Nombre univers

l’obtention de données aléatoires est réalisée sur un ordinateur à partir d’algorithmes de nature déterministe, ce qui peut sembler contradictoire. Il existe deux types de génération des nombres aléatoires (physique, algorithmique) dans ce TP nous intéressant au deuxième type. II- Définition : Nombre aléatoire = occurrence d'une variable aléatoire uniforme discrète ou continue. Pour rappel : * une variable aléatoire x est uniforme continue sur un intervalle [a,b] si sa fonction

COMBINATOIRE 1. Dénombrer tous les nombres à quatre chiffres différents. 2. De combien de façons peut-on choisir un président, un secrétaire et un trésorier dans une assemblée de quinze personnes? 3. Le code d’ouverture d’un coffre est composé de quatre chiffres, à taper dans un certain ordre sur un clavier à neuf numéros (de 1 à 9). On suppose que les 4 chiffres sont tous distincts. Dénombrer : a) tous les codes possibles, b) les codes dont le dernier chiffre est pair, c) les codes dont le premier

Théorie Règle d'addition de deux entiers: Pour additionner deux entiers de même signe, On additionne les valeurs absolues des deux nombres; On donne au résultat le signe commun aux deux nombres Pour additionner deux entiers de signes contraires, On soustrait la plus petite valeur absolue de la plus grande On donne au résultat le signe du nombre qui a la plus grande valeur absolue Règle de multiplication Pour multiplier deux entiers, On multiplie les valeurs absolues;

revenir à son point de départ)? Voici le plan de la ville : A B C D Ceci a conduit à définir la notion de chaîne eulérienne (circuit eulérien). Le théorème général est : « Un graphe G connexe admet une chaîne eulérienne si et seulement si le nombre de noeuds de G de degré impair est 0 ou 2 ». 1) Donner la modélisation du problème 2) Démontrer le théorème 3) Existe-t-il une(des) solution(s). Si oui, la(es)quelle(s) ? Exercice n° 6 Soit le graphe suivant : C F ig u3 u r e 0. 0 u7 B F ig u

(constante : valeur non calculée. Par exemple, le nombre 210, et le texte « CA trimestriel » sont des constantes. Une expression, ou une valeur résultant d’une expression, n’est pas une constante.) et des opérateurs (opérateur : signe ou symbole qui spécifie le type de calcul à réaliser dans une expression. Il existe des opérateurs mathématiques, de comparaison, logiques et de référence.). Par exemple, la formule =5+2*3 multiplie deux nombres, et ajoute un nombre au résultat. Microsoft Office Excel suit l’ordre

recherchée. 2.1.4- LES EFFECTIFS ET LES TABLEAUX Le nombre d’individus présentant chaque modalité à pour nom : effectif de cette modalité (ou fréquence absolue) Pour résumer : - population ( une ville à une date précise, notée P - unité statistique ( les habitants - caractère ( état matrimonial, noté x - modalité ( marié ou non marié, noté x1 et x2 - effectif ( nombre d’habitant mariés, n1 ; nombre d’habitant non mariés, n2 On synthétise les modalités

1. Utilisation d'expressions littérales Une expression est littérale lorsque des nombres sont représentés par des lettres. On a déjà utilisé des lettres pour : - énoncer une formule - décrire une règle de calcul - désigner un nombre inconnu dans les équations 2. Deux types de lettres utilisées. Si une lettre représente un nombre qui peut prendre une valeur quelconque dans un ensemble de nombres, on dit que c'est une variable. Si au contraire, la valeur attribuée à la lettre

pour les ms.     3) Devenir élève (vivre ensemble, coopérer) Respecter les autres et respecter les règles de vie commune Ecouter, aider, coopérer Exécuter en autonomie des tâches simples Dire ce qu’il apprend Page 1 Séquence : approcher les nombres et les quantités Anthony REITER J’accentue les activités sur du travail en ateliers et en autonomie. 4) Découvrir le monde (découvrir les couleurs, les formes, la numération, se repérer dans l’espace) DOMAINE CONCERNE Le premier travail

ASR1 bis IUT A de Lille – USTL DUT Informatique 1A 2007–2008 Architecture des ordinateurs TD 2 : Repr´sentation d’un nombre entier relatif e Exercice 1 Repr´sentation des entiers relatifs : signe/module e 1. Donner les intervalles de codage sur 8 bits et sur 16 bits. Dans la suite de l’exercice, on travaille sur 8 bits. 2. Coder les entiers (+97)10 et (−34)10 . 3. D´coder (00110101)2 et (10110101)2 . e 4. Effectuer les additions : (a) 0110 1011 + 1011 1101 (b) 0110 1011 + 1111 0000 (c)

polynˆmes p0 , p1 et p2 d´finis par e o e p0 (x) = 3, p1 (x) = x − 2, p2 (x) = (x − 1)2 . (b) Trouver toutes les racines de p. 3. Soient a et b 2 r´els. On consid`re le polynˆme p d´fini par p(x) = x4 + ax3 − 2x2 + bx − 3. e e o e (a) Quel est le nombre maximum de racines de p ? (b) On suppose que −1 et 3 sont racines de p. Quelles sont les valeurs de a et b ? (b) Exprimer chaque ´l´ment de la base canonique de P2 dans cette nouvelle base. ee (a) Montrer que la famille constitu´e des 3 polynˆmes