Nous sommes la nuit

Le voyage d'Oregon. C'est au Star Circus que nous nous sommes connus, Oregon et moi. Il passait juste avant mon numéro. Blotti derrière le rideau, je perdais mon trac et retrouvais l'enfance. Mes pitreries terminées, je le raccompagnais jusqu'à sa cage. ************** Un soir, Oregon m'a parlé. Comme dans les livres pour enfants... "Conduis-moi jusqu'à la grande forêt, Duke." Sur le coup, je n'ai rien pu répondre. Mais, seul au fond de ma roulotte, j'ai su que sa place était parmi les siens

invisibles et s'en vont offrir aux vivants les années qui leur restaient à vivre. Ainsi, que d'ans jonchent le désert : un siècle et plus. Des vies à prendre comme des chacals empaillés des vies qui tremblent pour dire : « La mort n'est pas fatale comme la nuit est l'ombre du soleil. » Ce corps qui fut un rêve est une maison dévastée. Il n'y a ni porte ni fenêtre juste un matelas lacéré, une casserole, un pain rassis, un manteau accroché, des murs éventrés, de la poussière grise et un calendrier de l'année

Introduction Lors de la Seconde Guerre mondiale, qui se déroule du 1er septembre 1939 au 2 septembre 1945, le territoire français s’oppose à l’empire du Reich allemand. Royan est alors victime de deux bombardements. Le premier se produit dans la nuit du 4 au 5 janvier 1945 et le deuxième pendant la journée du 15 avril la même année, à la veille de la libération de la poche de Royan. Le 17 août 1944 Adolf Hitler, le chancelier allemand qui a prit le pouvoir en 1933 par un coup d’Etat, ordonne à

réguliers ils pourraient comme faire partie de notre vie de tous les jours sans les différencier de notre conscient.Comment savoir si nous sommes éveillés ou tout simplement en train de rêver ? Premièrement nous nous intéresserons aux conséquences du fait d’avoir le même rêve chaque nuit (l.1 à 6). Ensuite nous verrons l’idée d’un rêve désagréable toutes les nuit (l.6 à 13) et finalement (l.13 à 20) nous étudierons la « conclusion » de ces deux idées développées en amont dans ce texte. Pour commencer

3ème5 Français rédaction du Brevet Mais un sentiment étrange nous envahit, Don Salvatore. Nous avions la conviction que nous étions ici à notre place. Après avoir fini les dernières vérifications à Ellis Island, nous sommes partis dans l'inconnu, ne sachant ni où aller, ni que faire. Je me souviens ce que ma mère disait : « l’Amérique est notre nouveau pays , nous ne retournerons plus plus en Italie et nous devrons nous habituer à New York ». En cette année de 1929 , ma sœur et moi étions

Bernard-Marie Koltès, Dans la solitude des champs de coton. Spontanément : Quai-Ouest : zone urbaine désertique : le milieu, la violence, l’esthétique du vide. Personne mais plein de gens sont là. Le soir, la nuit, les hangars. La nuit tous les chats sont gris. Or, avec cette similitude d’atmosphère entre les deux pièces et leur proximité temporelle, on est en droit de se demander dans quelle mesure La solitude… n’est pas une sorte de suite, ou d’intermède, ou d’intervalle quelconque EN LIEN avec

Exposé "Entrer dans une boite de nuit à Paris" Comment ont évolué les critères d'entrée dans les établissements de nuit parisiens durant ces 150 dernières années ? Intro : Depuis la fin du XIXe, Paris la ville lumière a la réputation de ne jamais s'éteindre. Très animée la nuit, elle réuni de nombreux établissements nocturnes (cabarets, discothèques, cafés, théâtres, expositions, opéras, maisons closes, etc.). Parmi les plus connus, on peut citer le Palace, ayant été l'établissement emblématique

paysages majestueux. Tous les soirs, un petit spectacle était organisé pendant le repas après lequel nous allions prendre un bain de minuit dans la piscine pour enfin aller nous coucher dans nos chambres respectives. Le lendemain, après une bonne nuit de repos, nous avons loué un buggy afin de partir en « excursion », découvrir des petits villages perdus dans le désert. C’est à cet instant que tout a basculé. Dans les villages, les femmes nous accueillaient en dansant, et nous faisaient danser avec

Oui je suis un objet de torture, j’ai été marqué au fer rouge, j’ai été enchainé, enfermé et mon maitre prend du plaisir à le faire mais au final j’ai finis par sortir « Non jamais, il est temps de nous coucher, bonne nuit.» « Oui vous avez raison, a demain » me dit elle. Je ne pouvais pas dire à une femme ses choses aussi atroces. J’ai mentis, mais je sais que c’est pour elle, et si je lui avais tout dit ? Que m’aurait-elle répondu en retour ? Peut

Gérard de NervalNé le 22 mai 1808Mouvement : RomantismeEl DesdichadoJe suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :Ma seule Étoile est morte, - et mon luth constelléPorte le Soleil noir de la Mélancolie.Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m'as consolé,Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,Et la treille où le Pampre à la Rose s'allie.Suis-je Amour ou Phoebus ?... Lusignan ou Biron ?Mon front est rouge encor du baiser