Nous ne sommes pas des anges

même opposition entre la religion accommodante des Jésuite et la rigueur janséniste… alors que Racine était proche des Jansénistes. Rejet également du Stoïcisme, généralement considéré comme trop ambitieux, inatteignable. Cf. Pascal : « nous ne sommes ni anges, ni bêtes… » -          Peint les hommes… Antithèse qui a fait fureur ! L’héroïsme est passé de mode, cela fait partie de la « crise de la conscience européenne ». Cf. Bénichou : le héros a été mis à mort par La Rochefoucauld. -          Plus

son Amour. C’est louer sa Majesté, l’ampleur de ses Dons, c’est professer que nous sommes de LUI, en LUI, par LUI et pour LUI. L’adoration est la plus haute prière, la prière parfaite, celle des anges et des élus, celle de ceux qui voient DIEU. * La contemplation est le but de la lectio divina. La Parole doit s’enraciner en nous et porter du fruit selon la qualité de terre que nous sommes. e – La fin de la prière ♦ Remercie DIEU pour les grâces reçues ;

IndexIndex Préface :2 Mon anthologie :4 Mors4 Le Maître d'études5 Demain dès l'aube 8 Elle avait pris ce pli son âge enfantin9 Elle était pâle et pourtant rose10 Veni, vidi, vixi11 Melancholia12 Épitaphe18 A qui donc sommes-nous?19 On vit, on parle20 Préface :Les « Contemplations » de Victor Hugo, est un recueil de poésie, publié en 1856. Ce recueil regroupe 158 poèmes, eux mêmes rassemblés en 6 livres. Chacun de ses livres à un thème qui lui est propre : I. Aurore : Ce livre évoque

celui-ci a produit des créatures diverses, afin que ce qui manque de perfection à l'une soit suppléé par une autre » (Ia,47,1). C'est donc l'univers, dans son ensemble, qui est l'objet premier de la création divine : le détail particulier que nous sommes et qui reflète un partie de la beauté divine n'a de sens que dans le tableau général de l'univers. Reproduire la beauté de Dieu devient la vocation de l'univers auquel il nous est donné de participer (2 : reditus). Il ne s'agit pas seulement d'exister

lequel il se serait livré à plusieurs expériences. Epigraphe utilisé pour suggérer l’esprit de l’œuvre. Citation d’Aristote qui signifie « Après avoir crée il détruisit complètement ». Ce qui montre qu’il est précurseur. Dès les premières pages nous sommes dans une rupture. Epigraphe utilisé pour nous montrer que son œuvre est complexe. On remarque que la citation est d’ordre savante. Les outils que Louis Malle a ne sont pas les mêmes que ceux de Raymond Queneau. Dans l’œuvre on a une entrée immédiares

demeure. Mars 1842. V. Quia pulvis es Ceux-ci partent, ceux-là demeurent. Sous le sombre aquilon, dont les mille voix pleurent, Poussière et genre humain, tout s’envole à la fois. Hélas ! le même vent souffle, en l’ombre où nous sommes, Sur toutes les têtes des hommes, Sur toutes les feuilles des bois. Ceux qui restent à ceux qui passent Disent : – Infortunés ! déjà vos fronts s’effacent. Quoi ! vous n’entendrez plus la parole et le bruit ! Quoi ! vous ne verrez plus

richesse symbolique de l’oeuvre. L’opéra sera joué la première fois avec Schikaneder dans le rôle de Papageno et Mozart à la baguette le 30 septembre 1791, à peine plus d’un mois avant sa disparition. Dès l’ouverture que nous avons écouté, nous sommes dans le symbolisme. Quelques exemples rapides : les premiers accords qui sont au nombre de trois. On frappe à la porte du temple. La tonalité de mi bémol Majeur ensuite, réputée tonalité maçonnique à cause des 3 bémols à la clefs, disposés comme une

VERTUE SAINTE II- 15 FEVRIER 1843 III- TROIS ANS APRES IV- OH JE FUS COMME FOU DANS LE PREMIER MOMENT V- ELLE AVAIT PRIS CE PLI DANS SON AGE ENFANTIN VI- QUAND NOUS HABITIONS TOUS ENSEMBLE VII- ELLE ETAIT PALE ET POURTANT ROSE VIII- A QUI DONC SOMMES NOUS ? IX- Ô SOUVENIRS PRNTEMPS AURORE X- PENDANT QUE LE MARIN XI- ON VIT ON PARLE ON A LE CIEL ET LES NUAGES XII- A QUOI SONGEAIENT LES DEUX CAVALIERS DANS LA FORET XIII- VENI VIDI VIXI XIV- DEMAIN DES L’AUBE XV- A VILLEQUIER XVI- MORS XVII-

donnerais l’empire, Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux, Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre, Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire, Pour un regard de vous ! Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes, Les anges, les démons courbés devant ma loi, Et le profond chaos aux entrailles fécondes, L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes, Pour un baiser de toi ! J’ai tout simplement choisit ce poème, car il montre à quelle point les hommes sont ridicules

forme produite par la Nature et produisant naturellement ces effets, que la forme peinte puisse abuser le spectateur, totalement ou en partie, en faisant croire qu'elle est ce qu'elle n'est pas»*. En fait, notre vision étant stéréoscopique, nous ne sommes pas longtemps abusés par une telle image au point de la supposer complètement réelle» Léonard de Vinci le fait remarquer : «II est impossible qu'une peinture, même si elle est exécutée avec la plus grande perfection dans le dessin, les ombres, la