Nul Ne Fait Le Mal Volontairement

Types : argumentatif, descriptif, monologue dialogique (qui s'adresse à une femme décédée), Registres : poétique, pathétique Idée générale: l’écrivain qui fait la biographie imaginaire de sa mère, reconstituée par une photographie et par les témoignages de personnes qui l'ont connue. Il fait revivre cette femme par l'écriture. Il en fait le portrait et témoigne le désir de la récréer. Composition : beaucoup de phrases nominales, sans verbes, qui produisent un effet de rapidité, une succession

Le mal ne se déclare pas comme quelque chose qui est mais comme un « non » à ce qui est : il aurait fallu que les choses ne fussent pas ce qu’elles sont, il faudrait changer le monde. » (Lignes 32 à 34). Dans quelle mesure votre lecture des œuvres du programme vous permet-elle de souscrire à ce jugement de Francis Wolff ? Le mal a souvent été conçu comme une entité personnelle ou substantielle. Mais, loin de toute personnification ou substantialisation, le mal serait de l’ordre de l’Être selon

plus grande : « si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bien, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement, quel choix je devrais faire et ainsi, je serais entièrement libre sans jamais être indifférent ». Il fait allusion à la liberté d’indifférence qui est selon lui « le plus bas degré de la liberté ». La liberté d’indifférence est liée à l’ignorance du vrai et du bien ; elle existe donc lorsque je ne sens rien qui me pousse à choisir ; elle se confond avec

raison tendent vers l’idéal de la raison, la JusticeIdéal de la raison : Exigence, désir indomptable et légitime la force pr faire mon devoirIdées métaphysiques morales de la raison : Le bien, la vertu, le devoir, la liberté, la justice· Loi morale = fait de la raison· Bonheur = proportionnel à la vertu, récompense, justice Morale du désintéressement Vertu = condition du bonheur mais bonheur pas contenu dans vertuIl faut agir vertueusement pr agir vertueusement Souverain bien Bien le + haut = vertu

Texte étudié : « Le fait que l’ami est autre que le flatteur semble montrer, clairement que plaisir n’est pas un bien, ou qu’il y a des plaisirs spécifiquement différents. L’ami, en effet ; parait rechercher notre compagnie pour notre bien, et le flatteur pour notre plaisir, et à ce dernier on adresse des reproches et à l’autre des éloges, en raison des fins différentes pour lesquelles ils nous fréquentent. En outre, nul homme ne choisirait de vivre en conservant durant toute son existence l’intelligence

« Le Ménon », où la question de savoir si la vertu peut enseigner est posée. La vertu désigne la participation à la vraie connaissance (nul n'est méchant volontairement ; le vrai courage est la connaissance de ce qu'il faut vraiment redouter). Chez les Grecs, la vertu est un principe d'excellence. Elle désigne chez Socrate, en particulier, la science du bien et du mal et le vrai mérite. Les vertus cardinales (autour de quoi tout s'ordonne) sont : prudence, courage, tempérance, justice. Dans cet

lui-même. Le problème de la liberté est étroitement lié à celui de la connaissance car pour se réaliser pleinement, l'homme doit avoir en mains toutes les données qui lui sont nécessaires. C'est en ce sens que que Socrate a pu dire « nul n'est méchant volontairement » Car l'homme est-il à la mesure de la connaissance? N'est-il pas d'abord freiné par son corps, ses instincts, ses passions, ses émotions? Saisissant les « noumènes », le monde sensible, réorganisant ses perceptions en lois, l'intelligence

des principes eux-mêmes naturels. Ils étaient les initiateurs du logos, fondé sur la raison et l'argumentation et entraînait donc le débat, le dialogue, la fin du mythe. Quel est le moteur de la réflexion philosophique ? «  Il est tout à fait d'un philosophe ce sentiment : de s'étonner ; car la philosophie n'a pas d'autre origine que cela. » Platon « C'est l'étonnement qui poussa comme aujourd'hui les premiers penseurs à philosopher. » Aristote Comment éveiller cette vertu d'étonnement 

« Il existe un certain Socrate, un savant, un « penseur » qui s’intéresse aux choses qui se trouvent dans l’air, qui mène des recherches sur tout ce qui se trouve sous la terre et qui de l’argument le plus faible fait l’argument le plus fort. » Tel sont les paroles, rapportées par Platon, que Socrate aurait prononcées lorsqu’il tenta d’expliquer les anciennes accusations qui planaient au dessus de lui. Il voudra en effet tenter de les réfuter avant de s’attaquer aux accusations qui l’amènent cette

politiques, ne pouvant tolérer plus longtemps sur ses terres cette milice armée et indépendante. De plus, les chevaliers teutoniques, leurs homologues, étant parvenus à s'imposer en un état, les craintes de Philippe Le Bel semblent légitimes. Leur présence fait donc obstacle à sa volonté de toute puissance et témoigne au sein même de son royaume du pouvoir pontificale. S'attaquer militairement à eux n'étant pas envisageable, c'est judiciairement que le roi va les affronter. Pour autant, en tant qu'ordre