Noyau suprachiasmatique

Si on cherche la source de ce rythme on commence par chercher au niveau de la rétine. Ce sont les cellules ganglionnaires qui sont a l'origine de ce rythme , formant la voie retino-thalamique et se projettent sur le noyau appelé noyau suprachiasmatique. Au dessus de ce noyau, il y a l'épiphyse ou la glande pinéale qui secrète de la mélatonine des que la lumière faiblis avec un pic de sécrétion entre 2 et 4h du matin. L'épiphyse est moins active chez les personnes âgées (d'où les troubles de

périmétrique témoigne d’une extension soit au nerf optique ou à la bandelette, soit d’une extension du processus lésionnel, soit d’une compression latérale du chiasma. 240 OG 300 OD 15 Atteinte bitemporale inférieure : lésion médiane suprachiasmatique, d’après Harrington. OD : œil droit ; OG : œil gauche. 90 120 60 120 90 60 150 30 180 80 70 60 50 40 30 20 10 10 20 30 40 50 60 50 40 30 20 10 10 20 30 40 50 60 70 80 0 210 130 300 240 270 270 240 Différents

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neurones. (page 69) Jour 3. Le noyau géniculé latéral contient les neurones cibles du niveau secondaire, vers lesquels la bandelette optique mène une partie des axons des cellules ganglionnaires, au moyen de ces neurones l’information est transférée vers le cortex visuel primaire. Vers les neurones du colliculus supérior est dirigée une autre partie des axons des cellules ganglionnaires; cette fois ci, l'information qui vienne de la rétine est projettée dans un gros noyau situé dans le thalamus. Egalement

différents rythmes du sommeil. Elle nous permet de réguler nos cycles de rythmes naturels, de rythmes biologiques et donc y compris celui du sommeil. Cette horloge biologique est rendue possible grâce à l’activité de l’hypothalamus et du noyau suprachiasmatique. Ensuite, on peut observer le rôle du pont qui est de réguler le sommeil en phase REM, un sommeil très important et lors duquel nos yeux vont avoir un mouvement très rapide. Et c'est vraiment une phase qui est essentielle au sommeil, donc

dans le cytoplasme → activation de protéines dans la cellules grâce au second messager (AMPcyclique) → Réponse de la cellule. Les hormones liposolubles entraînent une traduction de nouvelles protéines. Fixation à son récepteur → migration dans le noyau → Fixation sur l'ADN → nouveau gène ou inhibition du gène. Récepteur spécifique : Chaque hormone a son récepteur auquel elle peut se fixer et le récepteur ne peut fixer que son hormone. Cellule cible : Cellule susceptible de répondre à une stimulation

va de la rétine au cortex visuel primaire via le relais du corps genouillé latéral. Elle comprend la plus grande partie (80%) des fibres du tractus optique acheminées de la rétine au corps genouillé latéral. *le corps grenouillé latéral (CGL) = noyau géniculé latéral : petite structure bilatérale de la partie dorsale du thalamus organisée en 6 couches de cellules de types différents dont chacune reçoit infos d’origine et de nature différentes (rétine nasale, rétine temporale, cellules ganglionnaires…)

SOMMEIL SOMMAIRE Santé Médecine Education Neurologie Physiologie Pathologies NEUROPHYSIOLOGIE LE NEURONE LA SYNAPSE LES CATÉCHOLAMINES La dopamine, la noradrénaline (NA) et l'adrénaline sont des catécholamines (noyau catéchol = noyau benzène avec 2 groupements hydroxyles substitués adjacents). La synapse chimique Les PPSE Rôle des dendrites Les PPSI La neuromodulation LA MEMBRANE Composition Rôle des protéines Régionalisation des canaux LE POTENTIEL DE REPOS Définition

sommeil -les rythmes biologiques : mélatonine Ils sont très fortement liés les uns aux autres et interdépendants ; on dit qu’ils sont « synchronisés ». Cette rythmicité circadienne dépend d’une horloge biologique à deux « pacemakers » : le noyau supra chiasmatique de l’hypothalamus dont les cellules battent à leur propre rythme, et la génétique humaine. L’horloge biologique est conçue initialement sur une durée de 25 heures. Pour être synchronisée sur 24 heures, elle est influencée

L’homme, comme de nombreux êtres vivants, possède sa propre montre qui lui donne le temps et qui gouverne ses rythmes. Cette montre ou « horloge interne » a été localisée il y a peu de temps (1965) dans une zone cérébrale appelée « noyau suprachiasmatique de l’hypothalamus ». Elle gouverne l’organisation des rythmes circadiens du sommeil et de la vigilance mais aussi de très nombreux rythmes physiologiques (dont celui de la température interne) et biologiques (l’hormone de croissance, le cortisol