Nos Desirs Sont Ils Personnels

l'homme. Il s'agit de former l’ homme qui voudra posséder de plus en plus, mais qui ne va pas aspirer d'être quelqu'un de plus aimable, mature et ouvert. Typique pour la civilisation postmoderne est donc la réduction drastique et la distorsion des désirs humains, des idéaux et des aspirations d'un individu pour qu’il devienne un consommateur non- critique de produits créés par l'économie moderne, même des produits physiquement, mentalement ou moralement toxiques (l’alcool, la drogue,la nicotine

l’accomplissement de ses désirs et de ses besoins. Sa recherche par les hommes de toutes les époques et de toutes les cultures le hisse, semble-t-il, au rang d’aspiration universelle. Mais cette poursuite incessante prouve qu’on ne la pas encore trouvé. Si beaucoup voient leur quête ne jamais aboutir, la recherche du bonheur ne peut-elle pas déboucher sur une sorte d’esclavage ? A première vue, ce terme semble être l’exact opposé du contentement, l’esclave devant satisfaire les désirs de son maître au détriment

se développe le taylorisme : les ouvriers reproduisent la même tâche à longueur de journée sans aucune reconnaissance simplement pour pouvoir consommer. Dans ce cas le travail sert simplement à assouvir ses besoins et dans le meilleur des cas ses désirs. Intrinsèquement il ne présente aucune valeur. « On perd sa vie à la gagner » c’est-à-dire que le travail serait une perte de temps, du temps qui n’est pas libéré. En effet l’Homme est mortel et on peut considérer qu’il a mieux à faire. Le travail

devoir ? Le devoir est une obligation morale, ainsi que juridique que le philosophe Kant en fera un absolu car « Le devoir est la nécessité d'accomplir l'action par pur respect de la loi » . L'action par devoir suppose alors d'aller contre ses désirs, envies et sentiments et c'est cela qui la rend difficile évoquant l'idée de contrainte et d'obligation. Le devoir devient alors une entrave face à la recherche du bonheur qui est depuis longtemps considéré comme la fin suprême de l'existence. L'inverse

Alors que la jeunesse est la découverte du monde et met en commun ses désirs, l’homme adulte vit la réalité avec déconvenue. “ L’adolescence serait toujours cela: le partage de quelques illusions. L’âge adulte, la solitude des déceptions.” Ici l’auteur Didier le Pêcheur aimerait nous faire comprendre qu’à l’adolescence nous sommes à la recherche de l’idéal et espérons que plus tard il se réalisera. Entre jeunes, nous vivons les mêmes songes car nous sommes tous, à cet âge-la, à poursuite

connaître non seulement que j'existe, mais encore qui je suis, on est conscient de nos désirs et nos représentations, la conscience est productrice d'illusions et notamment de l'illusion de la liberté, la conscience nous permet de réfléchir sur nous-mêmes → "JE" est une seule et même personne, car quand on dit "soi-même" ce n'est pas un autre → On a des expériences personnelles → Étant ce que je suis, me connaître est la chose la plus aisée, car

distinction entre le temps de travail et de loisir est surtout faite pour distinguer en quelques sortes devoir humain et satisfaction personnelle. Pour prendre exemple et donner point de vue, Nietzche dénonce dans son ouvrage Aurore ce que la culture fait du travail : une entrave au développement propre de l’être d’un individu par une entrave à la raison, aux désirs, au goût de l’indépendance ; les potentialités de l’Homme sont détournées « de la réflexion, de la méditation » au profit de la production

« Moi » de l’identité personnelle. En effet, la capacité de penser, est une caractéristique commune à tous les êtres doués d’une conscience. Autrui est mon alter-ego dans la mesure où il s’agit d’un être doué de conscience, qui possède des émotions, des sensations, tout comme moi : notre « je » de la subjectivité possède donc les mêmes caractéristiques. C’est l’identité personne, qui fait de chaque homme, un sujet, un être à part entière. Le « Moi » de chacun est donc personnel, comprend des caractéristiques

entreprend un voyage, où tout est beauté, calme et harmonie. Cette vision relève de l’utopie et de la matérialisation d’un monde ou d’une société idéal. La seule catégorie de rêve qui semble pas indispensable, ce sont les rêves qui portent sur des désirs chimériques des rêves utopiques, dont on sait par avance qu'ils n'ont aucune chance d'aboutir. Comme par exemple, le Désir de pouvoir redonner vie aux morts et voyager entre le monde des vivants et des morts ce genre de rêve peux conduire l'homme

d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire. Enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants, qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent se résoudre à borner leurs souhaits. Il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs: je me sens un cœur à aimer toute la terre; et comme Alexandre