Nulle Part La Fonction De L Artiste

seule nourriture vraiment solide de l’esprit. La musique, en un mot, est bonne pour les enfants, mais elle n’est bonne que pour eux. Elle n’est pas une occupation sérieuse : aussi les musiciens, comme en général les artistes, seront-ils chassés de la Cité idéale ou cantonnés dans des fonctions inférieures.   « Si la musique est la partie maîtresse de l’éducation, n’est-ce pas, Glaucon, parce que le rythme et l’harmonie sont particulièrement propres à pénétrer dans l’âme et à la toucher

- 08 JUIN 2012 > 14 JANVIER 2013 CAHIER PEDAGOGIQUE BABEL Sommaire BABEL Marie-José Parisseaux Page 2 COMMENT LES ARTISTES CONTEMPORAINS ONT-ILS REVISITE LE MYTHE ? Marie-José Parisseaux et Marie Barras Page 8 PISTES PEDAGOGIQUES 1er DEGRE Marie-José Parisseaux Page 16 PISTES PEDAGOGIQUES 2nd DEGRE – COLLEGE Marie Barras Page 18 PISTES PEDAGOGIQUES 2nd DEGRE LYCEE et LYCEE PROFESSIONNEL Michaël Grabarczyk Page 19 INFORMATIONS Page 21 PROGRAMMATION

Table des matières 0- Introduction……………………………………………7 I- La première partie: les fausses muses…………………………………….15 1. De l'esthétisme à la doctrine du roman……………………………………16 2. La typologie des artistes………………………………………………….. 21 3. Le mouvement triptyque du triptyque artiste……………………………. 30 4. Les artistes: des formes vides……………………………………………...36 II- La deuxième partie: de l'artiste à l'œuvre………………………………….44 1. Le premier chapitre: L'œuvre, cet apprentissage…………………………. 45 2. Le deuxième chapitre:

entreprise privée, mais je fais le pari que tu vas parvenir aussi à les convaincre par tes conseils ! D’ailleurs, dans l’entreprise où travaille ma femme, ils sont actuellement en cours d’audit de leur performance globale, et j’aimerais bien pour ma part que nous progressions sur notre responsabilité sociale de telle sorte que l’on puisse communiquer là-dessus. Sont présents aujourd’hui autour de cette table Florence, notre directrice artistique, Kusaï, notre directeur technique, Cédric, notre directeur

romans sont des romans ; les critiques croient que mes romans sont des essais déguisés ou des mémoires gâtés par l’effort de fabulation. Qui a raison ? Les critiques ou l’auteur ? ». Incertain de la nature de ses propres textes, Drieu nous fait ici part de son incapacité à les définir, tâche qu’il relègue au critique. Le critique, celui qui lit et juge l’ouvrage une fois créé, a posteriori, aurait cette capacité à statuer l’œuvre, à rendre compte de sa nature par une parole. Le livre est mémoire,

le serre, l’étouffe, le tue, et se calme soudain, prête à sourire à la moindre brise !… Eh bien ! croirais-tu que ces lieux jadis si terribles, aujourd’hui si ravissants, sont presque déserts ! les Italiens les connaissent à peine ! on n’en parle nulle part ; les préoccupations mercantiles sont si fortes parmi les habitants de ce beau pays qu’ils ne s’intéressent aux plus magnifiques spectacles de la nature qu’en raison des rapports qu’ils peuvent apercevoir entre eux et les questions industrielles

l'artiste et les contraintes de la commande 2. La « signature » de l’artiste 3. Les cas limite de la réponse autonome a ) Le refus du projet par les habitants b) Le choix d’un artiste peut être contestable c) Les risques d’une « sur-visualisation » de l’histoire 3 4ème partie PERSPECTIVES ET SUGGESTIONS I. LES FONCTIONS MULTIPLES DE L’ART PUBLIC II. LES RAPPORTS OBLIGES AVEC LES AUTRES METIERS DE LA VILLE III. LA NECESSAIRE MEDIATION IV. LE ROLE DE L’ETAT 1. Concernant la mise en place des conditions

entreprise privée, mais je fais le pari que tu vas parvenir aussi à les convaincre par tes conseils ! D’ailleurs, dans l’entreprise où travaille ma femme, ils sont actuellement en cours d’audit de leur performance globale, et j’aimerais bien pour ma part que nous progressions sur notre responsabilité sociale de telle sorte que l’on puisse communiquer là-dessus. Sont présents aujourd’hui autour de cette table Florence, notre directrice artistique, Kusaï, notre directeur technique, Cédric, notre

été commises. Un véritable engouement pour ce nouvel apport culturel se développe et donne nais- sance, dans toute l’Italie, à une intense période de création que l’on nomme le Quattrocento qui amplifi e ce qu’avaient fait au siècle précédent les artistes de Florence. ■ Les guerres d’Italie Au début du xvie siècle, l’Italie n’est pas un pays unifi é tel que nous le connaissons aujourd’hui. Une multitude d’États partagent ce territoire : république de Venise, royaume de Naples, duché de Milan,

nombre de choix – de la part de son créateur (le peintre, le photographe, le cinéaste), mais aussi de ceux qui la reproduisent dans des livres, affiches, cartes postales. Le regard du spectateur, en se posant sur l’image, rencontre d’autres regards. 2. Production et réception des images Les statuts (le rôle de l’image dans une civilisation donnée) et les formes de l’image évoluent dans l’histoire. Les vitraux et les tableaux du Moyen Age avaient surtout une fonction religieuse. A l’âge classique