à trois mariages, perdus dans trois noces bourgeoises, avec des mariés en blanc, des fillettes frisées, des demoiselles à ceintures roses, des cortèges interminables de messieurs et de dames sur leur trente-et-un, l’air très comme il faut. Puis, quand on les appela, ils faillirent ne pas être