Norbert Elias La Loi Du Monopole

son sein de l’Etat moderne. L’Etat est la forme la plus importante du pouvoir ou de la domination politique. Sa caractéristique est qu’il contrôle les moyens de coercition (la force) avec l’armée et la police. Il a aussi le monopole de la fiscalité. En suivant Max Weber et Elias, on peut définir l’Etat comme une organisation politique qui gouverne sur un territoire donné et qui est capable de mobiliser des moyens coercitifs afin de s’imposer. Selon cette définition l’Etat est donc un ensemble d’organes

catégories sociales d’un niveau bas à un niveau envié par bcp => ascension sociale grâce au Statut de 1947. Ainsi la CGT rallie les suffrages « parce qu’elle a conduit la lutte dans des temps difficiles , et qu’elle est une garantie de fidélité à la loi de 47, à laquelle, du fait de leur situation précaire antérieure, les dockers portent un attachement viscéral ». La même analyse pourrait être faite pour expliquer les luttes des ouvriers de l’automobile et ceux de la construction navale De même, l’attachement

son sein de l’Etat moderne. L’Etat est la forme la plus importante du pouvoir ou de la domination politique. Sa caractéristique est qu’il contrôle les moyens de coercition (la force) avec l’armée et la police. Il a aussi le monopole de la fiscalité. En suivant Max Weber et Elias, on peut définir l’Etat comme une organisation politique qui gouverne sur un territoire donné et qui est capable de mobiliser des moyens coercitifs afin de s’imposer. Selon cette définition l’Etat est donc un ensemble d’organes

acquis en théorie sur les mérites de chacun. Cela provoque l’apparition de nouveaux rapports entre les catégories sociales naissantes (2 nouvelles classes : la classe ouvrière et la bourgeoisie). b - La loi Chapelier et la disparition des groupes intermédiaires et intégrateurs En juin 1791 cette loi interdit toutes formes de coalitions, ce qui permet d’abolir les corporations, ainsi que toutes formes d’associations, ce qui empêche les ouvriers de se former en syndicats. C’est un contrat léonin :

du coup, cela signifie qu’il a qqch de mystérieux. Mais, en évitant le religieux on régresse vers qqch de magique. Ce faisant, avec une prétendue rationalité de surface, on reconstruit une sorte de superstition, de fétichisme magique ( la dernière loi de bioéthique est superstitieuse avec une rationalité de surface : il est interdit te toucher au sacré, on ne touche pas au génome. L’homme est inaliénable, le génome ne doit pas bouger, ce serait un patrimoine génétique qui renferme notre dignité.

politique | Le premier constant que l’on peut faire est de dire que les faits qualifiés de politique sont multiformes. Exemple : En France le 21 janvier, on a des messes pour célébrer la mort de Louis XVI. Les manifestations Turques contre la loi votée au Sénat possède une dimension politique. * Qu’est-ce qui permet de définir la politique ? Max Weber conclue déjà sur le caractère extrêmement plastique du phénomène politique. Pour lui, il n’y a aucune tâche qui appartienne exclusivement

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droit de faire quand on exerce le pouvoir ? Peut-on contraindre les gens ? ) Faire la politique c'est exercer le pouvoir, prendre des décisions. Max Weber (travaux sur l'État et sa définition sociologique) : l'État c'est l'institution qui a le monopole de la violence physique légitime (seul l'Etat a le droit d'utiliser la violence pour pratiquer son pouvoir). Exemple : un voisin qui met la musique trop fort, on a pas le droit de le taper pour ça, mais on peut appeler la police. Exercer le pouvoir

que génèrent les illusions, les faux discours démocratiques. Ainsi la démocratie participe parfois à l’assassinat de la vérité, lorsque l’erreur à le pouvoir. « la justice veut que l’homme mette de l’ordre en lui » La politique : donner force de loi à la vérité et instituer l’Etat, c’est la vérité, la raison, le savoir qui doivent gouverner. Idéal de justice : « c’est à l’élément raisonnable qu’il revient de diriger, lui qui est sage et qui possède la capacité de prévoir. ». la vérité doit commander

discipline. Née d’une rupture avec le droit public, qui détenait une place hégémonique au 20e siècle. La centralité du droit public dans le domaine des sciences sociales était à mettre en rapport avec la centralité de l’Etat. Le pouvoir politique, la loi, l’action politique, les élections, étaient pensés d’un point de vue du droit public. Dans les 60’s 70’s une critique à penser ces phénomènes d’un point de vue juridique s’amorce. M.Duverger est un des fondateurs de la discipline, par son travail sur