Nominalisme

faits de structures sociales forment quelque chose d’objectif car invariantes ce qui n’est pas le cas des actes individuels. | |Chapitre 4 : Règles relatives à la constitution des types sociaux : 2 conceptions contraires de la vie collective : nominalisme des historiens/réalisme extrême des philosophes 1. sociétés = individualités hétérogènes, incomparables entre elles. Tte généralisation presque impossible, chaque peuple a sa constitution spéciale, sa morale etc... 2. Histoire = « suite d'évènements

sont des propriétés des corps. Berkeley va plus loin en posant que les qualités premières sont tout aussi dépendantes du sujet qui perçoit que les qualités secondes. Il prolonge et dépasse l’empirisme d’une autre manière encore en en déduisant un nominalisme radical. La réalité est composée exclusivement de choses singulières et seuls les mots sont « responsables » des idées générales et abstraites. Par exemple, le concept d’ « homme » ne désigne rien de concret, il n’est qu’un signe pour une multiplicité

vaudrait une injustice qu’un désordre. En revanche, lorsque la loi injuste est contraire à la loi divine, la résistance voire la rébellion sont alors justifiées. §3 : Le droit naturel laïc Dès les XIIIe et XIVe siècles, les partisans du nominalisme, Duns Scot et Guillaume d’Occam, considèrent le droit naturel comme un idéal individuel, pour lequel la volonté humaine joue un rôle important. Mais c’est à partir du XVIIe siècle que s’est développé le droit naturel laïc. Selon Grotius (1583-1645)

centime près au préjudice qui est réellement subit par le créancier. Du point de vue économique, déséquilibre ici en faveur de l’obligation en nature. De surcroit, ce déséquilibre est encore aggravé par le principe du nominalisme monétaire adopté par le Code civil. Le nominalisme monétaire, en effet, le Code civil ne tient pas compte de l’inflation c’est à dire que si un débiteur a une dette d’un certain montant depuis plusieurs années, cette dette n’est pas réévaluée. A partir de là, une obligation

conceptualisme | Théorie selon laquelle les concepts ne sont que des constructions de l’esprit.* En ce sens, le conceptualisme s’oppose au réalisme, car rien de concret ne correspond à un concept hors de l’esprit. Il se distingue également du nominalisme selon lequel les concepts ne sont que des signes conventionnels qui facilitent la communication de la pensée. | concret | Ce qui est fournit comme tel par l’expérience. 109 Ce terme désigne des êtres ou des objets réels. Il s’oppose à abstrait

manifeste qui préside à la succession de ses apparitions, c'est la raison de la série. Au nominalisme de Poincaré, définissant une réalité physique (le courant électrique, par exemple), comme la somme de ses diverses m anifestations, Duhem avait raison d'opposer sa propre théorie, qui faIsan du concept l'unité synthétique de ces manifestations. Et, certes, la phénoménologie n'est rien moins qu'un nominalisme. Mais, en définitive, l'essence comme raison de la série n'est que le lien des apparitions

sont les billets et la monnaie scripturale qui n’ont pas de valeur intrinsèque, à la différence des espèces métalliques. L’évolution des formes monétaires s’est faite dans le sens d’une « dématérialisation » de la monnaie et dans celui d’un « nominalisme » des signes monétaires. II-1 Du troc à la monnaie marchandise Dans les sociétés primitives où l’homme s’adonnait à des activités destinées à satisfaire la quasi totalité de ses besoins, la seule forme d’échange concevable était le troc. C’est

fluctue en f° des considérations éco : si le moment de la naissance de la dette : certaine valeur, au moment de paiement la même monnaie autre valeur : on peut se poser la ? de la prise en compte de la pvr d’achat. Le ppe en dt fr : le ppe du nominalisme monétaire : pour être libéré d’une dette somme d’argent il faut remettre le nominal stipulé, sans incidence du nominal perdu du pvr d’achat. Pour l’érosion monétaire il ne faut pas compter sur la loi, il n’y a pas de ppe de réajustement du paiement

l'individu sensible est tout ce qui existe et que les essences ne sont tout au plus que des noms de ressemblances, alors la science, la justice, la raison même semble menacées à moins de les rapporter toutes à Dieu, et de s'en défaire. Sans confondre nominalisme et nihilisme, il faut bien reconnaître que ce premier se caractérise surtout par son pouvoir « dissolvant » (Comte). De la même façon, si chacun menait sa vie suivant des préceptes individualistes (lesquels ne seraient même pas des préceptes, car

crises (XIV°-XV°) 1- Crise de L’Eglise 1305-1376 : exil avignonnais de la papauté. 1378-1417 : Grand schisme : deux ou trois papes sont à la tête de l’Eglise Duns Scott 1266-1308 et Guillaume d’Ockham (+ 1349) : Diatribe du nominalisme anglais Le nominalisme : * Critique des théories de la connaissance aristotélicienne * Primat des objets concrets, empirisme scientifique moderne. * Critique de la théologie thomiste : il est impossible de prouver l’existence d’un Dieu créateur