Notions De Bientraitance

Validation par le groupe de travail Avis sur la lisibilité du document (Variante cotation) Comité d’orientation stratégique Conseil scientifique 12 Les résultats Mission 1: Les recommandations • Programme 1 : Les fondamentaux – Bientraitance (2008) – La démarche éthique dans les établissements et services ( 2009) • Programme 2 : L’expression et la participation – Participation des usagers dans le secteur de l’inclusion (2008) – Expression et participation des usagers dans les établissements

Université de Poitiers Ma communication porte sur la notion de vulnérabilité. Je vais définir ce terme en montrant que, par rapport à la situation de handicap d’un enfant ou d’un adulte présentant un dysfonctionnement cérébral ayant de graves perturbations multiples et évolutives sur le plan de l’efficience motrice, de la perception, des facultés cognitives et de la construction des relations avec l’environnement1, cette notion peut être utile et même positive, loin de l’image de faiblesse

intrafamiliale envers les enfants, champ de recherche plutôt investigué par les médecins et les psychologues, plus rarement par les chercheurs en sciences sociales. Après avoir procédé, dans un premier temps, à une exploration sémantique des notions de violence et de violence envers les enfants, on évoquera les différents modèles explicatifs de la violence envers les enfants tout en privilégiant l’explication sociologique. Ce modèle, on le sait, s’est particulièrement intéressé aux facteurs

« Les enfants et adolescents accueillis présentent un retard intellectuel léger ou moyen. La définition de ce retard est aujourd'hui référée à la classification internationale des handicaps qui ne définit pas le handicap mais les notions de déficience, incapacité et désavantage. » Ces troubles sont évoqués dans le décret 93-1216 du 4 novembre 1993 Annexe, Guide barème des déficiences et incapacités des personnes handicapées. La déficience intellectuelle n'est pas une simple lésion

pratiques professionnelles délivrées par l’ANESM. Les acteurs du changement : Acteurs ce que peut changer le projet pour lui ce qu’il peut gagner ce qu’il peut perdre Direction - Son mode de management - Développer la culture de bientraitance de l’EHPAD - travail à mener sur les pratiques professionnels - meilleure communication des équipes - langage commun de tous les acteurs - favoriser une réflexion collective - favoriser la mobilisation des équipes - amélioration de la qualité

responsables qualité et gestion des risques du territoire ; formation des personnels aux outils qualité ; formation d’auditeurs. - le réseau QUALI SANTE 44 : animation d’ateliers de sensibilisation et de formation ; des groupes de travail thématiques (Bientraitance, Evaluation interne et externe, Développement durable; Sécurisation du circuit du médicament…) ; création d’outils spécifiques. - du réseau COLINES (Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales de l’Estuaire de la Loire) : participation à

vie en collectivité en s’ouvrant sur l’extérieur. Cette recommandation complète ainsi celles concernant l’« Ouverture des établissements à et sur leur environnement », « Les attentes de la personne et le projet personnalisé » et bien sûr, « La bientraitance : définition et repères pour la mise en œuvre ». Elle concerne aussi bien les professionnels que l’encadrement, les usagers et leurs proches, quel que soit le secteur d’activité. Pratique et adaptée aux acteurs de terrain, cette recommandation

dernières années. Les lois du 2 janvier 2002 et du 5 mars 2007 impactent la structure et les pratiques professionnelles sont confrontées à de nouvelles exigences. a. L’impact de la loi 2002-2 La loi 2002-2 s’affiche délibérément comme une loi de bientraitance 10 . Elle a recentré l’usager au cœur du dispositif. Pour cela, elle garantit l’effectivité des droits et des devoirs des personnes accueillies par la mise en place de différents instruments (livret d’accueil, charte des droits et liberté de la

dernières années. Les lois du 2 janvier 2002 et du 5 mars 2007 impactent la structure et les pratiques professionnelles sont confrontées à de nouvelles exigences. a. L’impact de la loi 2002-2 La loi 2002-2 s’affiche délibérément comme une loi de bientraitance 10 . Elle a recentré l’usager au cœur du dispositif. Pour cela, elle garantit l’effectivité des droits et des devoirs des personnes accueillies par la mise en place de différents instruments (livret d’accueil, charte des droits et liberté de

ppprrrooofffeeessssssiiiooonnnnnneeelllllleeesss SOMMAIRE I. Introduction p. 1 à 2 II. Description des situations p. 3 à 5 III. Questionnement p. 6 à 7 IV. Cadre de référence p. 8 à 35 1. Les urgences p. 8 à 13 2. Quelques notions préliminaires p. 13 à 17 3. La relation soignant-soigné p. 17 à 24 4. La communication p. 25 à 30 5. L’anxiété p. 31 à 34 6. Conclusion du cadre de référence p. 35 V. Enquête exploratoire p. 36 à 48 1. Mode exploratoire