Noms et adjectifs de couleur

deux éléments : la ville et la peste. A – Une ville paisible… Le temps « Ciel frais du printemps ». Une nouvelle ère arrive mais celle de la peste, une ère malveillante. La ville est caractérisée par les couleurs l.6 « ville jaune et grise ». Opposition du soleil et de la pluie. Deux adjectifs qui peuvent décrire un visage malade.La vie de la ville « animée », « bourdonnante » (ville bruyante = ville active) « pacifique » « la paix de cette journée », une ville uniforme qui ne diffère pas malgré

carreaux ; – des crayons à mine ; – des stylos de couleurs ; – une gomme ; – une règle.  On met une majuscule (ou lettre capitale) :  -> au début de la phrase. Le joueur d'échecs, comme le peintre ou le photographe, est brillant… ou mat. [Valdimir Nabokov, Pnine]  -> aux noms propres, prénoms, noms de famille, surnoms… Marco Polo, Christophe Colomb, Jacques Cartier étaient tous des grands explorateurs.  -> aux noms communs utilisés comme noms propres Son chat Myrtille. Le chef de l'État français

sens 2. La présence de la religion : v.5-10Eloge paradoxal de la religion : v.5-8· insistance sur la nouveauté d’une religion millénaire · mise en évidence du « modernisme » d’un pape considéré plutôt comme réactionnaire : adjectif qui semble déplacé par rapport au caractère sacré de la fonction· éloge qui peut s’expliquer par : une nostalgie de la foi (développée) ds les vers suivant notre extrait ; par le fait que ce pape ait béni un aviateur· surtout introduction d’un nom

Romilly, Jacqueline de. Pourquoi la Crece ? Paris : Editions de Pallors, 1992, pp. 25-26, 2) LES ANAPHORES ET LES CATAPHORES (wtr Appendicep. 87) Un autre facteur important de cohesion textuelle est 1'utilisation de diaphores grammaticales (les adjectifs/les pronoms demonstratifs/ possessifs, les pronoms relatifs) qui renvoient en amont (anaphores) ou en aval (cataphores) a certains segments du texte (phrases, mots ou paragraphes) : ceux-ci, leurs, ses, lui, etc. et de diaphores lexicales (reprenant

tableau, son titre, sa date, la technique utilisée. 2. Décrivez le décor, les personnages (vêtements, expression, milieu social…). 3. a. Quelles remarques faites-vous sur la compo- sition du tableau, le trait du dessin (précision des contours), les couleurs, le traitement de la robe ? b. Quelle image le peintre donne-t-il de ce couple ? 4. Imaginez un court passage narratif dont ce tableau serait l’illustration. LIRE L’IMAGE < Pierre Auguste Renoir (1841-1919), Danse à la ville (1883), Suzanne

édénique avec une chute beaucoup plus brutale. Effectivement, la mise en place du sonnet permet de séparer le poème en trois parties très distinctes. Les deux premiers quatrains peignent une scène idéaliste, un espace lyrique qui illustre un univers de couleurs, d’odeurs et également de sons. La deuxième partie (le premier tercet et le premier vers du dernier tercet) exhibe un certain bonheur éprouvé par l’auteur. Puis, la distique assigne un net changement d’atmosphère ; une transition entre le bonheur

pour trouver des idées directrices ou « axes » de commentaire. Scène de comédie (genre) du théâtre de l'absurde (mouvement) au sujet de la phonétique et de la langue (thème), comique, dramatique (registres), mouvementée, tendue, inquiétante, (adjectifs) pour peindre les deux personnages, pour faire rire mais aussi inquiéter, pour rendre compte de l'incommunicabilité entre les êtres (buts). Pistes de recherche Première piste : le Professeur, une caricature Cherchez ce qui fait rire chez le Professeur

chiennes (elles sont embellies par la neige, parées par elle). NOUS explicité dans un 2ème temps par l’énumération : “moi, la petite bull et la bergère flamande” (mise à égalité. Chaque “personne” est nommée. N’a pas écrit : “moi et mes 2 chiennes” + adjectif “petite” qui peut être affectueux ?). Points de suspension laissent place à la rêverie, au souvenir. - l.3-7 : description poétique du trio, comme si la neige les parait, les embellissait. Il y avait déjà “poudrées” + “nos robes”, “épaulettes blanches”

merveilleux : Incipit expéditif (conformément) oralité du conte avec « je crois » Personnages sans complexité psychologique : portraits se réduisent à un trait physique ou mental noms Candide (le naïf) et Pangloss (« tout en langue ») définissent des personnages transparents Cunégonde définie à travers gradation de 3 adjectifs renvoyant à sa sensualité Univers social où out va bien (chacun est occupé) hyperboles et superlatifs définissent une sorte de paradis terrestre (univers clos et heureux)

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