Notre-Dame-de-la-Salette

donne de l’argent à une dame pour une association. Rentrée chez elle, elle se questionne.. A cause d’une situation imprévue (oubli des shampoings) dans la précipitation, elle a baissé la garde. En faisant le choix rapide du pack de 3 et du packaging « bio » elle pense qu’elle a fait le bon choix (économique et bio en plus !). En sortant du magasin, sûre qu’elle a fait un bon deal et les courses enfin terminée, elle n’est plus sur ses gardes et donne une petite pièce à la dame de « l’association » sans

Atténuation Pour tourner en Chine et ne pas heurter les autorités, Dai Sijie a dû modifier son texte et en atténuer la portée : • Par rapport au roman, le monde paysan semble moins attardé. Le brasero a remplacé « le foyer creusé à même le sol » ; la saleté des lieux est moins marquée que dans le livre. • Le chef et les villageois ne sont plus animalisés. • Dans le roman, le père a mis un dentier au président Mao (un sacrilège ! Mao n’était-il pas parfait !) ; dans le film, il s’est « contenté » de soigner

guère ! la veille encore elle avait manqué son entrée. Mais tous se turent, une grande fille venait d’allonger la tête, puis, voyant qu’elle se trompait, avait filé au fond du couloir. C’était Satin, avec un chapeau et une voilette, prenant des airs de dame en visite. Une jolie roulure ! murmura Prullière, qui la rencontrait depuis un an au café des Variétés. Et Simonne conta comment Nana, ayant reconnu Satin, une ancienne amie de pension, s’était toquée d’elle et tannait Bordenave pour qu’il la fît débuter

mercerie de Thérèse Raquin et aux articles qui la composent (« laine », « boutons », « résilles »…, p. 20). Le chapitre 3, consacré notamment à la promenade de Camille dans Paris, est l’occasion d’énumérer des lieux importants de la capitale : « Notre-Dame », « le Port aux Vins » (p. 35), l’« Institut au Jardin des Plantes » (p. 34). Ce lieu est symbolique car il est celui des grands naturalistes, comme « Buffon » (p. 35), et place donc d’emblée le roman dans la perspective d’une analyse scientifique

être embarquée pour l’Amérique. Le narrateur, attiré par la curiosité, descend de son cheval et demeure troublé par une de ces femmes. Elle avait un air et une figure si peu conformes à sa condition, rien ne l’enlaidissait, ni la tristesse, ni la saleté de ses habits, elle paraissait noble, inspirait le respect et la pitié. En tentait de dérober son visage aux spectateurs. Le narrateur tente de savoir quel est le sort de cette jeune femme, il découvre qu’un homme l’a suivie depuis Paris, ne cessant

intelligence moyenne, sans passions extrêmes, et qui songe maintenant à entrer dans la diplomatie, pour  faire une fin . La forte tête des La Roche-Mablon est une tante, la baronne de Bussière, une vieille dame remuante, lancée dans  le monde académique  et le monde politique. Dès que son neveu Maxime lui confie ses projets, elle s'écrie que, d'abord, il doit se marier, le mariage étant la base de toutes les carrières sérieuses. Maxime

votre femme? s’inquiéta Aenor. _Nous avons eu deux enfant depuis la fin de la guerre. Votre venue ici la réjouira sûrement. _Je passerais la voire. Mais pour l'instant je cherche le roi. _Il vient d'entrer dans la salle des bains, déclara Elmir. Mais Dame Amélia est à la bibliothèque. Je vais vous y accompagner. Aenor accepta et suivit Elmir jusqu'à la bibliothèque. Elle avait oublié le nombre de livres qu'elle pouvait contenir. Amélia était assise au fond de la pièce. Elle portait une robe écume, dont

de la scène vocabulaire outrancier «  ce pelé » « ce galeux » renforce par la dimension ostentatoire de l’adj. Démonstratif hyperbole « d’où venait tout leur mal » On ne juge pas les faits mais le rang social, comme le confirme l’allusion à la saleté. Antithèse « sa peccadille fut jugée un cas pendable » qui met en avant la démesure du châtiment. C’est la parole du pouvoir qui a le pouvoir de la parole. C/ Ironie du fabuliste Modalité exclamative «  manger l’herbe d’autrui, quel crime

on dmolissait gratuitement quelque chose de beau, quand on rabaissait quelquun pour le plaisir de se vautrer dans la fange et de provoquer la rise, ressentait un malaise tenace que son cerveau avait baptis dgot. Elle stait habitue vivre avec cette salet, se disant que ctait le lot commun, lalimentant mme, pour se donner lillusion de nen tre pas toujours la victime. Elle pensait quil valait mieux provoquer lcurement que le subir. Rarissimement, le dgot svanouissait. Quand elle entendait une musique

fût rajeunie à chaque avril, dans la vieillesse de la terre. Et, au souvenir de honte que lui causait sa liaison avec Saccard, elle songeait à l'effroyable ordure dont on a également sali l'amour. Pourquoi donc faire porter à l'argent la peine des saletés et des crimes dont il est la cause ? L'amour est-il moins souillé, lui qui crée la vie ? Au Bonheur des Dames, Zola (1883) Incipit Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères