Nous Sommes Libres Même Si Nous Avons Une Nature

est mal, d’avoir en somme tellement l’habitude du mensonge, aux autres et à soi-même, qu’on ne reconnaît plus la vérité. Et si je ne sais pas ce que je fais, si je pèche par ignorance, alors je ne suis pas responsable, et je suis excusable. A l’inconscience de mes actes et à l’opacité de leurs motivations, répondrait donc le pardon, qui serait une façon de laver la faute. Mais cette non-transparence à soi du sujet, si non-transparence il y a – ce qui ne va déjà pas de soi – ne reviendrait-elle pas

Va-t-on s’en satisfaire ? Il le faut bien : on s’y résigne donc. Est-il satisfaisant que les choses soient comme elles sont ? La réponse semble aller de soi, c’est celle que l’on fait à l’enfant qui voudrait rêver sa vie : la terre est ronde, nous sommes des êtres vivants, tout cela va de soi. Ces évidences ne posent pas vraiment problème, elle ne réclament pas notre assentiment. Il n’est pas vraiment satisfaisant que deux et deux fassent quatre : c’est un fait avéré, indépendant de nos désirs et

L’homme est-il un être simple ? L’homme n’a cessé d’évoluer et de se modifier, tant anatomiquement que comportementalement. L’homme est particulier des autres espèces qui peuple la Terre par sa faculté à toujours aller aux delà des limites que la nature lui a cédé. Mais malgré des siècles d’évolution, l’homme, bien que se sentant supérieur aux autres espèces qui l’entoure, n’a-t-il pas instinctivement une priorité dans ces devoirs qui le pousse à accomplir primordialement des actes simples et nécessaires

plutôt nous établissons une classification des différentes formes d'actions, de laquelle résulterait que l'acte véritable est un acte libre, c'est-à-dire volontaire, délibéré, ou encore réfléchi. Pourtant, le rapport de l'action à la vérité est-il si évident ? n'est-il pas possible de considérer qu'à partir du moment où un quelconque rapport de cause à effet surgit, la cause agit en provoquant l'effet ? Peut-être serait-ce là une analyse trop formelle et non pas essentielle, oubliant que ce

d'être soi-même cette causa sui. Plus hardi que le baron de Crac, on tente de se saisir soi-même aux cheveux pour se tirer du marécage du néant et se hisser enfin dans l'existence. Et si quelqu'un venait à éventer la niaise rusticité de ce fameux concept du "libre-arbitre", au point de le rayer de son esprit, je le prierais de faire un pas de plus dans la voie des "lumières" et d'effacer aussi de son cerveau le contraire de ce pseudo-concept, je veux dire le "serf-arbitre" qui aboutit à un même abus des

Sujet: Sommes-nous maître de nos désirs ? Tout d’abord, un maître est une personne qui donne des ordres et un désir est le plus souvent un manque. Mais il est question de nos désirs, comment pourrait-on être maitre de nos désirs alors qu’ils arrivent spontanément et par conséquent ils expriment notre humanité ? Si le désir est l’essence de l’homme alors nous ne pouvons parler de liberté si nous ne pouvons pas échapper à ses désirs ? Donc sommes-nous maître de nos désirs ? Premièrement, nous

nous obligé mais aussi le choix nous contraint à être libre. Cette question veut aussi dire si un choix est toujours possible ? Un choix est toujours possible car nous décidons de notre vie. Mais il faudra subir les conséquences non prévues mais aussi, nos choix nous sont souvent imposés ou conditionné par des forces supérieures à nous. Ainsi nous pouvons nous demander si nos choix sont ils vraiment libres ? Dans un premier temps, nous parlerons

Dissertation de Philo : Sujet : Si nous voulons être libre, qu’est ce qui nous empêche de l’être ? ____________________________________________________________ _______________ ____________________________________________________________ _______________ Chaque individu possède au moins un désir, sinon une expérience de ce qu’il nomme liberté. Le concept est cependant difficile à définir : il concerne des domaines différents. Etre libre, c’est être dans l’incapacité d’être dominé

Il ne peut recevoir de clarification que si nous l’opposons à une forme de déterminisme qui se situerait au niveau de l’esprit lui-même. Or le postulat du déterminisme, s’il a un sens dans le domaine de la physique, est aussi contesté par la physique. En ce qui concerne l’esprit, la question est plus difficile. Il s’agit de savoir si je peux être totalement inconscient au point d’être poussé à agir dans un sens tout en croyant être libre. Si ce n’est qu’une croyance, il est clair qu’alors

des beautés qui ne sont pas libres mais régies par des caractéristiques spécifiques. Par exemple, une œuvre d’art est dite « belle » non pas si elle plaît et éveille les passions de l’observateur mais si elle correspond à des critères clairement définis tels que l’harmonie, la convenance ou la perfection par exemple. Ces critères varient selon les époques. La beauté relève du domaine artistique, c’est donc quelque chose de culturel, mais le sublime, la grandeur de la nature ne relèvent-ils pas de la