Nouveau Lyrisme

et de l’existence, puis les communiquer au reste de la société sous la forme d’images et de symboles. Et enfin le poète se doit d’être visionnaire et moderne afin de plaire et de surprendre, comme le disait Apollinaire en définissant l’esprit nouveau. L’écrivain doit se projettent dans le futur. Il doit être un poète-voyant, un passeur de tradition. Arthur Rimbaud déclara : « Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant ». Car la poésie est toujours composé à la fois d’une partie de tradition

les mouvements de l’âme. Ainsi, nous commençons par étudier le poème lyrique et l’amour sous toutes ses formes avant de nous intéresser à d’autres styles poétiques exprimant les sentiments, comme le Spleen par exemple. La poésie peut s’associer au lyrisme. On parle alors de poésie lyrique. Celle-ci est souvent définie comme le genre littéraire accueillant l’expression personnelle du poète, notamment, avec l’emploi de la première personne du singulier. Verlaine, poète lyrique, met en avant les émotions

pour convaincre dans un premier temps des bien fondés de sa thèse. La deuxième partie allant de la ligne 8 à 42 présente l’évidente nécessité d’un drame totalisant qui est le pur reflet d’une réalité toute trouvée, celle de la Nature. Hugo dans un lyrisme quasi-poétique et soutenu par une succession d’exemples littéraires concrets, allant de la Bible au à La Divine Comédie de Dante, affiche le besoin d’une totalité marquée par sa dualité, où, à la fin du mouvement, sont « mêlés […] grotesque et […]

particulière au lyrisme et à l'effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie. Il n'a écrit qu'un seul poème d'amour et c'est la Maison du Berger, un des plus beaux poèmes romantiques, long de 336 vers, le plus long du recueil des Destinées. Vigny est donc de par son écriture pleinement ancré dans le XIXème, siècle des Romantiques, où la poésie se plaît dans des poèmes plus longs que la génération précédente. Le poète présente un discours proche du stoïcisme, il y répond par un lyrisme du couple

une chronique au jour le jour où l’expérience autobiographique et l’expression lyrique sont transfigurées par le modèle épique. Comment Rimbaud dissout-il le sujet romantique en le plaçant entre deux postures énonciatives antagonistes ? Comment le lyrisme rimbaldien s’actualise-t-il dans un temps mythique, propre au récit épique ? Après avoir envisagé les fluctuations du sujet dans Une saison en enfer, nous verrons comment se rencontrent lyrique et épique. Enfin, nous tenterons de comprendre le sens

romantisme est presque exclusivement poétique, et même lyrique (lyrisme : manière poétique, passionnée de sentir, de vivre). Après 1830 et la représentation d'Hernani de Victor Hugo, il s'étend aux domaines dramatique et romanesque. Le théâtre romantique, héritier du drame bourgeois et du populaire mélodrame (mélodrame : sacrifie la vraisemblance à l'extraordinaire, la rationalité psychologique à l'intensité de l'effet), crée un nouveau genre : le drame. Le drame mêle sans distinction le sublime (noblesse

b) la ville sous un jour quotidien. c) La revendication d'une esthétique nouvelle. 2] La ville comme lieu du spirituel. a)La coexistence paradoxale : modernisme et religion. b) Un lyrisme de l'expérience. c) La ville, changeante mais peuplée de symboles. 1] a) Le goût d'Appolinaire pour le vivant qui l'entoure se manifeste ici par un sentiment de beau qui naît de la perception du caractère moderne de la ville. Elle

et j'aimerais connaître votre avis sur la pertinence de mes axes : I) La réalité, source d'expression poétique 1) Des choses simples, objets de rêve et d'émerveillement 2) La réalité, source du lyrisme II) Langage de retranscription fuyant cette réalité 1) Embellissement de la réalité 2) Nouveau monde fictif 3) Étendue de l'imagination sans fin

la tour abolie » qui apparaît comme une déchéance. Il fait un va et vient incessant entre la terre et le ciel, la vie et le mort. Le seul point positive dans lequel il va montrer qu'il peut renaître est l'image de la lyre d’Orphée qui pourrait à nouveau venir l'inspiré. Il va s'identifier à Orphée comme à une sorte de magie qui montre qui peut sortir de cette descente au enfer. Le va et vient entre le « T » et le « R » montre le désir de mourir et l'espoir qui revient. Dans le premier quatrain il

Nerval mais celui majestueux de l'alexandrin avec l'enjambement de la césure au v.5 qui parle de la jambe féminine. Cette femme est mobile dans sa douleur, elle est un promesse interdite, on devine qu'elle a perdu son mari donc elle sera libre à nouveau mais pour l'instant le tabou est insurmontable on ne peut l'aborder. 3) Un locuteur "extravagant" Dans la double temporalité du sonnet (temps de l'évènement + celui de la modernité urbaniste du baron Haussman) le topographie de Paris face