Nouveaux mouvements sociaux

Sociologie des mouvements sociaux Erik Neveu Introduction : Les mouvements sociaux suscitent souvent + la réaction que l’analyse car suspicion. Mais les acquis des sces sociales permettent de tenir sur les mvmts socx un discours + éclairant pcq attentif à la fois aux déterminants sociaux des mobilisations et au vécu de ceux qui participent à l’action. Questions alors soulevées : pourquoi certains groupes se mobilisent-ils davantage que d’autres ? Quelle est la rationalité des mobilisations ? Quel

Réalisé par : LAHBIBI Khaoula EDDAHIR Amina Le régime juridique des syndicats Université Hassan1 Faculté des sciences juridiques Économiques et sociales Settat Département : Gestion Année universitaire : 2012/2013 Introduction Partie 1 : généralité sur le syndicalisme Définition 1. rôles 2. domaines d’intervention partie2 : le régime

personnes au hasard et qu’on leur demande à quoi leur fait penser la notion d’action collective, sans doute ces personnes évoqueront-elles les manifestations, les mouvements sociaux ou bien encore des phénomènes de panique collective. Cependant qu’y a-t-il de commun entre des manifestations et des grèves et par exemple le mouvement de panique générale qui a eu lieu en Irak à l’automne 2005 et qui a occasionné la mort de plus de 800 personnes chez des pèlerins chiites qui traversaient par milliers

structure immersive de l’événement de la marche bleue Dans sa structure, l’action collective tend à créer une animation sociale en se greffant à la réalité d’un univers particulier. Dans le cas de La Marche Bleue, la structure s’est greffée à l’univers québécois autant dans son espace physique et virtuel que dans son espace politique et culturel afin de concevoir un mouvement social dans la réalité québécoise. Dans cette première partie, je décortiquerai cette structure en privilégiant le rôle du contexte

agrégation de sciences économiques et sociales préparations ENS 2004-2005 Les conflits sociaux NEVEU Erik (1996) : Sociologie des mouvements sociaux Fiche de lecture réalisée par Christelle Bigot (CNED) NEVEU Erik (1996), Sociologie des mouvements sociaux, Paris, La Découverte, coll. « Repères » Introduction Les mouvements sociaux (MS) suscitent plus souvent la réaction que l’analyse car suspicion, mais les acquis des sciences sociales permettent de tenir sur les MS un discours plus

2 ) Assiste-on a la fin de la classe ouvrière. Rappel : La socialisation est un processus de transmission de normes et de valeurs. Une classe sociale repose sur la classe en soi et la classe pour soi. Ouvrier : Classe en soi (au moment des 30 glorieuses) : Une main d'œuvre, composé pour la plupart d'hommes, dans le secteur de l'industrie, travailleurs de types fordistes avec des N stables et une progression régulière du pouvoir d'achat. Classe pour soi : Capital symbolique, sentiment

Chapitre 11 Que sont les groupes sociaux ? 1 Comment les individus peuvent-ils être associés pour former des groupes sociaux ? Un groupe social se définit par : • Des caractéristiques communes : sexe, âge, milieu social Des buts communs : promotion d’une activité, défense des droits d’une communauté • Une conscience d’appartenir à ce groupe • Des interactions plus ou moins directes : rassemblements, proximité de vie, lien virtuel sur Internet. Une catégorie sociale est un regroupement d’individus

ORIENTATIONS ET MOTS-CLES On rappelle l’évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses. On étudie la constitution d’une sociabilité et d’une culture ouvrières. On présente la formation d’une conscience de classe à travers les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d’intégration républicaine. – Groupe Opérationnel Lettres-Histoire-Géographie, Académie d’Orléans-Tours, 2010-2011. 1 M.COURONNET, E.SAJUS – Groupe Opérationnel Lettres-Histoire-Géographie

accusée de bien des choses, y compris de la « primauté du mouvement sur la théorie », ou « d'économisme », ou encore de surévaluer la « spontanéité » par rapport à la « conscience ». « Je crois que toutes ces caractérisations, plus encore que ce qu'elles nous disent sur nos conceptions et nos défauts, trahissent le schématisme de la pensée de nos critiques potentiels. QUEL MOUVEMENT? « La question principale, c'est: « quel mouvement? ». « Le point central, c'est que toutes les tendances du

la sociologie du salariat et de l’histoire des idées politiques dans le monde syndical, se propose de rendre claires et de synthétiser dans un court ouvrage de 122 pages. La réédition est heureuse avec des parties neuves sur les dernières luttes sociales. Se livrer à ce genre d’exercice de vulgarisation n’est pas toujours facile, car il faut tout traiter sans pour autant avoir la place d’approfondir. Heureusement, le point bibliographique permet d’aller plus loin pour qui le souhaite. Cet ouvrage