Notre Identité Dépend Elle Du Jugement Des Autres

LEXIQUE DÉCEMBRE 2010 Table des matières A 1 B- C 5 D 9 E 13 F 17 I 20 J – K – L – M 23 M 23 N 25 O 26 P 26 Q – R 30 S 32 T 33 U 35 V – W – X – Y – Z 35 A Absolu : Qui existe et qui est vrai sans condition ; qui ne dépend que de soi-même, c'est-à-dire qui a en soi sa raison d'être (ex. Dieu). Absurde : Ce qui n'a pas de sens. Chez les existentialistes, l'homme et le monde sont absurdes, car il est impossible de les justifier rationnellement. (cf. Camus, Le Mythe de

hypothético-déductif (Discours de la méthode (1637): 1) Règle de l’évidence : (précipitation et prévention= causes de l’erreur) « ne jamais recevoir aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle » ; suspendre son jugement (épochè)( considérer une chose comme fausse pour ne pas se tromper (( douter) 2) Règle d’analyse : division des difficultés examinées ( décomposer les thèses complexes et juger de leur évidence pour mieux les résoudre 3) Règle d’ordre : ordonner

1ère Partie Acquisition de l’autorité de la chose jugée par le jugement pénal. Chapitre I: les conditions d’acquisition d’autorité par les décisions pénales Section I les conditions de principe. Section II les conditions liées au jugement pénal sur le fond Chapitre II les conséquences de l’acquisition par le jugement pénal de l’autorité de la chose jugée Section I l’influence de la chose jugée au pénal sur les divers jugements Section II : l’influence de la chose jugée au pénal a l’égard des

social ». Plus les sociétés se développent plus elles sont complexes avec des formes de solidarités différentes. Plus les individus sont autonomes plus ils dépendant de la solidarité avec les autres. Comment expliquer que plus les individus sont autonomes plus ils dépendent de la solidarité avec les autres ? Il va rejeter 2 idées : Le lien social ne provient pas essentiellement du politique au sens où il dépendrait volontairement des agents du gouvernement. Tout fondement utilitariste

de nous liberer des opinions toutes faites afin de nous rapprocher de la source de la vérité. Quand on a un texte philosophique on doit se demander qu'est ce qui est en jeux, qu'est-ce qui s'y joue. La mise de ce mythe est l'éducation de soi et des autres. Il y a un devoir de solidarité envers ceux avec qui on partagé nos conditions socio-culturelles pour participer au processus d'éducation. Leurs problème n'est pas de ne pas voir, tout en chacun peut voir. On parle de l'usage de ses capacité qu'on

conditions d’acquisition de la personnalité ont été remplies. La question de savoir si un enfant a été mis au monde viable ne se pose qu’en cas de décès du nouveau né. Elle a alors une importance pratique considérable. De la réponse à cette question dépend non seulement la reconnaissance de la personnalité pleine et entière pendant la période où le sujet a vécu d’une existence autonome mais aussi l’attribution rétroactive d’une certaine personnalité à l’enfant au cours de sa vie intra-utérine. Dans

conformes à certaines mesures. Les individus respecte et collecte l’ensemble des valeurs collectivement admises, c’est ce qui permet à chacun de s’adapter à la vie en société 2) La socialisation contribue à la construction par les ind de leur identité personnelle Il s’agit aussi donc de se demander : Quel sont les processus sociaux à travers lesquels ns devenons ce que nous sommes. La notion d’identité afit partie du langage de la philo, socio, psycho.  Le processus par lequel l’ind donne

En se demandant si le conflit est inévitable dans les rapports avec les autres, il est question de la nature des relations que nous pouvons avoir avec eux. Mais, plus largement, c'est l'éthique de notre civilisation qui est en jeu. Il y va en effet des principes, tant moraux que politiques, susceptibles de réguler, à défaut de l'endiguer, le fond de violence sur lequel s'édifie la civilisation. Les rapports avec les autres sont-ils nécessairement de l'ordre du conflit ? Toute violence peut elle

Notre réflexion s'achève ainsi non sur une certitude, mais sur une difficulté. Il n'est pas aisé en effet d'éviter un double écueil, dans notre rapport aux autres civilisations : celui de l'ethnocentrisme, qui en vient rapidement à penser la civilisation au singulier, et celui du relativisme, qui, lui, réussit à prendre en compte les différences culturelles, mais s'avère incapable de les référer à une norme universelle. Or, le sens de la relativité des cultures et de leur égale valeur ne doit pas

on ne se laisse pas influencer par un vécu, des interprétations abusives et mécaniques.  On prend du recul, on recherche une démarche logique et rationnelle : Le sujet contrôle la pensée.    Du choix entre ces deux modes de réponses de la pensée dépend l'équilibre du sujet.  La démarche cognitive propose de s’interroger sur ces pensées automatiques et leur mise en place, pour, dans un second temps les remplacer par des observations plus rationnelles et conformes à la réalité. Le sujet reprend le