Obscénité

1857 parait un violent article du Figaro, qui tout à la fois assure une grande notoriété au poète et le conduit devant les tribunaux. En août 1857, six mois après le procès de Madame Bovary (pour des chefs d'inculpation similaires: immoralité et obscénité), Baudelaire est condamné ( Flaubert ne l'avait pas été)  pour "offense à la morale publique, ... la morale religieuse et aux bonnes mœurs". Il est condamné à 300 francs d'amende et à la suppression de six poèmes. Ces 6 poèmes seront publiés à nouveau

ou la folâtrerie, le remords ou l’impudence ? (Il ne serait peut-être pas sain d'user outre mesure de cet argument.) — — — Je répète qu’un Livre doit être jugé dans son ensemble. À un blasphème, j’opposerai des élancements vers le Ciel, à une obscénité des fleurs platoniques. Depuis le commencement de la poésie, tous les volumes de poésie sont ainsi faits. Mais il était impossible de faire autrement un livre destiné à représenter L’AGITATION DE L’ESPRIT DANS LE MAL. — — — M. le Ministre de l’Intérieur

s'exprimer55, se sont bâties des croyances écologistes mystiques, nommées les « théories Gaïa » par Lynn Margulis. La liberté sexuelle[modifier] Article détaillé : Liberté sexuelle. Oz magazine « psychédélique hippie » fut plusieurs fois en procès pour obscénité en Australie et en Angleterre La liberté sexuelle fait partie intégrante de l'« utopie hippie ». C'est durant les années hippies que prend place la progressive légalisation de la pilule contraceptive et que l'accès à l'avortement se généralise56

énormes, en rafales successives. Humilié, le directeur s’enfuit. Chapitre 11 Le directeur a démissionné, mais son fils est la coqueluche du tout Londres. Linda quant à elle est pestiférée car le simple fait d'être une mère est une obscénité. Par-dessus tout, son physique est une abomination. Mais Linda ne souhaite pas être vue, seul compte les doses de soma qu’elle ingurgite les unes après les autres quitte à raccourcir dramatiquement son existence, car tel est le prix à payer pour

le manger, mais également l’appétit sexuel. Sexualité : · Présente au chap. 4 : réf à l’appétit sexuel illustré de façon comique (exagérations, accumulations, répétitions) · sexe présent en paroles et non en actes grâce au langage grossier : obscénités. Scatologie : · présente au chap. 13 : invention du torche-cul + énumération des détails. · Chap. 6 : scatologie : confusion entre l’enfant et les excréments de la mère avec beaucoup de détails. > Ces thèmes tendent à s’estomper au fur et à

si votre indulgence m'y autorisait." Pour la foire d'automne de Lyon, en 1532, publie, sous le pseudonyme d'Alcofribas Nasier, un récit : Pantagruel, roi des Dipsodes : cette aventure d'une famille de géants est condamnée par la Sorbonne, pour obscénité, en 1533 ; la portée philosophique de l'œuvre dérangeait (hymne aux humanistes, parodie de la religion) mais Rabelais est protégé par François Ier. Il part voyager en Italie pour se faire oublier. 1534 : La vie très horrificque du grand Gargantua

s'agit d'une scène nocturne. Aristophane se sert donc de certains accessoires pour développer des effets de comique suivi autour d'un thème. Il se sert davantage encore de l'image de Philocléon en vieillard lubrique et ivre pour lui faire dire des obscénités ce qui n'a jamais manqué de faire rire les publics de toutes les époques confondues. Philocléon subit également une certaine inversion de son caractère, devenant craintif des héliastes, et criant βαλλε κημους au vers 1339 au contraire du Δηλον καλον

ne plonge néanmoins pas dans la paillardise comme le fait allégrement Rabelais : aucun terme dans cette fable n’est explicitement vulgaire ou obscène. Tout se fait dans le sous-entendu –on analysera comment La Fontaine parvient à suggérer cette obscénité outrancière sans en dire un seul mot). L’onomastique : La Fontaine s’inspire ici des textes de Rabelais, qu’il s’agisse de « Gargantua », de « Pantagruel » ou du « Quart Livre ». Le curé est dénommé « Messire Jean Chouart ». L’ironie est patente

Cahiers du cinéma, n°343, janvier 1983 EPSTEIN Jean, « Les approches de la vérité », in Photo-ciné, novembre-décembre 1928 MANDIARGUES Andre Pieyre (de), «L'Amour sublime », in Positif, n°181, mai 1976 NEVERS Camille, « Procès contre Oshima pour obscénité, in Cahiers du cinéma, n°19 Hors série, janvier 1995 OSHIMA Nagisa, « Le drapeau de l’Eros flotte dans les cieux », in Cahiers du cinéma, n°309, mars 1980 TADAO Satô, « Point de regard », in Cahiers du cinéma, n°310, avril 1980 FILMOGRAPHIE

leur caractère vivant, spontané, leur sincérité absolue et leur poésie directe, ils sont étonnés par l’absence quasi-totale d’informations, en Grèce même, sur cette musique. En effet, il fut un temps où s’intéresser aux rébétika était presque une obscénité. Ce temps est révolu et si cette musique a longtemps été maintenue dans la clandestinité, elle appartient désormais au patrimoine de la Grèce. Ainsi les rébétika offrent l’exemple unique d’une création collective, populaire, réprouvée mais extraordinairement